YESTERDAY'S NEWS |48
- InvitéInvité
Netflix and chill, yeah baby!
À vivre sans un clou, frère, on en devient marteau.
ENZO&MICAH
À vivre sans un clou, frère, on en devient marteau.
ENZO&MICAH
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C'est les mains fourrées dans les poches, capuche vissée sur la tête, que tu marches le long d'un bout de trottoir, une moue blasée sur le visage. En fait, tu guettes un peu, en même temps. T'as grave envie de fumer toi, mais t'as les poches vides. Du coup, tu zones devant un bureau de tabac, histoire de choper un paquet de clopes gratos. Tu repères un vieux qui s’achète un paquet de cigarettes? Parfait! Tu lui chopes le bras, et tu lui coinces dans le dos, tu piques le paquet en carton, même pas encore ouvert et tu te barres en courant. Des fois, c'est pas facile de faire les courses, des fois si. Là, c'était pas trop dur, ça va. Au bout de deux ou trois rues, tu t’arrêtes de courir et tu finis ta route en marchant. Tu pousses la porte du hall et tu descends. C'te vieux appart inhabité au sous-sol, que t'as repéré avec Enzo. Vous le zonez, tout les deux. C’est une coloc gratos, c'est bien. "Bébé, j'ai acheté des clopes!", que tu dis en entrant dans l'appartement. Enfin, acheté est un bien grand mot. Toi, quand tu dis que tu fais les courses, c'est que tu voles. Il est encore en train de papouiller ses petites fleurs, Enzo. Tu le regardes faire et tu poses les cigarettes sur la table basse. Ou plutôt, sur la palette qui vous sert de table basse. L'autre jour, vous avez chourave une télé. Tu la démarres, en t'affalant sur le vieux canapé déchiré et taché, ce vieux canapé qui pue un peu la pisse, remplit de vieilles miettes de gâteaux sèches, de capotes usagées probablement entre deux coussins et d'autres trucs suspects non identifié. Tu tournes la tête vers le cultivateur, un petit sourire en coin, tu siffles en le taquinant, les yeux rivés sur ses fesses, "Joli postérieur, le jardinier". Tu te marres bêtement en ouvrant le paquet de cigarettes et t'en allumes une sans attendre. La première bouffée est tellement bonne, que tu fermes les yeux pour l'apprécier encore plus. Deux secondes après, tu regardes l'écran de la télé. C'est une émission de télé-réalité. "Non, mais regarde moi cette pouf, avec son décolleté jusqu'au nombril et son gros cul, tssss tchip!". Si un jour t'as la chance d'avoir une meuf, jamais tu la laisses s'afficher comme ça, c'est clair. Tu regardes Enzo et tu lui fais signe, "Aller frère, laisse ta douce amie tranquille et viens regarder un peu la téloche en fumant, avec oim'". Tu sors un paquet de gâteau de dessous la palette et tu l'ouvres. C’est périmé de 3 jours, mais tant pis. Tu en donnes un à Enzo, "T'en veux chaton?". Tu t'enfonces un peu plus dans le canap', affalé entre les coussins. On est bien, là.
- InvitéInvité
J’avais beau avoir un job stable et un pseudo-salaire, je reste suffisamment fauché pour vivre correctement dans cette misérable. Mais j’ai ce truc, qui m’a toujours fait rater tout ce que j’entreprenais. Vous savez, cette flemme de tout, cette envie de rien. Ce gâchis permanent à voir les autres s’épanouir et toi squatter un vieux sous-sol lugubre. En fait, ça me colle à la peau. Je crois que le seul endroit où j’ai envie de poser mon cul, c’est un endroit imparfait dans un lieu inhabité. Vous savez, le genre d’endroit qui ne fait ni piaule ni quoi que ce soit d’ailleurs. Le genre d’endroit ou personne ne se sent en sécurité, peut-être à part moi. Le genre d’endroit qui fait se crisper ma mère. Je ne demande pas la vie, pas le bonheur, juste la survie. Une vie simple, sans faux-semblants. Je suis peut-être pourri de l’intérieur, mais je n’ai pas tous ses verres sifflants qui parcours mes entrailles comme ces vendus. Moi, je veux faire ce que j’aime. Être la personne que je suis. Et me foutre de tout le reste. Bon nombre doit qualifier la relation que j’ai avec Micah de truc à gerber. Lui, il est un peu devenu le centre de ma vie. Lui et moi, on s’aime simplement, c’est tout. C’est l’homme de ma vie, mais comme toutes relations si fusionnelles y’a rien de basique. C’est pas compliqué. Lui et moi, on s’entend, on s’amuse et puis voilà. Pas de prise de tête. On a toujours été sur la même longueur d’onde. Lui n’avait rien et moi je voulais rien avoir.
C’est posé sur ce pseudo-canapé miteux récupéré certainement dans l’une de ses rues crasseuses dans les bas-fonds de LA. Le truc peu conventionnel, un peu comme nous. On ne savait pas où il avait pu traîner, mais à l’état de notre vie, on pouvait bien lui offrir une seconde vie. J’avais le cul posé dessus donnant toute mon attention à cette plante dont je portais plus d’importance qu’à ma propre apparence. Cette plante, c’est mon salut. C’est plante c’est mon délirium. Cette plante, c’est mon échappatoire.
La porte en alu grinçait. Micah était là. Il avait été volé, comme chacun des trucs qu’il portait ou bouffait. Je ne savais pas qui il avait dû agresser pour avoir ce paquet de clopes, mais je n’y portais plus d'attention. Je ne relevais même pas le regard, trop occupé à effleurer les feuilles que j’allais hacher. Il s’assoit et pose les clopes. Me lance une phrase que je perçois comme moquerie. Je lui donne un coup dans le torse, comme à mon habitude. Il s’en brûle une. Je lui tends la main pour qu’il m’en fasse profiter. Je prends une taffe et lui redonne avant de relever la tête vers ce qu’il matait.
« Moi, j’me la taperais bien. »
Bien sûr que ce genre de femme je m’en fiche. Les m’as tu vu. Elle était bonne, c’est tout ce qu’elle avait pour elle. Une chatte, un cul et des seins. L’endroit rêvé pour lâcher sa semence sans se demander qu’est-ce que je fais si elle devient accroc. C’est le genre de meuf que tu jettes. C’est triste. Mais c’est la réalité.
Je lui pique une cigarette, l’éventre légèrement et en verse dans mon papier pour le mélanger avec des bouts de weed un peu partout. Je léchais le rebord et roulai correctement mon joint. Je lui piquais son briquet et m’installai au fond du canap. Je chipais dans son paquet de gâteau qu’il me proposait. Je le remerciais de façon presque inaudible avant de tirer une latte et de lui proposer.
« Fous un truc regardable. Pas trop chaud, sinon j’bande direct. »
Je posais mes pieds sur la palette à côté de Marla, ma jolie plante. Affalé comme une merde, je tirais salement sur le joint à n’en plus pouvoir. Libérant la fumée, la rependant dans tout l’appart.
C’est posé sur ce pseudo-canapé miteux récupéré certainement dans l’une de ses rues crasseuses dans les bas-fonds de LA. Le truc peu conventionnel, un peu comme nous. On ne savait pas où il avait pu traîner, mais à l’état de notre vie, on pouvait bien lui offrir une seconde vie. J’avais le cul posé dessus donnant toute mon attention à cette plante dont je portais plus d’importance qu’à ma propre apparence. Cette plante, c’est mon salut. C’est plante c’est mon délirium. Cette plante, c’est mon échappatoire.
La porte en alu grinçait. Micah était là. Il avait été volé, comme chacun des trucs qu’il portait ou bouffait. Je ne savais pas qui il avait dû agresser pour avoir ce paquet de clopes, mais je n’y portais plus d'attention. Je ne relevais même pas le regard, trop occupé à effleurer les feuilles que j’allais hacher. Il s’assoit et pose les clopes. Me lance une phrase que je perçois comme moquerie. Je lui donne un coup dans le torse, comme à mon habitude. Il s’en brûle une. Je lui tends la main pour qu’il m’en fasse profiter. Je prends une taffe et lui redonne avant de relever la tête vers ce qu’il matait.
« Moi, j’me la taperais bien. »
Bien sûr que ce genre de femme je m’en fiche. Les m’as tu vu. Elle était bonne, c’est tout ce qu’elle avait pour elle. Une chatte, un cul et des seins. L’endroit rêvé pour lâcher sa semence sans se demander qu’est-ce que je fais si elle devient accroc. C’est le genre de meuf que tu jettes. C’est triste. Mais c’est la réalité.
Je lui pique une cigarette, l’éventre légèrement et en verse dans mon papier pour le mélanger avec des bouts de weed un peu partout. Je léchais le rebord et roulai correctement mon joint. Je lui piquais son briquet et m’installai au fond du canap. Je chipais dans son paquet de gâteau qu’il me proposait. Je le remerciais de façon presque inaudible avant de tirer une latte et de lui proposer.
« Fous un truc regardable. Pas trop chaud, sinon j’bande direct. »
Je posais mes pieds sur la palette à côté de Marla, ma jolie plante. Affalé comme une merde, je tirais salement sur le joint à n’en plus pouvoir. Libérant la fumée, la rependant dans tout l’appart.
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À vivre sans un clou, frère, on en devient marteau.
ENZO&MICAH
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La zapette dans les mains, le cul vissé dans le canapé pourrit, les yeux rivés sur l’écran de la télé. Tu hausses les épaules. Tu sais pas si tu pourrais la baiser toi, celle ci, de meuf. Des fois, elles sont tellement dégueulasses et répugnantes de puterie que ça te dégoûte. "Ça a l'air d'être une grosse crasseuse, elle...", que tu dis à Enzo. Le genre de meuf qui frotte son cul un peu partout, sans aucune dignité, y'a même pas de défi, elle écarte les cuisses direct, c'est même pas rigolo, y'a aucun challenge. Il te pique ta clope, tu la récupères, une fois qu'il a fumer un peu. Tu le regardes. longtemps, et pis tu souris, comme un con. Rien que le fait de le voir comme ça, ça te fait plaisir. Lui, si il lui arrivait un problème, tu deviendrais complètement cinglé, on devrait t’enfermer en psychiatrie. C’est toute ta vie, lui, c’est l'homme de ta vie, tu l'aimes comme un dingue. Tu poses ta main sur sa cuisse. Il te demande de changer de chaîne, sinon il va bander. Il est en train de se rouler un bédot, et de le fumer. Tu le fixes avec des yeux de chiens battus, et tu lui dis, "Tu me fais fumer un peu?". Tu respires la fumée qu'il souffle et tu fermes les yeux. Cet odeur tellement habituelle, tellement quotidienne mais aussi tellement jouissif, à la fois. Tu t'en lasserais jamais. Tu changes de chaine, tu zappes, tu zappes. Tu sais pas quoi mettre, il y a rien d’intéressant. Tu trouves une chaines avec des dessin animé. Votre âme d'enfant sera comblé, avec ça. Tu poses la télécommande sur la palette et tu t'allonges. La tête sur les genoux de Enzo, en regardant l'écran et en mangeant ton gâteau périmé, et un peu trop sec pour être apprécié à sa juste valeur. Mais ton ventre vide prend ça pour un repas luxueux déjà. D'ailleurs, il gargouille. La dalle. Les crocs. "T'as fais quoi aujourd'hui bébé, à part te caresser la teub avec Marla?". Tu le regardes d'un air amusé, un sourire en coin, et des yeux de pervers. Tu sais très bien à quel point Enzo il passe des journées entières à s'occuper de son pied d'herbe. Tu le connais par cœur. Tu jettes l'emballage du gâteau par terre, tu ramasseras plus tard. Là, t'as carrément la flemme de faire du rangement. "J'ai tellement faim, putain....". Tu te lèves du canapé et tu vas fouiller dans le petit frigo, le tout rouillé là, avec la porte qui grince et qui ferme mal. Un truc récupéré dans une déchetterie, qui marche une fois sur deux. Vide. "Va falloir aller faire les courses". Soit t'y vas tout de suite, mais la grosse flemme. Soit tu te contentes de ton paquet de gâteaux périmés et tu iras plus tard. Tu te retournes vers Enzo, un sourcil levé. L'air de lui demander ce qu'il en pense.
- InvitéInvité
Rien de ouf. Moi je ne porte pas de jugement. Il est clair que ces filles dans ce genre de programme télé sont plus qu’idiotes. Pas une pour rattraper les autres. La plupart complètements vulgaires. Certaines sont carrément bonnes. Par là entendez physiquement. Y’en a pas mal de baisable. Non franchement, ce genre de d’émissions c’est bien à regarder sans le son et pour se branler. En tout cas, Micah me fait rire. Il a de ces termes. « Ca c’est obligé, sinon passerait pas de ce genre d’émission. Mais si elle me chauffait, je la retournerais, la ferais se baisser et la baiserais. » Oui j’étais cru. Je me foutais de ce que je disais, après tout, je le pensais. En core plus quand c’est à Micah que je le dis. Avec lui tout est encore plus simple qu’avec les autres. Avec lui tout à toujours été très simple. Il est mon meilleur ami, mon frère, l’homme de ma vie quoi. Celui a qui je me confis. Celui à qui je peux balancer les inepties les plus débiles.
Ca me fait sourire. Oh mon dieu que c’est con. Franchement faut vraiment qu’il zappe, cette chaîne va me rendre encore plus con que je ne le suis. Alors quand il pose sa main sur ma cuisse, je n’y fais même pas gaffe. A vrai dire, lui et moi on a déjà été plus loin et alors sa main sur ma cuisse… Bon je baissais quand même le regard légèrement vers avant de me tourner vers lui pour lui fumer le joint que je venais de me rouler. Je repose le regard sur le téléviseur et rigole en voyant sur quoi il s’arrêtait. Yeah la chaîne des dessins animés. La vie. J’aimais retourner en enfance et arrêter de grommeler. J’avais plutôt tendance à rigoler et encore plus sous les effets de mon joint. Je le laissais s’installer sur moi, ne ronchonnant pas. J’étais pris dans ce pseudo dessin animé. Putain qu’est-ce qu’ils sont psychédéliques les nouveaux. Rien de mieux que nos bons vieux anciens dessins animés ! « Hum j’ai été visiter ce hangar en plein centre-ville. Franchement je crois que je vais l’acheter, faut vraiment que je taffe plus. » Je le voyais se tortiller en hurlant sa faim. « Et toi, à part voler ces cigarettes, t’as fait quoi ? » Je dégage mon bras pour le laisser se lever et aller se diriger vers cette pseudo cuisine. « Ah ouais putain, j’ai oublié de les faire, c’était mon tour. Euh… regarde dans ma veste je dois avoir quelques billets, suffisamment pour une pizza ou un truc dans le genre. » Je restais cloué sur le canapé à fond devant ce qu’il se passait devant mes yeux.
Ca me fait sourire. Oh mon dieu que c’est con. Franchement faut vraiment qu’il zappe, cette chaîne va me rendre encore plus con que je ne le suis. Alors quand il pose sa main sur ma cuisse, je n’y fais même pas gaffe. A vrai dire, lui et moi on a déjà été plus loin et alors sa main sur ma cuisse… Bon je baissais quand même le regard légèrement vers avant de me tourner vers lui pour lui fumer le joint que je venais de me rouler. Je repose le regard sur le téléviseur et rigole en voyant sur quoi il s’arrêtait. Yeah la chaîne des dessins animés. La vie. J’aimais retourner en enfance et arrêter de grommeler. J’avais plutôt tendance à rigoler et encore plus sous les effets de mon joint. Je le laissais s’installer sur moi, ne ronchonnant pas. J’étais pris dans ce pseudo dessin animé. Putain qu’est-ce qu’ils sont psychédéliques les nouveaux. Rien de mieux que nos bons vieux anciens dessins animés ! « Hum j’ai été visiter ce hangar en plein centre-ville. Franchement je crois que je vais l’acheter, faut vraiment que je taffe plus. » Je le voyais se tortiller en hurlant sa faim. « Et toi, à part voler ces cigarettes, t’as fait quoi ? » Je dégage mon bras pour le laisser se lever et aller se diriger vers cette pseudo cuisine. « Ah ouais putain, j’ai oublié de les faire, c’était mon tour. Euh… regarde dans ma veste je dois avoir quelques billets, suffisamment pour une pizza ou un truc dans le genre. » Je restais cloué sur le canapé à fond devant ce qu’il se passait devant mes yeux.
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Netflix and chill, yeah baby!
À vivre sans un clou, frère, on en devient marteau.
ENZO&MICAH
À vivre sans un clou, frère, on en devient marteau.
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D'la merde! Voilà ce qui passe à la télé en ce moment, même. Les dessins animés, c'est bien mieux. Ton âme de gosse insupportable est comblé avec ça. Malgré tout, tu souris en coin en entendant Enzo s’exciter, comme quoi il la retournerait et la baiserait, cette nana là. Tu lèves les yeux vers lui en riant comme un coquin, et tu lui dis d'un air taquin, "Et moi? Tu me retournes et tu me baises quand?". Tu finis par éclater de rire. Enzo, il est comme ça, on dirait qu'il a honte de rien. Sale beau gosse va. Tu l'admires, il a tellement d’aisance et de classe. T'en es presque jaloux, des fois. Vous parlez de vos journées, tout en regardant le dessin animé qui passe à la télé. Tu t'es à moitié allongé sur le canapé, la tête sur les jambes de ton meilleur ami. Toi, tu grignotes un gâteau. Tu fais malencontreusement tomber une petite miette entre les cuisses de Enzo, tu la choppes pour la récupérer et tu la manges, pas de gaspillage, tu l'as déjà tripoté plusieurs fois, t'façon. T'as fais quoi toi aujourd'hui, Micah, c'est Enzo qui te demande. "Tu me feras visiter ce hangar? Ben moi j'ai traîné, comme d'hab...". T'as un peu honte en fait, tu fais rien de tes journées toi, tu sais rien faire, personne veux de toi et tu te fais presque dégager de partout. Limite tu sers à rien, finalement. Des fois, tu existerais pas, ça serait exactement pareil... Tu restes un peu pensif, à regarder vaguement la télé. T'as mangé le dernier gâteau périmé du paquet. Ton ventre te rappelle à l'ordre, tu te lèves doucement et tu vas checker le frigo. Hum... Un peu vide... Quand tu parles de courses, Enzo dit qu'il a oublié, il te dit de regarder dans ses poches de blouson. T'espères ne pas tomber sur un truc suspect en fouillant là dedans. Tu attrapes la veste et tu fourres ta main dans la poche. Tu sors deux ou trois billets. "Je vais essayer d'avoir une pizza avec ça." Tu secoues la tête, pitoyablement. Enzo est à fond sur l'écran de télé, le dessin animé à l'air vraiment prenant. Tu lui demandes, "Tu veux quoi comme pizza?". Il a pas l'air de répondre. Trop concentré apparemment, ou alors il t'as tout simplement pas entendu. "Bébé! J'ai trop envie de te sucer la QUEUE et AVALER ton sperm!", que tu t'écris, pour le sortir de ses pensées. Une fois que tu as toute son attention, tu rigoles et tu lui demandes, "Alors gros, tu veux quoi, comme pizza?". Tu enfiles ton blouson et tu fous ta capuche sur ta tête, en l'écoutant et tu sors rapidement en frissonnant. Ça caille un peu ce soir. Tu files vite jusqu'au camion pizza et tu achètes une pizza pour deux personnes. Enzo a assez d’argent pour un peu plus... Tu te permets d'acheter deux canettes de coca en plus. Et voilà. Plus de billets, déjà... Ça part vite, ces petits bouts de papiers verts... Tu attends à coté du camion, que le type fasse ta pizza. Tu fumes une clope en patientant. Tu grelottes de temps en temps. Une fois que ta pizza est prête. Tu choppes la boîte en carton. Ça sent si bon, et puis ça te réchauffe les mains. Tu retournes bien vite dans le sous sol et tu poses la boite sur la palette qui vous sert de table basse. T'en salives déjà, rien que sentir l'odeur....
- InvitéInvité
Il est clair que la télé perdez de sens. A notre époque, ce n’est plus ça qui marche. Bin ouais vive internet et youtube. Quoi qu’il se passent tous des abrutis qui gagne de la thune grâce à notre bon vouloir. Et puis la télé n’accepte pas de perde de la notoriété alors ça casse les jeunes qui vivent avec leur époque. Qui à tort ? Qui a raison ? On s’en fou. Stop le foutage de gueule. Stop ces foutues conneries. Putain. Arrêtez de nous rendre plus con qu’on ne l’est ! N’allez pas vous embuer dans cette merde. Alors oui, les dessins animés y’a que ça de vrais. Enfin, quand tu vois comment les dessins animés sont tarés, je me demande pas s’ils sont juste adaptés à cette catégorie de personne qui ne veut pas se prendre la tête et qui veut se divertir. Encore mieux avec un joint à la main.
Quand il me demande quand est-ce que je m’occupe de lui, une expression de réflexion. Je ne tourne même pas le visage vers lui. Il aime me chercher. C’est certainement de la plaisanterie. Avec on ne sait jamais. Bon ok. On a une relation plus que spécial lui et moi. Ça nous arrive de coucher ensemble, en tout bien tout honneur. Des effluves, des envies, de l’amour, mais pas le bon. Enfaite, je ne sais pas. Peut-être que c’est plus agréable que je ne le pense mais je n’aime pas porter d’attention sur ce genre de chose. Je m’en fou de tomber sur l’amour, le vrai. Non mais vraiment, ça veut dire quoi cette connerie ? Bref. Je lui fais un p’tit fuck. Qu’il le prenne comme il le veut.
Ahh veut-on vraiment savoir ce qu’on fait de nos jours ? Ca fait vraiment vieux couple qui n’a aucune discussion. Et ça ce n’est pas nous ! Et puis, je sais très bien ce qu’il a fait. Alors quand il me le dit, bah je n’suis tellement pas surpris… Comment pourrais-je l’être… « Ouais. Mais j’veux pas m’faire de faux espoirs. » Il a zoné. Je le comprends. Mais je sais qu’il veut se bouger, mais il ne le fait pas. Manque de volonté ? Non, juste la flemme. Il est heureux de comment il vit mais il veut de la thune. Stop le racket des p’tits vieux en ville. Go épouser une milf en manque d’affection et plein de thune…
Il a faim. Enfaite, c’est un ventre sur pattes ce gars. Il a toujours faim. Je me pose même plus la question. Je lui balance de regarder dans ma veste. Moi je m’en fiche. Les dessins animés me nourrissent de toute la connerie dont j’ai besoin. Je ne prêtes plus vraiment attention à lui. Non mais regarder ce con de bob l’éponge avec son pseudo chat-escargot bizarre. Mais il se met à gueuler. J’ai même pas entendu. Ou p’t’être un sucer et sperm. Hum.. Pas étonnant. « Ah cool. » Je cherche pas. Y’a Bob qui passe le permis et dieu que ce moment est hilarant. « M’en fou. C’que tu veux. » Rivé sur la télé je bouge pas, bon à part pour fumer.
Le temps à passé vite. Je sais pas si c’est moi qui ai perdu la notion du temps ou si c’est juste Micah qu’y a été vite.. Bref. Quoi qu’il en soit, il passe devant moi pour poser la pizza et se réinstaller. Je grogne il passe devant l’écran. Bon j’en profite quand même pour lui claquer le cul. « Cool. Tu gères ! Et putain t’as raté un truc ! J’avais jamais vu cet épisode mais putain t’aurais kiffé ! »
Quand il me demande quand est-ce que je m’occupe de lui, une expression de réflexion. Je ne tourne même pas le visage vers lui. Il aime me chercher. C’est certainement de la plaisanterie. Avec on ne sait jamais. Bon ok. On a une relation plus que spécial lui et moi. Ça nous arrive de coucher ensemble, en tout bien tout honneur. Des effluves, des envies, de l’amour, mais pas le bon. Enfaite, je ne sais pas. Peut-être que c’est plus agréable que je ne le pense mais je n’aime pas porter d’attention sur ce genre de chose. Je m’en fou de tomber sur l’amour, le vrai. Non mais vraiment, ça veut dire quoi cette connerie ? Bref. Je lui fais un p’tit fuck. Qu’il le prenne comme il le veut.
Ahh veut-on vraiment savoir ce qu’on fait de nos jours ? Ca fait vraiment vieux couple qui n’a aucune discussion. Et ça ce n’est pas nous ! Et puis, je sais très bien ce qu’il a fait. Alors quand il me le dit, bah je n’suis tellement pas surpris… Comment pourrais-je l’être… « Ouais. Mais j’veux pas m’faire de faux espoirs. » Il a zoné. Je le comprends. Mais je sais qu’il veut se bouger, mais il ne le fait pas. Manque de volonté ? Non, juste la flemme. Il est heureux de comment il vit mais il veut de la thune. Stop le racket des p’tits vieux en ville. Go épouser une milf en manque d’affection et plein de thune…
Il a faim. Enfaite, c’est un ventre sur pattes ce gars. Il a toujours faim. Je me pose même plus la question. Je lui balance de regarder dans ma veste. Moi je m’en fiche. Les dessins animés me nourrissent de toute la connerie dont j’ai besoin. Je ne prêtes plus vraiment attention à lui. Non mais regarder ce con de bob l’éponge avec son pseudo chat-escargot bizarre. Mais il se met à gueuler. J’ai même pas entendu. Ou p’t’être un sucer et sperm. Hum.. Pas étonnant. « Ah cool. » Je cherche pas. Y’a Bob qui passe le permis et dieu que ce moment est hilarant. « M’en fou. C’que tu veux. » Rivé sur la télé je bouge pas, bon à part pour fumer.
Le temps à passé vite. Je sais pas si c’est moi qui ai perdu la notion du temps ou si c’est juste Micah qu’y a été vite.. Bref. Quoi qu’il en soit, il passe devant moi pour poser la pizza et se réinstaller. Je grogne il passe devant l’écran. Bon j’en profite quand même pour lui claquer le cul. « Cool. Tu gères ! Et putain t’as raté un truc ! J’avais jamais vu cet épisode mais putain t’aurais kiffé ! »
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Netflix and chill, yeah baby!
À vivre sans un clou, frère, on en devient marteau.
ENZO&MICAH
À vivre sans un clou, frère, on en devient marteau.
ENZO&MICAH
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BOUFFER. C'est tout ce qui t'importe là, pour le moment. Tu lui fais les poches et tu files chercher une pizza. T'as galéré pour avoir une réponse de Enzo, t'as même pas eu de réponse correct. Tant pis pour lui, il mangera ce que tu lui ramèneras, il aura pas le choix, de toute façon. Après un moment d'attente au camion pizza, tu reviens dans votre zone. Il a pas bougé, ce con. Toujours le cul vissé dans le canapé, à regarder la télé. Tu passes devant lui en posant la pizza sur la table. Il se permet en plus de râler et de te claquer le cul. Tu grognes, genre agacé, mais juste pour la forme. Parce que t'aimes bien, quand même, les fessées. Tu te laisses tomber à coté de lui. "Ah ouais, j'ai loupé quoi?", que tu lui demandes, quand il te parle de Bob l'éponge. Un vrai gosse. Après on dit que c'est toi, le mec immature, mais vous êtes aussi gamin l'un que l'autre en fait. Tu coupes la pizza en quatre, à la main et tu lui en donnes une part. Tu t'en prends une. "Bon app, bébé", que tu lui dis, en te goinfrant, comme un sauvage. Tu fermes les yeux en savourant. Les morceaux de chorizo tout chaud avec le fromage, y'a rien de meilleur. "Hmmmm! C'est trop bon. C'est encore meilleur qu'une pipe, putain!", que tu dis en riant, la bouche pleine. T'es un cochon, Micah, tu manges comme un petit porc, toi. Tu finis rapidement ta bouchée, tu bois en même temps. Ça fait trop du bien, de manger. Tu engloutis une deuxième part, pis tu laisses l'autre moitié à Enzo. Tu t'affales sur lui en regardant la télé. C'est encore un épisode de Bob l'éponge. "Tu trouves pas que Patrick et Bob, on dirait un peu nous?" que tu dis au rital. Les deux meilleurs amis un peu concons et gamins qui foutent la merde partout où ils passent. Tu souris en coin en levant des yeux coquins, vers Enzo, pour le taquiner. "Je vais t’appeler Patrick, maintenant, chéri", que tu lui dis pour l'emmerder. Et pis tu te marres, bêtement. Parce que t'es bête, en vrai. Bon Bob l'éponge ça commence à être chiant, c’est bien cinq minutes mais là c’est long. Tu rattrapes la télécommande et tu zappes. Tu sais pas trop quoi mettre, alors tu la donnes à Enzo. Il choisira lui même. Tu lui attrapes sa deuxième main et tu la serres contre toi, comme un doudou. Ouais, t'es un gros bébé toi, Micah. Encore un peu et tu t'endormirais presque. Tu vagabondes dans tes pensées, les yeux à demi fermé, rivé sur l'écran, sans trop regarder les images. En même temps, tu caresses doucement la main de Enzo avec ton pouce. "C'est quand qu'on devient riche, putain?", que tu dis, à moitié ensommeillé. T'as plein de projets toi, pour quand tu seras riche, si un jour tu deviens riche, évidemment. Tu lèves à nouveau les yeux vers ton meilleur ami, et pis tu lui demandes, " Si jamais t'avais une grosse somme d'argent, tu ferais quoi toi? Le tout premier truc que tu ferais, ça serait quoi bébé?"
- InvitéInvité
Oui je suis du genre passionné et je pourrais passer des jours et des jours devant les dessins animés, tant que j’ai un bon joint au bout des doigts. Eh ouais, je ne suis pas un mec compliqué et encore moins contrariant. Vous savez comme les gamins quand ils te font chier et que tu veux t’en débarrasser alors tu les fous devant la télé pour avoir la paix. Je suis sûr Micah doit se servir de ça des fois pour ne plus m’avoir sur le dos. Bah ouais je suis chiant parfois, je l’assume totalement d’ailleurs mais avec Micah on est parfois tellement pareil que ça en est vraiment emmerdant. Il passe, je grogne et le fesse pour le faire dégager plus rapidement de devant moi. Je pense d’ailleurs qu’il l’a fait exprès pour que je touche son cul. Vil pervers celui-là… « T’avais qu’à être là ! » dis-je, un large sourire au visage. Alors que je lorgne avec passion sur cette part qu’il me tend et que j’attrapes sans plus attendre. « Merci, toi aussi, chéri. » Je me refous dans le canap en mode larve, un pied posé dessus. Quand il parle de pipe, je tourne la tête et le regarde de travers. « T’es sérieux ? Meilleur qu’une pipe ? Putain t’es tombé sur des merdes alors, arrête les mineurs au coin de la rue. » Je finis ma part et n’en reprend pas une. Je le vois juste vouloir se refoutre sur moi, je dégage mon pied du canap, voyez comment je suis vraiment trop gentil. « Ta gueule, c’est toi qu’à le bide de Patrick » Je lui donnais une petite tape derrière le crâne. Alors quand il change de chaîne je grogne. « Putain t’es chiant ! Je n’vais pas savoir ce qu’il va arriver à Sandy maintenant. » Je continuais en lançant certainement une ou deux vulgarités bafouillées dans ma barbe, enfin la pseudo barbe d’imberbe que je n’ai pas taillé depuis 1715. Alors quand il me tend la télécommande, je m’en saisis et le laisse emprisonner l’autre. Je zappe et l’écoute brièvement en m’attardant à trouver une chaîne potable. Y’a vraiment que de la merde à la télé. « Hum… Mon hangar, ma weed et plus d’illégalité ? » Je pose les yeux sur lui. Il le sait très bien ce que je veux tout comme je sais ce qu’il veut, mais je le dis. « Et toi, chéri ? » Je pose ma main qu’il caresser sur sa joue pour la caresser. « On sera riche, tu verras. Je te le promets. » Je relève la tête et mets du porno, un sourire aux lèvres. « Ah là on est bien. »
- InvitéInvité
Netflix and chill, yeah baby!
À vivre sans un clou, frère, on en devient marteau.
ENZO&MICAH
À vivre sans un clou, frère, on en devient marteau.
ENZO&MICAH
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Quasiment affalé de tout ton long sur Enzo, tu as presque terminé de savourer ta délicieuse pizza. Qu'est-ce que ça fait du bien, de manger, comme ça. Ou plutôt, de te goinfrer comme un gros cochon sauvage. Il te dit que t'as raté un super épisode de Bob L'éponge. Tu hausses les épaules, tu rotes et tu te marres, en guise de réponse. Tu lui fais un bisou sur la joue, pour te faire pardonner de ton impolitesse impoli. "Ouais meilleur qu'une pipe! On est pas tous des beaux gosses comme toi, j'ai que ce que je peux, pas ce que je veux", que tu lui dis, en riant comme une baleine. Si Enzo il est canon et qu'il a toutes les meufs et mecs qu'il veut, à ses pieds, contrairement à toi, tu as le fond des tiroirs, en fait. Quand tu le compares à Patrick, il te dis que c'est toi qu’a le bide de Patrick. "Je suis gros, tu trouves?", que tu lui demandes, d'un faut air choqué et vexé. Tu t'amuses à lui caresser la main tout doucement, pendant qu'il choisit de quoi mettre, à la télé. La conversation dévie sur vos occupations de la journée. La banalité total. Il tombe sur un film porno, il a l'air satisfait de son choix et il laisse ce programme. "Génial, comme ça on va bander comme des porcs, pis on sera comme deux gros cons, 'vec not' trique", que tu lui dis. Deux ânes en train de bander, sans putes a se mettre sous la dent. Tu regardes les images, bah ça y ai, trop tard, du bandes déjà. Tu te marres, pis tu lui dis, "ça doit être tellement kiffant, d'être acteur porno, quand même. Etre payé, pour baiser! T'imagines le pied, c'est dar quand même hein!" Tu restes affalé sur lui, ta tête bien calée sur ses cuisses. Tu risques d'avoir bientôt un oreiller, qui va grossir de plus en plus, sous ta tête. Tant mieux, tu seras plus à l'aise. Tu souris en coin, levant les yeux vers lui. "L'aut' jour, j'ai ken une actrice porno, elle était complètement défoncé et drogué, mais c'était plutôt cool", que tu lui racontes. C'est sûrement, parce qu'elle était en train de planer, qu'elle t'a laisser faire, à moins que ce soit son côté zoophile qui ressortait. Se faire ken par une licorne, y'en a pour qui ce doit être un fantasme chelou. Sûrement. Tu choppes un coca sur la table basse et tu le sirotes doucement, en regardant la télé. "Et demain,tu fais quoi, toi?", que tu lui demandes, d'un air curieux, en arrangeant ta trique dans ton boxer, pour pas que ça te fasse trop mal. Toi, tu vas faire quoi demain, Micah? Tu sais même pas trop, encore. Rien, certainement, comme hier, et comme aujourd'hui, pis comme demain et après demain. Et comme toujours.
- InvitéInvité
Je crois que je suis littéralement un grand fan de la petite sponge, l’effet de la fumette amplifiait certainement la chose et clairement, je m’en foutais, j’étais carrément captivé par ce qu’il se passait devant mes yeux ébahis. Micah était pire qu’étalé sur moi, comme à son habitude, il aimait s’appuyer contre moi. J’en avais pris l’habitude, le fait qu’il bouffe sur mes genoux et en foute de partout, je savais y faire abstraction, certainement parce que je suis un aussi gros porc que lui. Mais quand il vient roter et rigoler, j’attendais qu’il pète, mais il ne le fit pas. Je ne suis pas déçu, non on ne peut pas être déçu de se genre de chose, mais je ne portais pas grande attention à sa réponse bruyante… Mais je lui donne une tape derrière la tête quand il réplique.
« Sinon, c’est quand que je viens t’éclater la gueule contre la pizza ? De un je pécho pas plus que toi, de deux, on compare pas la bouffe à une pipi wesh, jamais mélanger les deux, après tu vas finir par te retrouver à bouffer le pied d’une meuf, ça ferais mauvais effet... »
Je grogne légèrement en me réinstallant, n’hésitant pas à le faire bouger pour le faire chier, nan mais oh. Raison de plus quand il me compare à Patrick, je sais que je suis tebê mais quand même, je ne suis pas rose ! Bon j’avoue je dois avoir un tee-shirt et une casquette rose mais quand même…
« Tu m’emmerdes, Micah. T’es beau et tu sais que je le pense. »
J’ai horreur des débordements d’émotions. Je n’aime pas parler de mes sentiments, c’est trop surfait et je ne vois pas lutter de débattre là-dessus, mais il le sait et il le fait exprès et pourtant ça m’énerve toujours autant. Putain de con, si je ne l’aimais pas, je l’aurais envoyé balader depuis longtemps. Il s’amuse et je le vois très bien, il me caresse la main, me regarde bizarre, j’aime pas ça. Je m’occupe juste de zapper pour trouver la chaîne qui pourrait être amusante, mais a contrario je m’arrêtais sur du porno, plus sympa qu’amusant. Je rigole quand même à sa connerie alors que je me concentrais sur la télé en le voyant lever le mât.
« T’es un porc, moi j’fais pas ça en public… »
Je dandinais légèrement avant de baisser la tête vers lui et d’écouter encore ses conneries.
« L’horreur oui, baiser des moches avec des gros trous toute la journée… »
Comme tout être normalement composé, j’aime le sexe, mais je ne passerais pas ma vie à ça, j’aime pas user des petites pilules bleues pour rester dans le game. Je commence peut-être à mon tour à bander, mais je reste ferme et essaie de me contrôler pour ne pas avoir à lui taper l’oreille avec mon entre-jambe rutilant. Mais du coup, je débande un peu quand il me raconte son histoire limite glauque.
« T’as pris ton pied au moins ? »
Je change de chaîne quand il prend son coca pour zapper sur la merde conséquente américaine. Stop la famille Kardashian et toutes ses merdes, putain, ils en n’ont pas marre ? Alors quand il me demande mon programme de demain, je ne réfléchis même pas.
« Demain ? Je sais pas, je verrais sur le moment ce que j’ai envie de faire, maggle. »
Je ne lui demande même pas ce qu’il va faire, j’aime pas les conversations ridicules.
« Sinon, arrête de bander, je vais te mettre devant les kardashian, tu vas débander rapidement. »
Je les trouve même pas belles ses meufs, un peu comme Paris Hilton quoi, juste des corps et des portes-feuilles bien trop remplie, a contrario de leurs cerveaux bien raplapla.
« Sinon, c’est quand que je viens t’éclater la gueule contre la pizza ? De un je pécho pas plus que toi, de deux, on compare pas la bouffe à une pipi wesh, jamais mélanger les deux, après tu vas finir par te retrouver à bouffer le pied d’une meuf, ça ferais mauvais effet... »
Je grogne légèrement en me réinstallant, n’hésitant pas à le faire bouger pour le faire chier, nan mais oh. Raison de plus quand il me compare à Patrick, je sais que je suis tebê mais quand même, je ne suis pas rose ! Bon j’avoue je dois avoir un tee-shirt et une casquette rose mais quand même…
« Tu m’emmerdes, Micah. T’es beau et tu sais que je le pense. »
J’ai horreur des débordements d’émotions. Je n’aime pas parler de mes sentiments, c’est trop surfait et je ne vois pas lutter de débattre là-dessus, mais il le sait et il le fait exprès et pourtant ça m’énerve toujours autant. Putain de con, si je ne l’aimais pas, je l’aurais envoyé balader depuis longtemps. Il s’amuse et je le vois très bien, il me caresse la main, me regarde bizarre, j’aime pas ça. Je m’occupe juste de zapper pour trouver la chaîne qui pourrait être amusante, mais a contrario je m’arrêtais sur du porno, plus sympa qu’amusant. Je rigole quand même à sa connerie alors que je me concentrais sur la télé en le voyant lever le mât.
« T’es un porc, moi j’fais pas ça en public… »
Je dandinais légèrement avant de baisser la tête vers lui et d’écouter encore ses conneries.
« L’horreur oui, baiser des moches avec des gros trous toute la journée… »
Comme tout être normalement composé, j’aime le sexe, mais je ne passerais pas ma vie à ça, j’aime pas user des petites pilules bleues pour rester dans le game. Je commence peut-être à mon tour à bander, mais je reste ferme et essaie de me contrôler pour ne pas avoir à lui taper l’oreille avec mon entre-jambe rutilant. Mais du coup, je débande un peu quand il me raconte son histoire limite glauque.
« T’as pris ton pied au moins ? »
Je change de chaîne quand il prend son coca pour zapper sur la merde conséquente américaine. Stop la famille Kardashian et toutes ses merdes, putain, ils en n’ont pas marre ? Alors quand il me demande mon programme de demain, je ne réfléchis même pas.
« Demain ? Je sais pas, je verrais sur le moment ce que j’ai envie de faire, maggle. »
Je ne lui demande même pas ce qu’il va faire, j’aime pas les conversations ridicules.
« Sinon, arrête de bander, je vais te mettre devant les kardashian, tu vas débander rapidement. »
Je les trouve même pas belles ses meufs, un peu comme Paris Hilton quoi, juste des corps et des portes-feuilles bien trop remplie, a contrario de leurs cerveaux bien raplapla.
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