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YESTERDAY'S NEWS |48
- Ezekiel EastwoodI'm a Mother Fucker
-
Dollars : 2924
Messages : 544
Date d'inscription : 09/03/2018
Avatar : nicolas simoes
Crédits : ASTRA (avatar)
Autres comptes : dora & ansel
Âge du personnage : vingt sept ans
Nationalité(s) : espagnole & américaine
Signe astrologique : Taureau
Mon personnage, en 5 mots : why are you holding back ?
Quartier de résidence : Eastside
Carrière, métier ou job : photographe de presse pour le L.A. Times.
Études (passées ou en cours) : deux ans de philo, puis école d'art, spécialisation photo.
Hobby : basket, photo, son chat, lire, prendre un café, explorer la ville.
Orientation sexuelle : Bisexuel(le)
Situation sentimentale : C'est ... compliqué
Avec : alice
ezekiel eastwood
il nous faut peu de mots pour exprimer l’essentiel.
L'INTERROGATOIRE
l'histoire surement. celle de ton pays de naissance. celle de celui dans lequel tu vis. l'histoire des grands inventeurs. comment les grandes guerres ont commencés. peut-être pour comprendre mieux l'humain, de ses inventions, ses fautes, en passant par ses décisions cruciales et ses découvertes et enfin les dates importantes. t'as envie de savoir comment on en est arrivé là.
partir un peu. voir d'autre paysages que les palmiers et les immeubles. de capturer des sourires d'autre nations dans ta mémoire. vivre différemment. espérer trouver quelqu'un qui te fasse vibrer. il te manque surement ce petit degré de folie. quant-à être le centre de l'attention. autant ton ego est satisfait devant des regards d'admiration. autant tu peux rougir, bafouiller et te mettre à parler espagnole en deux secondes, montre en main.
l'humain reste tellement différends des uns et des autres. le bonheur c'est un cocktail propre à chacun. trouver quelque chose pour lequel on a envie de se lever le matin. de foutre un pied hors du lit. sinon, autant pas en sortir. pour toi, suffit d'un rythme entraînant le matin et tu danses en faisant le café. faut pas oublier qu'un petit déjeuner au lit, la clope du matin, un bon livre, le sourire des inconnus dans la rue, le chat qui vient ronronner contre toi, c'est du bonheur à petite dose. assez pour remplier ta jauge pour la journée.
avoir un toit sur la tête. avec toute les galères familiale, on peut dire que ton appartement, tu le chéris plus que tout. mais pour ton ego personnel. tes photos. après deux ans de philosophie. qui t'ont juste fait découvrir la vie d'étudiant. la fameuse école d'art, tu sais pas par quel miracle tu y es entré, mais tu y es entré. spécialisation photo. et puis le regard approbateur d'un peu tout le monde, et les félicitations pour ta réussite. te voilà, qui arrive dans le monde du travail, pour faire ce qui te plait vraiment cette fois. petit annonce, entretient d'embauche, une poignée de main plus tard. tu commences la semaine suivante en tant que photographe de presse. mais au delà de ça, les photos que tu fais pour ton bonheur ou pour celui des autres. le souvenir d'une seconde. c'est ça, ta plus grande réussite.
la liberté d'expression. cette petite chose qu'on oublie beaucoup trop souvent. quand on se retient de dire ses quatre vérités, d'alimenter un débat, balancer les compliments qui filent dans nos neurones.
ce droit qui sort de nos mémoires et nous enferme dans un cercle de râlerie et de mécontentement. on en a le droit, de provoquer les institutions, de dire au média d'arrêter de nous mentir. de protester pour nous, être humain, de mettre nos corps et nos âmes pour faire ressortir les non dits et tabou pris dans les engrenages rouillés de la société.
ce droit qui sort de nos mémoires et nous enferme dans un cercle de râlerie et de mécontentement. on en a le droit, de provoquer les institutions, de dire au média d'arrêter de nous mentir. de protester pour nous, être humain, de mettre nos corps et nos âmes pour faire ressortir les non dits et tabou pris dans les engrenages rouillés de la société.
casier judiciaire ? pas grand chose à voir. pas grand chose à dire. surtout pas grand chose de répertorier. des vols par ci, par là. de la nourriture quand t'étais gosse. sur les marchés surtout. t'as été tenté, (qui ne l'aurait pas été ?) à passer dans la cour des grands en vieillissant. mais t'as vite découvert que le talent était pas là, se cacher autre part. à croire qu'il voulait pas de toi. tant pis. un autre te tendait la main, pour finir par te planter un couteau dans le dos. graffiti. graffiti sur graffiti. t'as appris, tu te souviens plus tout à fait comment tout ça a commencé. tu t'étais sûrement arrêté après les cours, regarder ses gars redonner vie au mur avec une facilité déconcertante. et puis, ils t'ont roder, à force de les observer, sans violence, ils sont juste venu te tendre une bombe. et avec toute la simplicité du monde t'as commencé. courbe après courbe. ça à donner un truc pas trop crade. alors t'as continué. jusqu'au jour où les flics ont débarqué. alors c'est la mascarade habituel. menotte aux poignets. lecture des droits. et bla bla bla. t'étais pas fier sur le coup. surtout quand t'as entendu le "2 mois de prison". ah ? ah. oui. ça c'est fait. lentement, mais ça c'est fait. il y a des choses qui sont fait pour être vécu au moins une fois.
rien. pas grand chose surement. pas qu'il soit parfait. mais il est comme il est. et tu te sens pas de le façonner à ta vision. alors si t'avais ce pouvoir, tu le refilerais surement à quelqu'un. très peu pour toi ce genre de responsabilité. et puis même si il y avait cette fameuse paix dans le monde. plus de famine, de guerre. on pari combien que l'être humain ruinerait tout en moins d'une semaine ? alors ça servirait à rien. on recommencerait tout à zéro. alors autant se démerder avec ce qu'on a. faire avec. oui, y a des moments, où t'as envie de tout foutre en l'air. mais faut bien s'accrocher à quelque chose. et t'as choisis de t'accrocher à ceux qu'on peut appeler un résidu d'espoir. celui d'avoir encore des jambes pour te lever. un toit au dessus de tes neurones. des poumons pour fumer. et des yeux pour apprécier ce qu'il reste de beau.
les gosses qui ont besoin de se dépenser, t'en faisais parti. le terrain de basket du quartier, tu y passais des après midi entier. à faire dribbler le ballon avec ceux qui partageais la même énergie que toi. t'es devenu doué. t'essayes de conserver cette habitude, participer à quelques matchs amicaux avec ceux qui te reconnaissent. et c'est encore plus simple quand d'un tour de langue on peut se faire comprendre par le monde. l'espagnol fais encore parfois vibrer tes paroles avec ceux qui le comprennent. ou les insultes qui sortent sans que tu prennes le temps de les retenir. c'est peut-être comme ça que t'as réussi à la séduire elle. avec tes mots maladroits, d'un autre langage parfois. ça a duré. la belle vie. plus ou moins. comme dans tous les couples. et vous vous êtes fiancés. puis comme si tout les couples avaient une date de péremption. c'était fini. elle voulait partir. tu voulais resté. tu voulais pas être un poids, alors l'hirondelle à pris son envol.
DERRIÈRE L'ÉCRAN
Karma : Im a motherfucker Prénom/pseudo : renegades Âge : dix huit. Anniversaire : douze mars (bientôt eh oui) Localisation : france Présence : un peut tous les jours Personnage ...Inventé J'ai connu le forum : feu ardent d'amour Et je le trouve : love sur vos fesses. Ma plus grande peur : le monde mdr Un dernier mot ? si il y en a de LAPD qui me reconnaisse, raise your hand.
IMAGES SWEET DISASTER (avatar) tweek ✩ (icon)
- Ezekiel EastwoodI'm a Mother Fucker
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Date d'inscription : 09/03/2018
Avatar : nicolas simoes
Crédits : ASTRA (avatar)
Autres comptes : dora & ansel
Âge du personnage : vingt sept ans
Nationalité(s) : espagnole & américaine
Signe astrologique : Taureau
Mon personnage, en 5 mots : why are you holding back ?
Quartier de résidence : Eastside
Carrière, métier ou job : photographe de presse pour le L.A. Times.
Études (passées ou en cours) : deux ans de philo, puis école d'art, spécialisation photo.
Hobby : basket, photo, son chat, lire, prendre un café, explorer la ville.
Orientation sexuelle : Bisexuel(le)
Situation sentimentale : C'est ... compliqué
Avec : alice
BACK WHEN WE WERE KIDS
you better watch your mouth sunshine.
once upon a time.
T'as les yeux dans le vague, posé sur le peu d'étoiles que t'aperçois. Toutes les lumières éteintes, juste le noir de ton appart, que la nuit s'est empressé d'envahir. Tu peux rester des heures comme ça, à fixer le ciel. Jusqu'à ce que tu te rappelles que tu dois te lever pour aller bosser. Faut bien payer le loyer. Alors tu te laisses bercer par les bruits de la ville encore vivante, en priant pour que t'arrive à dormir. Parce que t'en à marre de t’inquiéter pour l'avenir. Marre de te demander si demain ça se passera bien, si on va pas te dégager de l'appart, te virer de ton boulot, te balancer tes vieux délits à la figure. C'est ça ce qui te reste ? T'inquiéter encore et encore ? T'es pas fait pour ça mon vieux. Réveille-toi. Secoue-toi. Vis ta vie. Vis comme l'adulte que t'es. Pas comme le gosse qui se répétait tous les matins qu'a sa majorité, il s'en irait de chez lui.
Parce que c'est bien beau, de penser qu'on peut débarquer comme ça, dans le monde des grands et s'en sortir. Tu te dis que tous les gosses doivent passer par là un jour. La grande désillusion de chaque génération. Et non les gars, ça sera pas plus facile pour vous non plus. Alors on trime, tous, les études (qu'elles nous plaisent ou non), le diplôme. Et après on peut peut-être espérer trouver quelque chose qui nous plaît. C'est pas ça le but au final ? Ce qui vaut à peu près tout l'or du monde : trouver quelque chose pour lequel on a envie de se lever le matin ?
Tu te considères comme chanceux. Inquiet de l'avenir, mais chanceux. Chanceux ou doué, t'hésites toujours. Peut-être un peu des deux.
(flashback)(onze ans et des poussières)
Ça bouge de partout. Tu comprends pas. À peine. On te demande de faire ta valise. Maman pleure un peu, de joie ou de tristesse, tu saurais pas dire. Papa pas du tout, toujours aussi fermer, mais tu vois dans ses yeux qu'il y a quand même un peu de bonheur. T'as toujours pas bouger, alors on t'attrape la main, ça doit être Zak. Ton frère t'emmène dans ta chambre, te dis de mettre tout ce que tu veux/peux dans la grande valise déjà à moitié remplie. Tu t'exécutes, un peu lentement faut avouer. Tâche terminée. On te reprend par la main. Jules, saute partout, ses mèches brunes dépassent de sa tresse. Ta mère s'accroupit à ton niveau, te prend le visage entre ses mains. Alors on te l'annonce enfin. On t'explique la cause de cette agitation. "Il est temps que vous viviez votre vie, créiez la vôtre." Elle te répète qu'elle a confiance en vous, que vous arriverez à vous intégrer. Que de la famille va vous prêter un appartement pour votre arrivée. Que tout se passera bien. Qu'ils vous enverront des sous.
Nouvelle crise de larmes de maman. Tu te souviens à peine du baiser sur ton front de papa. Tu te souviens juste de la main de Zak qui tient la tienne et celle de Jules, et de la porte qui claque sans grande douceur.
house of the rising sun.
T'as les yeux dans le vague, posé sur le peu d'étoiles que t'aperçois. Toutes les lumières éteintes, juste le noir de ton appart, que la nuit s'est empressé d'envahir. Tu peux rester des heures comme ça, à fixer le ciel. Jusqu'à ce que tu te rappelles que tu dois te lever pour aller bosser. Faut bien payer le loyer. Alors tu te laisses bercer par les bruits de la ville encore vivante, en priant pour que t'arrive à dormir. Parce que t'en à marre de t’inquiéter pour l'avenir. Marre de te demander si demain ça se passera bien, si on va pas te dégager de l'appart, te virer de ton boulot, te balancer tes vieux délits à la figure. C'est ça ce qui te reste ? T'inquiéter encore et encore ? T'es pas fait pour ça mon vieux. Réveille-toi. Secoue-toi. Vis ta vie. Vis comme l'adulte que t'es. Pas comme le gosse qui se répétait tous les matins qu'a sa majorité, il s'en irait de chez lui.
Parce que c'est bien beau, de penser qu'on peut débarquer comme ça, dans le monde des grands et s'en sortir. Tu te dis que tous les gosses doivent passer par là un jour. La grande désillusion de chaque génération. Et non les gars, ça sera pas plus facile pour vous non plus. Alors on trime, tous, les études (qu'elles nous plaisent ou non), le diplôme. Et après on peut peut-être espérer trouver quelque chose qui nous plaît. C'est pas ça le but au final ? Ce qui vaut à peu près tout l'or du monde : trouver quelque chose pour lequel on a envie de se lever le matin ?
Tu te considères comme chanceux. Inquiet de l'avenir, mais chanceux. Chanceux ou doué, t'hésites toujours. Peut-être un peu des deux.
(flashback)(onze ans et des poussières)
Ça bouge de partout. Tu comprends pas. À peine. On te demande de faire ta valise. Maman pleure un peu, de joie ou de tristesse, tu saurais pas dire. Papa pas du tout, toujours aussi fermer, mais tu vois dans ses yeux qu'il y a quand même un peu de bonheur. T'as toujours pas bouger, alors on t'attrape la main, ça doit être Zak. Ton frère t'emmène dans ta chambre, te dis de mettre tout ce que tu veux/peux dans la grande valise déjà à moitié remplie. Tu t'exécutes, un peu lentement faut avouer. Tâche terminée. On te reprend par la main. Jules, saute partout, ses mèches brunes dépassent de sa tresse. Ta mère s'accroupit à ton niveau, te prend le visage entre ses mains. Alors on te l'annonce enfin. On t'explique la cause de cette agitation. "Il est temps que vous viviez votre vie, créiez la vôtre." Elle te répète qu'elle a confiance en vous, que vous arriverez à vous intégrer. Que de la famille va vous prêter un appartement pour votre arrivée. Que tout se passera bien. Qu'ils vous enverront des sous.
Nouvelle crise de larmes de maman. Tu te souviens à peine du baiser sur ton front de papa. Tu te souviens juste de la main de Zak qui tient la tienne et celle de Jules, et de la porte qui claque sans grande douceur.
IMAGES tumblr
- InvitéInvité
Je suis rempli d'amour pour vous
Il me tarde de lire cette fiche
- InvitéInvité
Ce pseudo + Nicolas bae, j'suis déjà inlove!
Bienvenue sur IAMF, et bon courage pour ta fiche
Bienvenue sur IAMF, et bon courage pour ta fiche
- InvitéInvité
simoes
je peux te grattouiller derrière les oreilles?
je passerai te demander un lien
je peux te grattouiller derrière les oreilles?
je passerai te demander un lien
- InvitéInvité
bienvenue par ici et bon courage pour ta fiche
c'que t'es bo
c'que t'es bo
- InvitéInvité
Si t'es indécis, Grahmou peut te ramener du côté obscur de la force hein.
Bienvenue parmi nous.
Bienvenue parmi nous.
- Ezekiel EastwoodI'm a Mother Fucker
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Dollars : 2924
Messages : 544
Date d'inscription : 09/03/2018
Avatar : nicolas simoes
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Autres comptes : dora & ansel
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Nationalité(s) : espagnole & américaine
Signe astrologique : Taureau
Mon personnage, en 5 mots : why are you holding back ?
Quartier de résidence : Eastside
Carrière, métier ou job : photographe de presse pour le L.A. Times.
Études (passées ou en cours) : deux ans de philo, puis école d'art, spécialisation photo.
Hobby : basket, photo, son chat, lire, prendre un café, explorer la ville.
Orientation sexuelle : Bisexuel(le)
Situation sentimentale : C'est ... compliqué
Avec : alice
@Oscar Luccheti je suis vraiment contente que tu m'ais retrouvé sur bazzart.
@Cassiopeia Carrington déjààààà, j'suis sûr il y a moyen de remédier à ça merci
@Lena J. Abelli-Rhodes gratouille moi (derrière les oreilles) quand tu veux avec plaisir
@Arizona Harper-Duval JE SUIS CONTENTE DE TE REVOIR SWEETHEART
@Demetria Carrington ce pseudo merci beaucoup
@Graham B. Singleton alors là je retiens merci
@Livia Ackerman coucou clover (j'saispasj'aipensétotallyspies)
je passerais sur vos fiches de liens
@Cassiopeia Carrington déjààààà, j'suis sûr il y a moyen de remédier à ça merci
@Lena J. Abelli-Rhodes gratouille moi (derrière les oreilles) quand tu veux avec plaisir
@Arizona Harper-Duval JE SUIS CONTENTE DE TE REVOIR SWEETHEART
@Demetria Carrington ce pseudo merci beaucoup
@Graham B. Singleton alors là je retiens merci
@Livia Ackerman coucou clover (j'saispasj'aipensétotallyspies)
je passerais sur vos fiches de liens
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