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YESTERDAY'S NEWS |48
- InvitéInvité
James "Jamie" Sweeney
This may be the night that my dreams might let me know all the stars are closer
Avant de commencer, nous aimerions vous poser quelques questions sur votre personnage, afin d'en savoir davantage sur les motivations qui l'animent.
L'INTERROGATOIRE
Je pense que j'aimerais connaître qui sont mes ancêtres. J'imagine qu'il n'y a probablement rien de joyeux à leur sujet. Ils ont certainement été amenés d'Afrique a une époque où le commerce d'esclaves étaient en "vogue" mais c'est une partie de mon histoire qui m'intéresse. Savoir d'où l'on vient réellement peut souvent nous aider à savoir qui l'on est vraiment.
J'ai souvent été au centre de tous les regards pour des choses que vous ne soupçonnez sans doute pas de ma personne. A vrai dire, cette époque est plutôt lointaine même si elle persiste à exister d'une façon ou d'une autre dans ma vie quotidienne. En ce qui concerne mes rêves, j'aimerais avoir la chance de tout recommencer à zéro. Apprendre des erreurs de cette vie afin de ne pas les commettre à l'occasion d'un renouveau.
Rien de tel qu'une bonne vieille bouteille de whisky, un air de jazz et des personnes prêtes à faire la fête jusqu'au bout de la vie.
Parfois, je me dis que je ne suis pas né à la bonne époque. J'aurais aimé connaître ce temps où la Nouvelle Orléans était "the place to be" lorsque partager avec les autres voulaient encore dire quelque chose. Partager simplement, sous la mélodie d'une musique entraînante, voilà ce à quoi j'aurais aimé aspirer si j'en avais eu la possibilité.
Ma plus grande réussite est probablement d'essayer, jour après jour, de me détacher de ce gang qui a été ma famille adoptive pendant tant d'années. Aujourd'hui je ne peux pas dire que je suis un homme nouveau, que mes affaires avec ces personnes sont complètement terminée mais j'espère qu'un jour je serai capable de dire que la violence et l'illégalité sont derrière moi.
Tout ce qui est bon doit être défendu à tout prix. Je pense que le mal est probablement la chose qui grandit le plus dans ce monde, ne serait-ce que par les guerres et autres conflits qui sillonnent le monde. La bonté est essentielle, évidement. Mais les gens ont tendance l'oublier, même dans les gestes les plus ordinaires du quotidien.
Je ne sais pas si me poser cette question est très intelligent. Mon quota d'illégalité dépasse probablement tout ce que vous pouvez imaginer. Mais faire le mal, d'une façon ou d'une autre n'est jamais quelque chose de très plaisant. Lorsque l'on est jeune et insouciant, ce genre de questions ne s'imposent pas à vous. Ce n'est que bien après, lorsque vous êtes en âge de réellement comprendre les conséquences de vos actes, absolument toutes les conséquences, que vous regardez vos actes d'un autre oeil.
J'aimerais avoir des licornes.
D'après ce que j'ai pu voir, elles inspirent la bonté à bon nombre de personnes alors pourquoi ne pas imaginer qu'elles existent ? Peut-être seraient-elles alors à l'origine d'une quelconque paix dans le monde je ne sais pas... Et vous avez cru ce que je viens de dire n'est-ce pas ? Je sais être très crédible quand je le veux.
Mon père purge une peine à perpétuité. C'est le genre de mec qui ne vous manque pas. Je n'ai jamais su ce qu'il avait fait et je ne le serai jamais. Je ne connais même pas son nom. Il était déjà emprisonné depuis plusieurs mois lorsque je suis né et ma mère n'a jamais souhaité m'en parler. Tout ce que je sais, c'est qu'il était connu pour plusieurs atrocités. Je sais ce que vous vous dîtes : tel père, tel fils. Peut-être avez-vous raison après tout, j'espère juste pouvoir changer cette opinion de moi un jour ou l'autre.
DERRIÈRE L'ÉCRAN
Karma : Its all my fault Prénom/pseudo : morsmordre // Liz Âge : 22 ans Anniversaire : 03/05 Localisation : BZH Présence : Le plus souvent possible Personnage ... Personnage invente J'ai connu le forum : LAPD Et je le trouve : C'est bon d'être à la maison ! Ma plus grande peur : La bêtise humaine Un dernier mot ? Je s'appelle Groot
IMAGES herselves, dailychadwickboseman
- InvitéInvité
FAITS DIVERS
Les coups, on finit par s’y habituer. C’est un genre de danse, lente et répétitive. Chacun possède son propre rôle. Le même rôle, jour après jour. La douleur finit par être quelque chose auquel on doit s’accrocher. Elle, elle ne vous laisse jamais tomber même si au final, on préfère l’oublier. « A qui la faute ? ». C’est cette question perpétuelle qui résonne dans les esprits, encore et encore. « Qu’ai-je fait de mal pour mériter ça ? ». Deuxième question. Celle-ci arrive généralement à la suite de la première. Dans ce genre de moment, on n’est plus rien, plus personne. On aimerait presque disparaître. « Tu es un monstre. » Fatalité. On finit par croire l’impensable, mais avons-nous vraiment le choix ? Vous, que feriez-vous cette même place ?
- Qu’est-ce que tu regardes gamin ? T’en veux une autre c’est ça ?
Toujours la même agressivité. Le petit hoche négativement la tête, ses jambes repliées contre son torse. Il s’est refugié devant un dessin-animé qui n’a pas grand intérêt mais qui lui permet pourtant, rien qu’un instant, d’oublier cet environnement nocif. Ses doigts jouent avec un élastique rose, celui de sa mère, bien trop absente pour se douter de quoique ce soit. La jeune femme travaille nuit et jour pour s’offrir une vie digne de ce nom, à elle mais aussi à son fils James. Cet homme n’est qu’une partie du décor. Un bon à rien préférant terroriser un môme plutôt que d’aider convenablement une femme qu’il est censé aimer. Aimer, c’est bien un grand mot n’est-ce pas ?
- Déconne pas petit con, tu vas finir par t’en prendre une.
Toujours les mêmes menaces. On finit par s’y faire à force, tout en sachant qu’elles finiront par prendre forme, d’une façon ou d’une autre. Le gamin reste les yeux rivés sur l’écran. A sa gauche, au fond d’une pièce où la lumière ne pénètre jamais, un vieil ivrogne se sert un verre de plus. James peut sentir l’odeur nauséabonde de celui qu’il devrait considérer comme son beau-père. Impossible.
Cela fait maintenant trois mois qu’il vit ici, qu’il engraisse ici. Deux mois que le garçon subit ses foudres incessantes, ses coups de colère injustifiés. S’il le pouvait, il lui cracherait à la gueule James. Si son courage le lui permettait, il ficherait ce raté à la porte, pour toujours.
L’homme finit par se lever, titubant. James ne l’a jamais connu sobre, il n’a jamais eu ce luxe. Le gamin reconnaît alors ce bruit qui le terrorise. La ceinture de l’ivrogne claque férocement contre sa cuisse. La lourdeur de sa carcasse se rapproche petit à petit. Jamie reste immobile, dans tous les cas il le retrouvera alors pourquoi repousser l’inévitable ?
- Qu’est-ce que tu regardes gamin ? T’en veux une autre c’est ça ?
Toujours la même agressivité. Le petit hoche négativement la tête, ses jambes repliées contre son torse. Il s’est refugié devant un dessin-animé qui n’a pas grand intérêt mais qui lui permet pourtant, rien qu’un instant, d’oublier cet environnement nocif. Ses doigts jouent avec un élastique rose, celui de sa mère, bien trop absente pour se douter de quoique ce soit. La jeune femme travaille nuit et jour pour s’offrir une vie digne de ce nom, à elle mais aussi à son fils James. Cet homme n’est qu’une partie du décor. Un bon à rien préférant terroriser un môme plutôt que d’aider convenablement une femme qu’il est censé aimer. Aimer, c’est bien un grand mot n’est-ce pas ?
- Déconne pas petit con, tu vas finir par t’en prendre une.
Toujours les mêmes menaces. On finit par s’y faire à force, tout en sachant qu’elles finiront par prendre forme, d’une façon ou d’une autre. Le gamin reste les yeux rivés sur l’écran. A sa gauche, au fond d’une pièce où la lumière ne pénètre jamais, un vieil ivrogne se sert un verre de plus. James peut sentir l’odeur nauséabonde de celui qu’il devrait considérer comme son beau-père. Impossible.
Cela fait maintenant trois mois qu’il vit ici, qu’il engraisse ici. Deux mois que le garçon subit ses foudres incessantes, ses coups de colère injustifiés. S’il le pouvait, il lui cracherait à la gueule James. Si son courage le lui permettait, il ficherait ce raté à la porte, pour toujours.
L’homme finit par se lever, titubant. James ne l’a jamais connu sobre, il n’a jamais eu ce luxe. Le gamin reconnaît alors ce bruit qui le terrorise. La ceinture de l’ivrogne claque férocement contre sa cuisse. La lourdeur de sa carcasse se rapproche petit à petit. Jamie reste immobile, dans tous les cas il le retrouvera alors pourquoi repousser l’inévitable ?
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Aucun homme ne devrait être capable de prendre une telle décision. Aucun homme ne devrait avoir à mettre son avenir en danger sous prétexte qu’il pense faire une « bonne action ». Et pourtant.
Ses mains de gosse tremblent. Elles sont engourdies et incertaines. L’arme qu’elles tiennent semble peser une tonne. C’est un genre de poids difficile à porter. Un poids qui peut tout changer. Certains diraient que 16 ans est un âge parfait pour devenir un homme. D’autres, au contraire, verraient cette scène d’un autre œil, outrés qu’un jeune homme puisse aspirer à changer son monde de cette façon. Peu importe, la décision du gamin est prise, depuis plusieurs années déjà.
- Un coup dans la tête, t’as déjà vu faire. Ça sera facile.
James hoche la tête. Il a répété ce jour comme on répète une pièce de théâtre. Tout a été pensé, à la seconde, au millimètre près. Son mentor lui lance ce genre de regard qui ne peut plus vous faire reculer. Il est à l’origine de toute cette « organisation ». Le gamin pourrait facilement dire que c’est ce type, cette rencontre, qui l’a sorti de son enfer. Sans prévenir, il lui a tendu une main qu’il ne pouvait pas refuser. Une chance de commencer une nouvelle vie, de dire adieu à une vie de crainte et de questionnement perpétuel. Cet homme lui avait promis que la crainte, se serait lui qui désormais, la ferait ressentir aux autres. Une proposition alléchante qu’un enfant marqué par les coups ne serait pas en état de refuser, surtout dans cette partie de la ville.
- Et si je le rate ?
- T’auras pas de seconde chance t’entends ? Tu te démerdes, tu me butes ce connard. C’est ce que tu veux non ?
L’espace d’une seconde, Jamie ne sait plus réellement ce qu’il désire. Etre un meurtrier, est-ce vraiment ce dont il pensait devenir un jour ? Il n’a pas de réponse à cette question. Tout ce qu’il sait cependant, c’est ce que cet homme lui a promis que sa mère et lui seraient en sûreté, qu’aucun autre homme ne serait jamais plus en mesure de le faire souffrir et que la misère elle, serait bientôt un lointain souvenir. Le gosse avait bu ses paroles d’une traite, sans peser le pour et le contre de ces promesses à double tranchants. Savait-il qu’il s’engageait à se donner corps et âme pour une cause malhonnête ? Certainement pas.
- Occupe-toi de cette merde et rejoins-moi ensuite.
C’est étrange de se retrouver seul, face à soi-même. On a le temps d’imaginer le pire et le meilleur, tout ça en même temps. Et que peut-il y avoir de pire que de rester seuls avec ses pensées ?
A pas de velours, le gosse pénètre dans l’appartement qui fut autrefois celui qu’il partageait seul avec sa mère. Bien que celle-ci ait mis les voiles depuis longtemps à l’autre bout du quartier, son incapable ex petit-ami, lui, est toujours présent. Bien-sûr, il n’a pas été épargné par les ravages que peut commettre l’alcool. Sa puanteur est omniprésente et imprègne les tapisseries qui ornent les murs. Jamie reconnaît sa voix d’ivrogne, rocailleuse et essoufflée. Il s’avance vers cet être qu’il a détesté et qu’il déteste toujours. Son arme est tendue, droite, prête à être utilisée. Lorsque l’homme se rend contre de la présence de Jamie, il est déjà trop tard. La détente a pris place sur sa tempe. Incapable de comprendre ce qui lui arrive, il balbutie quelques mots incompréhensibles. Son odeur est atroce et n’a pour résultat que d’alimenter la haine qui habite le garçon.
- Merde… m’bout’eille….
- La ferme, tu la fermes sale porc !
Un coup. Puis deux. Les poings de Jamie s’abattent sur l’ivrogne sans que ce dernier n’ait le contrôle de quoique ce soit. L’adolescent est inarrêtable, la bête prend le dessus. Rien ne se passe comme prévu, rien ne se déroule comme dans les règles mais il n’a que faire de ce qu’on lui a vivement recommandé. L’homme n’est même plus capable de hurler pour appeler les secours, son visage meurtri ne le lui permet plus. Et alors que ce dernier s’étale sur le sol, le visage ensanglanté, Jamie voit son enfance se dérouler devant ses yeux jusqu’à ce que finalement, seul son souffle règne en maître dans la pièce. Son arme à terre, elle ne lui aura été d’aucune utilité. La violence de la scène refait soudainement surface, le faisant prendre conscience de ce qu’il vient de faire. Rapidement, il récupère son arme sans jeter le moindre regard à l’homme qu’il vient d’abattre de ses mains. Tel un fugitif, il s’enfuit loin de cet endroit, là où on l’attend, là où son retour sera célébré. Là où il sera enfin perçu comme un homme.
Ses mains de gosse tremblent. Elles sont engourdies et incertaines. L’arme qu’elles tiennent semble peser une tonne. C’est un genre de poids difficile à porter. Un poids qui peut tout changer. Certains diraient que 16 ans est un âge parfait pour devenir un homme. D’autres, au contraire, verraient cette scène d’un autre œil, outrés qu’un jeune homme puisse aspirer à changer son monde de cette façon. Peu importe, la décision du gamin est prise, depuis plusieurs années déjà.
- Un coup dans la tête, t’as déjà vu faire. Ça sera facile.
James hoche la tête. Il a répété ce jour comme on répète une pièce de théâtre. Tout a été pensé, à la seconde, au millimètre près. Son mentor lui lance ce genre de regard qui ne peut plus vous faire reculer. Il est à l’origine de toute cette « organisation ». Le gamin pourrait facilement dire que c’est ce type, cette rencontre, qui l’a sorti de son enfer. Sans prévenir, il lui a tendu une main qu’il ne pouvait pas refuser. Une chance de commencer une nouvelle vie, de dire adieu à une vie de crainte et de questionnement perpétuel. Cet homme lui avait promis que la crainte, se serait lui qui désormais, la ferait ressentir aux autres. Une proposition alléchante qu’un enfant marqué par les coups ne serait pas en état de refuser, surtout dans cette partie de la ville.
- Et si je le rate ?
- T’auras pas de seconde chance t’entends ? Tu te démerdes, tu me butes ce connard. C’est ce que tu veux non ?
L’espace d’une seconde, Jamie ne sait plus réellement ce qu’il désire. Etre un meurtrier, est-ce vraiment ce dont il pensait devenir un jour ? Il n’a pas de réponse à cette question. Tout ce qu’il sait cependant, c’est ce que cet homme lui a promis que sa mère et lui seraient en sûreté, qu’aucun autre homme ne serait jamais plus en mesure de le faire souffrir et que la misère elle, serait bientôt un lointain souvenir. Le gosse avait bu ses paroles d’une traite, sans peser le pour et le contre de ces promesses à double tranchants. Savait-il qu’il s’engageait à se donner corps et âme pour une cause malhonnête ? Certainement pas.
- Occupe-toi de cette merde et rejoins-moi ensuite.
C’est étrange de se retrouver seul, face à soi-même. On a le temps d’imaginer le pire et le meilleur, tout ça en même temps. Et que peut-il y avoir de pire que de rester seuls avec ses pensées ?
A pas de velours, le gosse pénètre dans l’appartement qui fut autrefois celui qu’il partageait seul avec sa mère. Bien que celle-ci ait mis les voiles depuis longtemps à l’autre bout du quartier, son incapable ex petit-ami, lui, est toujours présent. Bien-sûr, il n’a pas été épargné par les ravages que peut commettre l’alcool. Sa puanteur est omniprésente et imprègne les tapisseries qui ornent les murs. Jamie reconnaît sa voix d’ivrogne, rocailleuse et essoufflée. Il s’avance vers cet être qu’il a détesté et qu’il déteste toujours. Son arme est tendue, droite, prête à être utilisée. Lorsque l’homme se rend contre de la présence de Jamie, il est déjà trop tard. La détente a pris place sur sa tempe. Incapable de comprendre ce qui lui arrive, il balbutie quelques mots incompréhensibles. Son odeur est atroce et n’a pour résultat que d’alimenter la haine qui habite le garçon.
- Merde… m’bout’eille….
- La ferme, tu la fermes sale porc !
Un coup. Puis deux. Les poings de Jamie s’abattent sur l’ivrogne sans que ce dernier n’ait le contrôle de quoique ce soit. L’adolescent est inarrêtable, la bête prend le dessus. Rien ne se passe comme prévu, rien ne se déroule comme dans les règles mais il n’a que faire de ce qu’on lui a vivement recommandé. L’homme n’est même plus capable de hurler pour appeler les secours, son visage meurtri ne le lui permet plus. Et alors que ce dernier s’étale sur le sol, le visage ensanglanté, Jamie voit son enfance se dérouler devant ses yeux jusqu’à ce que finalement, seul son souffle règne en maître dans la pièce. Son arme à terre, elle ne lui aura été d’aucune utilité. La violence de la scène refait soudainement surface, le faisant prendre conscience de ce qu’il vient de faire. Rapidement, il récupère son arme sans jeter le moindre regard à l’homme qu’il vient d’abattre de ses mains. Tel un fugitif, il s’enfuit loin de cet endroit, là où on l’attend, là où son retour sera célébré. Là où il sera enfin perçu comme un homme.
IMAGES FEU ARDENT
- Felix E. BlackfieldI'm a Mother Fucker
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Date d'inscription : 12/11/2017
Avatar : Dave Franco
Crédits : smmg bae
Âge du personnage : 27 ans
Nationalité(s) : Américaine.
Signe astrologique : Lion
Mon personnage, en 5 mots : connard, fêtard, dragueur, infidèle, bagarreur.
Quartier de résidence : Westside
Carrière, métier ou job : hacker pour le FBI et dealer pour la mafia italienne.
Études (passées ou en cours) : Diplômé en robotique.
Hobby : les grosses beuveries bien hardcore et les femmes.
Orientation sexuelle : Hétérosexuel(le)
Situation sentimentale : C'est ... compliqué
Avec : Arizona et toutes les autres femmes du monde.
Bienvenue sur IAMF
Bon courage pour ta fiche
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