YESTERDAY'S NEWS |48
- Alice CollinsMEMBER OF THE MONTH
-
Dollars : 2572
Messages : 552
Date d'inscription : 10/03/2018
Avatar : Emily Didonato.
Crédits : lilousilver.
Autres comptes : Aaron Campbell (ft. Henry Cavill) & Andreas Klein (ft. Marcus Hedbrandh).
Âge du personnage : 30 ans (12/08/1991).
Nationalité(s) : Américaine.
Signe astrologique : Lion
Mon personnage, en 5 mots : Passionnée. Extravertie. Franche. Joueuse. Manipulatrice.
Quartier de résidence : Westside
Carrière, métier ou job : Chorégraphe en danse contemporaine au Millenium Dance Complex.
Études (passées ou en cours) : Diplômée en danse à l'UCLA.
Hobby : Faire des folies.
Orientation sexuelle : Bisexuel(le)
Situation sentimentale : C'est ... compliqué
Avec : Ezekiel.
April 2018, at night, in Los Angeles
target line
Alice & Hassen
“Merde, mon portable...”
… est resté dans le sac de Wendy. Wendy, celle qui l’a accompagnée en boite de nuit. Boite de nuit où elles n’ont compté ni les danses, ni les verres, ni les regards aguicheurs.
Et puis, Wendy, elle a trouvé chaussure à son pied, ou plutôt, homme à mettre au lit.
Pas Alice. Non, ce soir Alice a eu plus envie de danser que de rentrer avec quelqu’un. Alors elle a piétiné la piste de danse, parfois accompagnée de son amie, parfois d’inconnus qui ont eu l’art et la manière de l’aborder. Toujours est-il qu’elle a profité pleinement de sa soirée, jusqu’au moment où l’appel du lit a été le plus important.
La voici donc arpentant le trottoir d’une grande rue de Los Angeles, le pouce levé, à la recherche d’une bonne âme qui accepterait de la ramener chez elle. Il paraît que les Américains sont accueillants, sympathiques. Peut-être que ces on-dit ont leurs limites. D’autant plus au beau milieu de la nuit, un jeudi soir, quand la majorité des habitants de la ville cherchent le sommeil, à défaut de l’avoir trouvé depuis plusieurs heures déjà.
L’étudiante ne désespère pas. Elle continue d’avancer en direction de chez elle, sans baisser sa main. A pied, il lui faudrait probablement deux heures pour rentrer, et un tel sort quand on s’appelle Alice Collins, c’est tout simplement intolérable. Sans perdre espoir, elle s’arrête, se déchausse de ses escarpins. A cet instant, une voiture semble freiner sur le bas côté. Et si… ?
… est resté dans le sac de Wendy. Wendy, celle qui l’a accompagnée en boite de nuit. Boite de nuit où elles n’ont compté ni les danses, ni les verres, ni les regards aguicheurs.
Et puis, Wendy, elle a trouvé chaussure à son pied, ou plutôt, homme à mettre au lit.
Pas Alice. Non, ce soir Alice a eu plus envie de danser que de rentrer avec quelqu’un. Alors elle a piétiné la piste de danse, parfois accompagnée de son amie, parfois d’inconnus qui ont eu l’art et la manière de l’aborder. Toujours est-il qu’elle a profité pleinement de sa soirée, jusqu’au moment où l’appel du lit a été le plus important.
La voici donc arpentant le trottoir d’une grande rue de Los Angeles, le pouce levé, à la recherche d’une bonne âme qui accepterait de la ramener chez elle. Il paraît que les Américains sont accueillants, sympathiques. Peut-être que ces on-dit ont leurs limites. D’autant plus au beau milieu de la nuit, un jeudi soir, quand la majorité des habitants de la ville cherchent le sommeil, à défaut de l’avoir trouvé depuis plusieurs heures déjà.
L’étudiante ne désespère pas. Elle continue d’avancer en direction de chez elle, sans baisser sa main. A pied, il lui faudrait probablement deux heures pour rentrer, et un tel sort quand on s’appelle Alice Collins, c’est tout simplement intolérable. Sans perdre espoir, elle s’arrête, se déchausse de ses escarpins. A cet instant, une voiture semble freiner sur le bas côté. Et si… ?
- InvitéInvité
Une musique, un bon rock français qui vibrait au creux de mes oreilles, je roulais à vive allure en direction du South, passage obligé pour rejoindre le centre de Los Angeles. Les fenêtres ouvert à cause de la chaleur, on pouvait entendre ma musique à plusieurs lieux à la ronde. J'attirais les regard en tout cas, c'est certain, déjà quand on roule en Porsche 911 Turbo S, cabriolet, modèle français qui plus est. Puis la musique n'était pas banale, vu que j'avais un bon vieux Téléphone, le groupe de Jean Louis Aubert, en fond. Je ne vis que très tard cette petite brune sur le bas côté, qui faisait du stop. De derrière elle semblait vraiment pas mal, en temps normal je l'aurais sûrement abordé pour la draguer, qu'elle soit jeune ou pas... Mais aujourd'hui j'étais simplement d'humeur gentil. Je ralentissais en baissant quelques peu la musique pour rouler à sa hauteur. « Salut. Vous semblez être quelque peu en difficulté... Vous avez besoin qu'on vous dépose où ? », demandais-je simplement, d'une voix douce. J'ignorais si j'avais une tête avenante ou pas, en tout cas je souriais avec douceur..
- Alice CollinsMEMBER OF THE MONTH
-
Dollars : 2572
Messages : 552
Date d'inscription : 10/03/2018
Avatar : Emily Didonato.
Crédits : lilousilver.
Autres comptes : Aaron Campbell (ft. Henry Cavill) & Andreas Klein (ft. Marcus Hedbrandh).
Âge du personnage : 30 ans (12/08/1991).
Nationalité(s) : Américaine.
Signe astrologique : Lion
Mon personnage, en 5 mots : Passionnée. Extravertie. Franche. Joueuse. Manipulatrice.
Quartier de résidence : Westside
Carrière, métier ou job : Chorégraphe en danse contemporaine au Millenium Dance Complex.
Études (passées ou en cours) : Diplômée en danse à l'UCLA.
Hobby : Faire des folies.
Orientation sexuelle : Bisexuel(le)
Situation sentimentale : C'est ... compliqué
Avec : Ezekiel.
Et si ce bruit de freinage soudain était à interpréter comme un signe d’espoir ? A moins qu’il ne s’agisse d’un homme trop attiré par ses longues jambes à découvert. Si la petite robe qu’elle porte avait sans aucun doute l’effet escompté en boite de nuit, dans cette rue, rien n’est moins sûr. A l’évidence, Alice est Alice et elle est fière d’être ce qu’elle est, mais loin d’elle l’envie de s’attirer des gros lourds à cette heure de la nuit. Alors, après avoir finalement réussi à retirer ses escarpins, elle se retourne sur le bord du trottoir et plante son regard quelque peu embrumé dans celui de l’homme qui, au volant de sa voiture, n’a pas l’air d’être un vieux fou. C’est à l’intonation de sa voix qu’elle juge cela, puis à la bonhomie de son visage.
Bientôt néanmoins, plus rien de tout cela ne l’intéresse. Ce sont les lignes, et la beauté du véhicule dans lequel il se trouve, qui attire toute l’attention de la danseuse. Elle a de l’alcool dans le sang, et sans doute ne marchait-elle plus très droit dans cette rue, mais elle n’est pas assez éméchée pour louper le spectacle. Les dollars lui défilent devant les yeux à cet instant, et elle fait de suite le lien entre la Porsche et son propriétaire. Enfin, c’est en tout cas l’interprétation qu’elle en fait. Ce type possède sans aucun doute ce bijou et elle, elle a la bouche ouverte sans avoir encore placé un seul mot. « Euh... Où tu veux ? Dépose-moi où tu veux. » Elle hausse les épaules, répondant à la sympathie du quarantenaire par un sourire spontané. Est-il vraiment nécessaire de rentrer chez soi, si l’on a l’occasion de se balader dans une aussi belle voiture ? Alice a toujours le don d’appliquer ses priorités sans grande difficulté. Elle en oublie son adresse, elle en oublie que ce type pourrait en réalité être un voyou ou pire, un violeur en série.
Sans hésiter bien longtemps, elle attrape donc la portière et s’installe dans la voiture, à la place du passager avant. Ses yeux balayent l’intérieur du trésor motorisé et s’arrêtent au passage sur le conducteur, dont elle étudie finalement les traits. Quelque chose de bon émane de lui, de ses iris bleus. Est-ce l’alcool qui altère à sa clairvoyance ou est-ce la réalité ? Elle ne se pose même pas la question, Alice. « Alors, tu m’emmènes où, Joe ? » Joe le taxi. Il ne comprendra peut-être pas la référence, le pauvre. Au pire, il la prendra pour une fille un peu saoule, ou un peu folle. Ça ne sera pas si éloigné de la vérité. « Je ne suis pas pressée, promis. » Surtout pas.
Bientôt néanmoins, plus rien de tout cela ne l’intéresse. Ce sont les lignes, et la beauté du véhicule dans lequel il se trouve, qui attire toute l’attention de la danseuse. Elle a de l’alcool dans le sang, et sans doute ne marchait-elle plus très droit dans cette rue, mais elle n’est pas assez éméchée pour louper le spectacle. Les dollars lui défilent devant les yeux à cet instant, et elle fait de suite le lien entre la Porsche et son propriétaire. Enfin, c’est en tout cas l’interprétation qu’elle en fait. Ce type possède sans aucun doute ce bijou et elle, elle a la bouche ouverte sans avoir encore placé un seul mot. « Euh... Où tu veux ? Dépose-moi où tu veux. » Elle hausse les épaules, répondant à la sympathie du quarantenaire par un sourire spontané. Est-il vraiment nécessaire de rentrer chez soi, si l’on a l’occasion de se balader dans une aussi belle voiture ? Alice a toujours le don d’appliquer ses priorités sans grande difficulté. Elle en oublie son adresse, elle en oublie que ce type pourrait en réalité être un voyou ou pire, un violeur en série.
Sans hésiter bien longtemps, elle attrape donc la portière et s’installe dans la voiture, à la place du passager avant. Ses yeux balayent l’intérieur du trésor motorisé et s’arrêtent au passage sur le conducteur, dont elle étudie finalement les traits. Quelque chose de bon émane de lui, de ses iris bleus. Est-ce l’alcool qui altère à sa clairvoyance ou est-ce la réalité ? Elle ne se pose même pas la question, Alice. « Alors, tu m’emmènes où, Joe ? » Joe le taxi. Il ne comprendra peut-être pas la référence, le pauvre. Au pire, il la prendra pour une fille un peu saoule, ou un peu folle. Ça ne sera pas si éloigné de la vérité. « Je ne suis pas pressée, promis. » Surtout pas.
- InvitéInvité
Quoi qu'il en soit, elle finit par rentrer dans la voiture, à la place du mort, comme on dit. Je lui souriais toujours pendant qu'elle faisait son petit examen, de l'intérieur de la voiture. En tout cas, elle semblait bien lui plaire. En tout cas, dans mon cas, c'est cette jolie brune qui me plaît. Son regard bleu commence à me détailler à mon tour et c'est sagement que je la laisse faire, sans me séparer de mon sourire. J'en profitais même pour faire de même en glissant mon regard sur ses formes, très jolies au passage. Avant de relever mon regard vers son visage, pour plonger mes yeux bleus dans les siens, un tantinet surpris par la petite référence. Je reste un moment surpris sans la quitter des yeux, avant de finalement rigoler. « Parce que je conduis un saxo jaune ? », demandais-je en réponse, démontrant que je connaissais Vanessa Paradis. Forcément, quand on a vécu vingt ans en France.
« Je vous emmène où vous voulez, même si vous n'êtes pas pressée. », dis-je en souriant, toujours. J'étais garé sur le bas-côté, donc ça ne gênait pas les voitures qui arrivaient derrière nous. Je n'étais, pour le coup pas pressé de rentrer maintenant que cette jolie demoiselle était monté dans ma voiture. « Je suis Joe le taxi, votre humble serviteur pour ce soir. », disais-je. Je jouais avec le feu, car j'ignorais qui elle était également et ça pouvait être une de ces filles un peu timbrées sur les bords. Malgré tout, l'alcool que j'avais encore dans le sang, me donnait envie de jouer un peu avec elle cette nuit. « Dites moi, j'obéis. », je lui lançais un regard qui se voulait provocant, espérant aussi qu'elle le capte, car si elle était bourrée, ce n'était pas forcément évident.
- Alice CollinsMEMBER OF THE MONTH
-
Dollars : 2572
Messages : 552
Date d'inscription : 10/03/2018
Avatar : Emily Didonato.
Crédits : lilousilver.
Autres comptes : Aaron Campbell (ft. Henry Cavill) & Andreas Klein (ft. Marcus Hedbrandh).
Âge du personnage : 30 ans (12/08/1991).
Nationalité(s) : Américaine.
Signe astrologique : Lion
Mon personnage, en 5 mots : Passionnée. Extravertie. Franche. Joueuse. Manipulatrice.
Quartier de résidence : Westside
Carrière, métier ou job : Chorégraphe en danse contemporaine au Millenium Dance Complex.
Études (passées ou en cours) : Diplômée en danse à l'UCLA.
Hobby : Faire des folies.
Orientation sexuelle : Bisexuel(le)
Situation sentimentale : C'est ... compliqué
Avec : Ezekiel.
Ce n’est pas très drôle, un homme, inconnu qui plus est, qui se présente comme un potentiel violeur en série à une fille perdue en pleine nuit, et pourtant Alice elle ne trouve qu’à s’esclaffer devant lui. « Pourquoi s’embarrasser avec une cave quand on possède un tel trésor ? » Et elle rentre dans la voiture, caressant du bout des doigts les surfaces en cuir de la sublime Porsche dont ses yeux, avides, s’enchantent. C’est l’élégance du génie automobile qui l’émerveille, le parfum du luxe qui embaume ses narines, et cet individu qui retient tout de même son attention. Ce qui est certain, c’est qu’elle n’est pas particulièrement intimidée. D’autant plus quand il lui démontre par a + b qu’il connaît la fameuse chanson de l’ex-compagne de Johnny Depp. « Dis donc, que moi je connaisse cette musique, c’est normal, c’est ce qui s’appelle suivre les people. Mais que toi tu connaisses... Tu lis aussi Closer ou tu es juste... très vieux ? » L’alcool inhibe les craintes qu’elle aurait pu avoir à monter dans ce véhicule sans même réfléchir. Il l’empêche également de reconnaître, éventuellement un léger accent venant de l’autre côté de l’Atlantique. Mais l’alcool ne la change pas fondamentalement. Cette candeur qu’elle arbore parfois n’est pas artificielle.
Joe, comme il se baptise lui-même, se présente désormais comme un chauffeur de taxi à l’écoute et docile. C’est définitivement mieux que le violeur en série, songe Alice, tandis qu’elle s’installe bien à son aise dans le fauteuil passager. Ses pieds sont désormais nus, débarrassés de ses escarpins insupportables. Les derniers mots du beau brun la laissent dubitative. « Ah oui tu obéis ? » Se pinçant les lèvres, le regard rivé sur l’homme, elle arbore dorénavant la malice au plus haut point. Une mine enfantine qui cache bien des idées dépravées. « Tu n’as pas peur de ce que je pourrais te demander ? » Elle réfléchit, vraiment elle fait l’effort de se creuser les méninges pour trouver de quoi l’occuper durant les prochaines heures. Lui, mais elle aussi. Elle n’est pas prête à quitter ce beau navire avant d’en avoir suffisamment profité. Du bout de l’index elle va augmenter le volume de la musique, puis baisse les vitres à leur maximum. « Prends l’autoroute, en direction du nord. Montre-moi ce qu’elle a dans le ventre, ta chérie. » Sur ces paroles, Alice lui adresse un large sourire plein d’excitation. « Sauf si t’as une femme à rejoindre ou des enfants à aller border... mais à cette heure-ci, j’en doute fort. »
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
|
|