YESTERDAY'S NEWS |48
- James L. BlackwellReserve Unit
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Dollars : 2182
Messages : 67
Date d'inscription : 10/08/2018
Avatar : Milo Ventimiglia
Autres comptes : Kai Norton & Eden H. Snow
Âge du personnage : 35 ans
Nationalité(s) : Américain
Mon personnage, en 5 mots : Meurtri - Sombre - Fumeur - Bourreau de travail
Quartier de résidence : Dans la banlieue de Los Angeles
Carrière, métier ou job : Lieutenant LAPD
Études (passées ou en cours) : Droit
Hobby : Travail
Orientation sexuelle : Hétérosexuel(le)
Situation sentimentale : C'est ... compliqué
James L. Blackwell
La souffrance de ceux qui vieillissent est le résultat du désaccord entre le corps et l'âme - Pensées sauvages
Lumière et pénombre
Né à New York le 14 Juillet 1983 ∇ Fils unique d'un père dans les forces de l'ordre, décoré d'honneur et d'une mère, femme politique, ses parents lui ont toujours inculqué des valeurs fortes, un modèle de la vie droit et juste ∇ Enfant sans problèmes, un brin casse cou ∇ Il intègre l'université d'Harvard à ses 18 ans, une bourse en poche, pour suivre des études de droit ∇ Il comptabilise 7 ans d'études et obtient une maîtrise sans peine ∇ A rencontré ses deux meilleurs amis sur les bancs de l'université, Ethan et Megan ∇ S'est engagé dans la Police de New York à la sortie des études ∇ A souvent été en déplacement à Los Angeles pour enquêter sur la disparition d'un jeune garçon, sa plus grosse affaire ∇ Une enquête qui a duré presque un an, le persécutant jusqu'à être hanté par le souvenir de cette femme en détresse, par cette femme qu'il a voulu aider, par cette femme qu'il a aimé ∇ L'affaire n'a jamais été résolue, le retour à New York a marqué sa personnalité, plus sombre, plus dure ∇ A été le témoin de mariage de son meilleur ami ∇ Mais a commencé une histoire avec sa femme depuis quelques mois aux dépens de ce dernier ∇ S'est fait surprendre au lit avec par son meilleur ami ∇ N'a plus de nouvelles de lui depuis ∇ Le cœur déchiré, il quitte Megan, ne pouvant vivre avec sa mauvaise conscience ∇ Il est muté à Los Angeles dans le but de retrouver la femme qu'il a voulu aider des années en arrière et résoudre la seule affaire qu'il n'a jamais clôturé
DERRIÈRE L'ÉCRAN
Karma : [ X ] It's all my fault Prénom/pseudo :Nana Âge :J’ai pas encore vieilli Anniversaire :24/09 Localisation : En Europe Présence : ça dépend des moments Personnage ... [ ] inventé [ X ] ancien pré-lien de Sacha. J'ai connu le forum :dans mes favoris, je sais pas ce qu’il fou là Et je le trouve : pas mal, quelqu’un a le numéro de Kai ? => Ma plus grande peur :de ne pas intégrer ce nouveau personnage Un dernier mot ? à l’abordage.
IMAGES FEU ARDENT
- James L. BlackwellReserve Unit
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Dollars : 2182
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Date d'inscription : 10/08/2018
Avatar : Milo Ventimiglia
Autres comptes : Kai Norton & Eden H. Snow
Âge du personnage : 35 ans
Nationalité(s) : Américain
Mon personnage, en 5 mots : Meurtri - Sombre - Fumeur - Bourreau de travail
Quartier de résidence : Dans la banlieue de Los Angeles
Carrière, métier ou job : Lieutenant LAPD
Études (passées ou en cours) : Droit
Hobby : Travail
Orientation sexuelle : Hétérosexuel(le)
Situation sentimentale : C'est ... compliqué
" COMME PAPA ! " - Enfance
Le gamin n’a que neuf ans. Il semble décidé ... Déjà. A son âge. Souriant de toutes ses dents, il regarde sa mère lui adresser cet air heureux, cet air qu’il aime tant. Car un enfant, ça prend toujours en considération l’avis de ses parents. Cherchant une fierté dans leur regard, une approbation de leurs actes. Il ne voit rien d’autre que le sourire qu’elle dégage, il ne perçoit pas le pincement de ses traits près du regard, démontrant une once d’inquiétude. L’ambiance à table est festive. Un mélange de joie et de bonne humeur, une famille qui se retrouve habituellement et qui apprécie ces moments de complicité auxquels ils ont la chance de goûter. Le père de l’enfant lui repose la question. . « Tu veux faire quoi plus tard ? » Le gamin saute de sa chaise, remué par une joie et une envie qui le fait vivre. « Je veux faire comme papa et arrêter tous les méchants ! » Oui. Le regard du père ne trompe pas. Il passe alors une main dans les cheveux de son fils, les ébouriffe en le regardant avec des yeux brillants. Une fierté le submerge. Son ego se gonfle. Et il partage cela avec sa famille. L'ambiance est à la fête tandis que le jeune garçon retourne jouer sans cérémonie.
Oui, ce petit garçon, c’est moi. Ah … Si j’avais su ! J’aurai pourtant dû m’en douter. Ce métier est une arme de destruction massive qui consume les hommes de l’intérieur et broie leur vie à petit feu. Et pourtant. Telle une drogue qui me fait souffrir, j’en redemande et me plonge dans ses abysses les plus profonds, les yeux fermés. J’aime mon métier autant que je le déteste. Ses valeurs, sa justice, sa cause, l’insigne que je porte. Ça, c’est une fierté. Mais ce métier s’imbrique dans ma vie plus que nécessaire, les affaires deviennent le point d’ancrage de mon quotidien. Et il est inévitable de voir en moi l’homme accablé par le poids de son insigne sur les épaules. A mes yeux, chaque affaire a le droit d’être étudiée de la meilleure des façons car chacune d’entre elles regorge de souffrances, de deuils et de familles qui ont mal ; ces gens méritent que quelqu’un les prenne en considération. Que quelqu’un les aide. Voilà pourquoi j’aime ce que je fais.
Mais ça, ce n’était pas sur le papier d’engagement et encore moins dans mon discours de gamin de neuf ans. Ce jour-là, ils me regardaient tous avec cet air si fier, si heureux, que j’y ai cru moi, à cette réussite et à cette envie de suivre les traces de mon père. Mais aujourd’hui je comprends, ce n’est pas simplement arrêter les méchants, c’est tout autre chose.
8 Juillet 1991. New York.
Le gamin n’a que neuf ans. Il semble décidé ... Déjà. A son âge. Souriant de toutes ses dents, il regarde sa mère lui adresser cet air heureux, cet air qu’il aime tant. Car un enfant, ça prend toujours en considération l’avis de ses parents. Cherchant une fierté dans leur regard, une approbation de leurs actes. Il ne voit rien d’autre que le sourire qu’elle dégage, il ne perçoit pas le pincement de ses traits près du regard, démontrant une once d’inquiétude. L’ambiance à table est festive. Un mélange de joie et de bonne humeur, une famille qui se retrouve habituellement et qui apprécie ces moments de complicité auxquels ils ont la chance de goûter. Le père de l’enfant lui repose la question. . « Tu veux faire quoi plus tard ? » Le gamin saute de sa chaise, remué par une joie et une envie qui le fait vivre. « Je veux faire comme papa et arrêter tous les méchants ! » Oui. Le regard du père ne trompe pas. Il passe alors une main dans les cheveux de son fils, les ébouriffe en le regardant avec des yeux brillants. Une fierté le submerge. Son ego se gonfle. Et il partage cela avec sa famille. L'ambiance est à la fête tandis que le jeune garçon retourne jouer sans cérémonie.
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Oui, ce petit garçon, c’est moi. Ah … Si j’avais su ! J’aurai pourtant dû m’en douter. Ce métier est une arme de destruction massive qui consume les hommes de l’intérieur et broie leur vie à petit feu. Et pourtant. Telle une drogue qui me fait souffrir, j’en redemande et me plonge dans ses abysses les plus profonds, les yeux fermés. J’aime mon métier autant que je le déteste. Ses valeurs, sa justice, sa cause, l’insigne que je porte. Ça, c’est une fierté. Mais ce métier s’imbrique dans ma vie plus que nécessaire, les affaires deviennent le point d’ancrage de mon quotidien. Et il est inévitable de voir en moi l’homme accablé par le poids de son insigne sur les épaules. A mes yeux, chaque affaire a le droit d’être étudiée de la meilleure des façons car chacune d’entre elles regorge de souffrances, de deuils et de familles qui ont mal ; ces gens méritent que quelqu’un les prenne en considération. Que quelqu’un les aide. Voilà pourquoi j’aime ce que je fais.
Mais ça, ce n’était pas sur le papier d’engagement et encore moins dans mon discours de gamin de neuf ans. Ce jour-là, ils me regardaient tous avec cet air si fier, si heureux, que j’y ai cru moi, à cette réussite et à cette envie de suivre les traces de mon père. Mais aujourd’hui je comprends, ce n’est pas simplement arrêter les méchants, c’est tout autre chose.
" FÉLICITATIONS CADET ! " - Les choix essentiels
Il est là parmi tous les autres étudiants en tenue de cérémonie. La cérémonie des diplômes. Le brun tourne la tête pour jeter un regard à ses meilleurs amis, Ethan et Megan, venus l’accompagner pour l’occasion. Pour eux, ils ont encore des années d’étude qui les attendent. Mais aujourd’hui c’est son jour, à lui et seulement à lui. Il sourit. Sept ans qu’il attend ça. Sept ans qu’il a passé sur les bancs de l’université d’Harvard. Sur l’estrade défile les jeunes gens pour recevoir la fameuse récompense. Il le sait, il doit attendre. Il trépigne, il a hâte. Hâte d’entendre son nom, hâte de monter sur cette estrade, hâte d’obtenir ce bout de papier et surtout hâte de commencer une nouvelle vie. Enfin son tour arrive. Son nom résonne dans le micro. Il entend la voix de sa meilleure amie lui adresser des félicitations. Il sent la main de son meilleur ami lui donner l’accolade. Alors. Il y est. Le voilà à la fin de ses études. Il monte à son tour sur l’estrade. Le sourire aux lèvres. Il reçoit le diplôme, le fameux, et remercie la foule comme une star qui aurait reçu un Oscar ou une palme d’or. Il retourne ensuite à sa place, près de ses meilleurs amis. Oui, il est diplômé. Les études de droit, il les a réussis, il les a vaincues. Pour lui, la vie d’étudiant est terminée. Pour lui, une nouvelle vie commence. Et le chapeau traditionnel vole dans les airs avec une centaine d’autres. La cérémonie est terminée.
« Blackwell ! » La voix grave du commandant se fait entendre et un mouvement dans les rangs se distincte. Un homme, rasé de près, en uniforme, avance d’un pas pour faire face à son supérieur. Cet homme. C’est notre homme. Le commandant attache un insigne sur le torse de son élève, y pose une main solennelle en prononçant un « Félicitations cadet ! » fier. Ce moment met un terme à toute une formation à l’école de police de l’Etat. Des mois de souffrance, de dépassement de soi, d’utilisation d’armes et d’apprentissage aux techniques d’interrogatoires. Entre autre. Tous les jeunes présents ici, en rang, au garde à vous, vont rejoindre leur lieu d’affectation d’ici quelques jours. Les meilleurs d’entre eux rejoindront des brigades d’élite, d’autres auront moins de chance. Mais tous deviendront des inspecteurs respectés dans quelques années. Le commandant les regarde, jetant son œil protecteur sur eux. Un par un. Les toisant. Les analysant. Avant d’entamer son discours. « Chers élèves, j’ai été votre instructeur ces derniers mois et je suis fier de la promotion que vous formez. Je pense vous avoir inculqué toutes les notions que vous devez savoir, le reste, vous le découvrirez sur le terrain. » Il marque un temps de pause. Sourit. « Que la réussite soit avec vous. » D’un geste assuré il se met au garde à vous et effectue un salut militaire auxquels les élèves répondent dans un même ensemble. Dans un claquement de rangers à l’unisson.
Mi-2007. Cambridge, Harvard.
Il est là parmi tous les autres étudiants en tenue de cérémonie. La cérémonie des diplômes. Le brun tourne la tête pour jeter un regard à ses meilleurs amis, Ethan et Megan, venus l’accompagner pour l’occasion. Pour eux, ils ont encore des années d’étude qui les attendent. Mais aujourd’hui c’est son jour, à lui et seulement à lui. Il sourit. Sept ans qu’il attend ça. Sept ans qu’il a passé sur les bancs de l’université d’Harvard. Sur l’estrade défile les jeunes gens pour recevoir la fameuse récompense. Il le sait, il doit attendre. Il trépigne, il a hâte. Hâte d’entendre son nom, hâte de monter sur cette estrade, hâte d’obtenir ce bout de papier et surtout hâte de commencer une nouvelle vie. Enfin son tour arrive. Son nom résonne dans le micro. Il entend la voix de sa meilleure amie lui adresser des félicitations. Il sent la main de son meilleur ami lui donner l’accolade. Alors. Il y est. Le voilà à la fin de ses études. Il monte à son tour sur l’estrade. Le sourire aux lèvres. Il reçoit le diplôme, le fameux, et remercie la foule comme une star qui aurait reçu un Oscar ou une palme d’or. Il retourne ensuite à sa place, près de ses meilleurs amis. Oui, il est diplômé. Les études de droit, il les a réussis, il les a vaincues. Pour lui, la vie d’étudiant est terminée. Pour lui, une nouvelle vie commence. Et le chapeau traditionnel vole dans les airs avec une centaine d’autres. La cérémonie est terminée.
Un an plus tard. Ecole de police.
« Blackwell ! » La voix grave du commandant se fait entendre et un mouvement dans les rangs se distincte. Un homme, rasé de près, en uniforme, avance d’un pas pour faire face à son supérieur. Cet homme. C’est notre homme. Le commandant attache un insigne sur le torse de son élève, y pose une main solennelle en prononçant un « Félicitations cadet ! » fier. Ce moment met un terme à toute une formation à l’école de police de l’Etat. Des mois de souffrance, de dépassement de soi, d’utilisation d’armes et d’apprentissage aux techniques d’interrogatoires. Entre autre. Tous les jeunes présents ici, en rang, au garde à vous, vont rejoindre leur lieu d’affectation d’ici quelques jours. Les meilleurs d’entre eux rejoindront des brigades d’élite, d’autres auront moins de chance. Mais tous deviendront des inspecteurs respectés dans quelques années. Le commandant les regarde, jetant son œil protecteur sur eux. Un par un. Les toisant. Les analysant. Avant d’entamer son discours. « Chers élèves, j’ai été votre instructeur ces derniers mois et je suis fier de la promotion que vous formez. Je pense vous avoir inculqué toutes les notions que vous devez savoir, le reste, vous le découvrirez sur le terrain. » Il marque un temps de pause. Sourit. « Que la réussite soit avec vous. » D’un geste assuré il se met au garde à vous et effectue un salut militaire auxquels les élèves répondent dans un même ensemble. Dans un claquement de rangers à l’unisson.
" UN GAMIN " - La grosse affaire
Le dossier est jeté sur le bureau. Une façon insolente dans le geste, presque supérieure. L’agent des forces de l’ordre, assis sur son siège et les yeux fixés sur l’écran d’ordinateur devant lui, lève son regard pour apercevoir son collègue, le visage fermé. Quelle mauvaise nouvelle allait-il lui annoncer ? Pourquoi cette tête si sombre ? Il ne pose pas de questions, s’enfonce dans son siège qui bascule doucement et s’empare du dossier pour en feuilleter le contenu. « Un gamin… » Les mots lui échappent. Il n’en veut pas. Quel homme dans ce commissariat souhaiterait une telle affaire ? « Tu pars la semaine prochaine pour Los Angeles. » Aucun des deux hommes n’ajoute autre chose. S’échangeant simplement un regard, à moitié inquiet, à moitié reconnaissant. Rien de descriptible. Alors la voilà. Sa première affaire. La vraie. Qui va le pousser, lui, seul, à la tête de toute enquête. Il vient d’être promu au grade de lieutenant et ce dossier signe donc cette promotion d’une manière forte. Son collègue s’en va face au silence qui s’est installé. Pendant ce temps. Le brun dans son fauteuil se plonge dans les lignes rédigées. S’imprégnant des faits, des preuves, de l’avancée de la chose. La police de Los Angeles avait donc abandonné ses recherches après la disparition d’un gamin. Pourquoi ? Une mauvaise histoire stagnait sous tout ce charabia de flic. L’inspecteur fronce les sourcils en s’enfonçant dans sa lecture.
« Sacha Lewis vient d’arriver, je vous l’amène ? » « Non, j’arrive. » Le lieutenant de police soupire un bon coup avant de se lever en prenant appui sur son bureau et de congédier d’un signe de la main la secrétaire du commissariat. La tablette de bois sur laquelle il travaille est recouverte d’une dizaine de feuilles, immobiles, attendant peut-être un meilleur sort que celui qui leur est réservé … Pourrir dans une boîte d’archives une fois l’affaire clôturée. Il sort du bureau pour aller à la rencontre de la fameuse Sacha. Il la cherche du regard. La trouve. Et vient s’adresser à elle. Un air dépité sur la face. Sans sourire. Sans joie. Signe d’une fatigue qui commence à se marquer. « Mademoiselle Lewis, lieutenant Blackwell, enchanté. » Il sert la main de la jeune fille. Elle ne semble pas très à l’aise ici. « Veuillez me suivre, on va aller s’installer dans mon bureau. » D’un coup de tête il l’invite à sa suite. Elle. La sœur de la victime. Elle. La réponse à probablement beaucoup de questions. Elle. Qui fera bousculer toute une enquête.
Cette affaire m’a habitée. Jour et nuit. Je suis resté plusieurs mois à Los Angeles. Voguant au grès des allers retour jusqu’à New York. Je ne vivais que pour cette enquête pendant un an entier. Un an de sacrifices. Un an sans sommeil réparateur. Un an sans repos. Je me suis battu corps et âme pour cette famille, pour cette détresse que j’ai lu dans les yeux de cette femme. Sacha. Pourquoi me hantes-tu encore maintenant ? Pourquoi est-ce que je me sens aussi brisé quand je pense à toi ? Pourquoi est-ce que je n’arrive pas à être avec une autre femme sans penser à toi ? J’aurai tellement aimé t’aider. Mais cette enquête. Je ne l’ai jamais fermée avec un brin de réussite. Je n’ai jamais retrouvé cet enfant. Cette enquête m’a brisé. Littéralement. Je suis retourné à New York peu de temps après avoir échoué. Mettant des kilomètres de distance avec Sacha et par la même occasion des années de silence. Aujourd’hui j’ai tant de regrets, tant de sentiments pour cette femme que j’ai laissée seule dans une souffrance si profonde. Je m’en veux. Tellement.
Début 2010. New York.
Le dossier est jeté sur le bureau. Une façon insolente dans le geste, presque supérieure. L’agent des forces de l’ordre, assis sur son siège et les yeux fixés sur l’écran d’ordinateur devant lui, lève son regard pour apercevoir son collègue, le visage fermé. Quelle mauvaise nouvelle allait-il lui annoncer ? Pourquoi cette tête si sombre ? Il ne pose pas de questions, s’enfonce dans son siège qui bascule doucement et s’empare du dossier pour en feuilleter le contenu. « Un gamin… » Les mots lui échappent. Il n’en veut pas. Quel homme dans ce commissariat souhaiterait une telle affaire ? « Tu pars la semaine prochaine pour Los Angeles. » Aucun des deux hommes n’ajoute autre chose. S’échangeant simplement un regard, à moitié inquiet, à moitié reconnaissant. Rien de descriptible. Alors la voilà. Sa première affaire. La vraie. Qui va le pousser, lui, seul, à la tête de toute enquête. Il vient d’être promu au grade de lieutenant et ce dossier signe donc cette promotion d’une manière forte. Son collègue s’en va face au silence qui s’est installé. Pendant ce temps. Le brun dans son fauteuil se plonge dans les lignes rédigées. S’imprégnant des faits, des preuves, de l’avancée de la chose. La police de Los Angeles avait donc abandonné ses recherches après la disparition d’un gamin. Pourquoi ? Une mauvaise histoire stagnait sous tout ce charabia de flic. L’inspecteur fronce les sourcils en s’enfonçant dans sa lecture.
Un mois plus tard. Los Angeles.
« Sacha Lewis vient d’arriver, je vous l’amène ? » « Non, j’arrive. » Le lieutenant de police soupire un bon coup avant de se lever en prenant appui sur son bureau et de congédier d’un signe de la main la secrétaire du commissariat. La tablette de bois sur laquelle il travaille est recouverte d’une dizaine de feuilles, immobiles, attendant peut-être un meilleur sort que celui qui leur est réservé … Pourrir dans une boîte d’archives une fois l’affaire clôturée. Il sort du bureau pour aller à la rencontre de la fameuse Sacha. Il la cherche du regard. La trouve. Et vient s’adresser à elle. Un air dépité sur la face. Sans sourire. Sans joie. Signe d’une fatigue qui commence à se marquer. « Mademoiselle Lewis, lieutenant Blackwell, enchanté. » Il sert la main de la jeune fille. Elle ne semble pas très à l’aise ici. « Veuillez me suivre, on va aller s’installer dans mon bureau. » D’un coup de tête il l’invite à sa suite. Elle. La sœur de la victime. Elle. La réponse à probablement beaucoup de questions. Elle. Qui fera bousculer toute une enquête.
~~ ~~ ~~
Cette affaire m’a habitée. Jour et nuit. Je suis resté plusieurs mois à Los Angeles. Voguant au grès des allers retour jusqu’à New York. Je ne vivais que pour cette enquête pendant un an entier. Un an de sacrifices. Un an sans sommeil réparateur. Un an sans repos. Je me suis battu corps et âme pour cette famille, pour cette détresse que j’ai lu dans les yeux de cette femme. Sacha. Pourquoi me hantes-tu encore maintenant ? Pourquoi est-ce que je me sens aussi brisé quand je pense à toi ? Pourquoi est-ce que je n’arrive pas à être avec une autre femme sans penser à toi ? J’aurai tellement aimé t’aider. Mais cette enquête. Je ne l’ai jamais fermée avec un brin de réussite. Je n’ai jamais retrouvé cet enfant. Cette enquête m’a brisé. Littéralement. Je suis retourné à New York peu de temps après avoir échoué. Mettant des kilomètres de distance avec Sacha et par la même occasion des années de silence. Aujourd’hui j’ai tant de regrets, tant de sentiments pour cette femme que j’ai laissée seule dans une souffrance si profonde. Je m’en veux. Tellement.
" OUI " - Le mariage
« Voulez-vous prendre Madame Megan Smith comme épouse ? » Un « Oui » appuyé s’échappe des lèvres du jeune homme. Un regard de complicité vers son témoin comme pour trouver un courage qu’il n’est pas sûr d’avoir. Oui, il est en train de se marier. Réellement. Il se jette aujourd’hui dans ce monde où deux personnes sont reliées par un anneau. Vraiment. Il est en train de se marier. « Madame Megan Smith, voulez-vous prendre Monsieur Ethan Matthews comme époux ? » Un temps de pause. Une seconde. Ou deux. La foule présente sent la pression s'installer. Le souffle s'arrête. Et la réponse tarde à arriver ... La femme reporte son attention sur son fiancé. Délivrant un « Oui » qui fit de lui son mari.
« Elle est comment ? » « Magnifique, tu en as de la chance » Le brun pose ses mains sur les épaules de son meilleur ami pour qui il est son témoin aujourd’hui. « Stressé ? » « Complètement » Un regard complice. Un sourire. Un rire nerveux. Les deux hommes, aussi proches que des frères, ne parlèrent pas davantage. Le reste de leur conversation réalisée par ce simple échange de regard. Se comparant sans avoir l’obligation de dicter de mots supplémentaires. Comme des frères.
Un baiser sur sa joue lui fait détourner le regard. « Ethan m’a dit que je te trouverais là » Le brun sourit à sa mère en lui offrant d’un geste sa coupe de champagne avant de s’emparer d’une nouvelle coupe pleine. « Ils sont beaux » Commença Madame Wheeler. « C’est vrai oui … » Répondit son fils semblant le plus sincère possible. « Et toi mon chéri, tu te maries quand ? » « Maman ! » Il fit l’offusqué en croisant le regard sévère de sa mère. « Quand j’aurai trouvé la bonne » Il baisse les yeux. Regarde sa coupe et pense à la même personne. Encore. La main réconfortante de sa mère se pose sur sa joue, comme si elle pouvait lire dans ses pensées. Elle connait son fils par cœur et sent qu’un mal le ronge. Mais elle le regarde et ne pose pas de questions.
L’esprit est à la fête. Les sourires se dessinent sur tous les visages. Aujourd’hui est un mariage réussi. Sans aucuns doutes. Le marié prend son témoin par les épaules et le présente à qui voudra bien l’entendre. « Mesdames, je vous présente ici le plus sexy des témoins ! » « Parce que je suis le seul aussi » « James Blackwell ! » « En chair et en os » Ils se complètent dans leur parole. Les quelques filles autour des deux hommes se mettent à rire légèrement. Plus pour se moquer que par véritable intérêt. « Mais c’est aussi mon témoin, mon meilleur ami, mon frère » Ils échangent un regard, se mettent à sourire et partagent silencieusement un remerciement envoyé à la volée. « Allez mesdames, profitez donc un peu de lui, c’est un bon gars ! » Le marié tapote sur le torse de son témoin et le laisse seul ensuite, entouré d’une dizaine de femmes.
Ah c’était bon ! Le coup du témoin parfait est sans doute la plus belle arnaque de mariage qui puisse exister. Grâce à Ethan, oui, j’ai eu mon petit coup, mieux que ça même, un putain de plan à trois improvisé, que mon entrejambe n’oubliera jamais. Ah c’était une belle journée. Un beau couple. Pour eux, c’était magnifique. Moi, je l’ai vécu un peu autrement. A faire le rigolo pour ne pas penser à elle. Cela fait pourtant des années mais face à tout cet amour qu’on m’a envoyé en pleine gueule, je n’ai pensé qu’à elle. Sacha. Où était-elle ? Que faisait-elle ? Allait-elle bien ? Je n’avais aucune réponse et aujourd’hui encore moins. Alors oui, ce fut une bonne journée, mais il manquait quelqu’un. Quelqu'un pour moi.
Courant 2011. Etats-Unis.
« Voulez-vous prendre Madame Megan Smith comme épouse ? » Un « Oui » appuyé s’échappe des lèvres du jeune homme. Un regard de complicité vers son témoin comme pour trouver un courage qu’il n’est pas sûr d’avoir. Oui, il est en train de se marier. Réellement. Il se jette aujourd’hui dans ce monde où deux personnes sont reliées par un anneau. Vraiment. Il est en train de se marier. « Madame Megan Smith, voulez-vous prendre Monsieur Ethan Matthews comme époux ? » Un temps de pause. Une seconde. Ou deux. La foule présente sent la pression s'installer. Le souffle s'arrête. Et la réponse tarde à arriver ... La femme reporte son attention sur son fiancé. Délivrant un « Oui » qui fit de lui son mari.
1 heure plus tôt.
« Elle est comment ? » « Magnifique, tu en as de la chance » Le brun pose ses mains sur les épaules de son meilleur ami pour qui il est son témoin aujourd’hui. « Stressé ? » « Complètement » Un regard complice. Un sourire. Un rire nerveux. Les deux hommes, aussi proches que des frères, ne parlèrent pas davantage. Le reste de leur conversation réalisée par ce simple échange de regard. Se comparant sans avoir l’obligation de dicter de mots supplémentaires. Comme des frères.
1 heure plus tard.
Un baiser sur sa joue lui fait détourner le regard. « Ethan m’a dit que je te trouverais là » Le brun sourit à sa mère en lui offrant d’un geste sa coupe de champagne avant de s’emparer d’une nouvelle coupe pleine. « Ils sont beaux » Commença Madame Wheeler. « C’est vrai oui … » Répondit son fils semblant le plus sincère possible. « Et toi mon chéri, tu te maries quand ? » « Maman ! » Il fit l’offusqué en croisant le regard sévère de sa mère. « Quand j’aurai trouvé la bonne » Il baisse les yeux. Regarde sa coupe et pense à la même personne. Encore. La main réconfortante de sa mère se pose sur sa joue, comme si elle pouvait lire dans ses pensées. Elle connait son fils par cœur et sent qu’un mal le ronge. Mais elle le regarde et ne pose pas de questions.
2 heures plus tard.
L’esprit est à la fête. Les sourires se dessinent sur tous les visages. Aujourd’hui est un mariage réussi. Sans aucuns doutes. Le marié prend son témoin par les épaules et le présente à qui voudra bien l’entendre. « Mesdames, je vous présente ici le plus sexy des témoins ! » « Parce que je suis le seul aussi » « James Blackwell ! » « En chair et en os » Ils se complètent dans leur parole. Les quelques filles autour des deux hommes se mettent à rire légèrement. Plus pour se moquer que par véritable intérêt. « Mais c’est aussi mon témoin, mon meilleur ami, mon frère » Ils échangent un regard, se mettent à sourire et partagent silencieusement un remerciement envoyé à la volée. « Allez mesdames, profitez donc un peu de lui, c’est un bon gars ! » Le marié tapote sur le torse de son témoin et le laisse seul ensuite, entouré d’une dizaine de femmes.
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Ah c’était bon ! Le coup du témoin parfait est sans doute la plus belle arnaque de mariage qui puisse exister. Grâce à Ethan, oui, j’ai eu mon petit coup, mieux que ça même, un putain de plan à trois improvisé, que mon entrejambe n’oubliera jamais. Ah c’était une belle journée. Un beau couple. Pour eux, c’était magnifique. Moi, je l’ai vécu un peu autrement. A faire le rigolo pour ne pas penser à elle. Cela fait pourtant des années mais face à tout cet amour qu’on m’a envoyé en pleine gueule, je n’ai pensé qu’à elle. Sacha. Où était-elle ? Que faisait-elle ? Allait-elle bien ? Je n’avais aucune réponse et aujourd’hui encore moins. Alors oui, ce fut une bonne journée, mais il manquait quelqu’un. Quelqu'un pour moi.
" LA CHAMBRE " - L'acte impardonnable
Il l’embrasse. Farouchement. Passionnément. Joue doucement avec sa lèvre inférieure. Il l’embrasse encore une fois et elle apprécie cela. A en redemander. Les mains de la femme s’aventurent sous le t-shirt du brun, tâtant son torse en retirant le bout de tissu progressivement et stoppant le baiser échangé quelques secondes pour jeter le vêtement en coton au sol. Ce n’est pas la première fois qu’ils se voient. Cela fait des mois que cette relation dure. Des années qu’ils se connaissent. Mais ils n’en parlent jamais, comme un sujet tabou. Leurs lèvres se joignent de nouveau. Leurs corps se rapprochent et leur température augmente en conséquence. La femme se détache pour une nouvelle inspiration, pour soupirer un instant. « La chambre. » Aucune formule de politesse. Aucune demande. Aucun ordre non plus. Cela suffit pourtant au brun pour porter son amie jusqu’à la chambre et de la jeter sur le lit. Sans ménagements. Ils ont du temps à disposition, même si le chronomètre tourne. Le mari peut débarquer rapidement. Mais aucuns des deux trentenaires ne pensent à ce détail, aucun ne pense à cet homme cocu. L’homme brun, debout face au lit, regarde la femme se tordre d’impatience sur les draps, retirant son string, doucement, le regard plein de désir posé sur son amant. « Tu te fais attendre » Car il aime la regarder. Il aime la voir le désirer, lui, et non quelqu’un d’autre. Parce que la voir ainsi devant lui, lui fait oublier la présence d’une autre femme dans ses pensées. « J’arrive » finit-il par répondre en desserrant la boucle de sa ceinture et de détacher le bouton de son jean. Comme un top départ, il la voit se pincer les lèvres et va la rejoindre sur le lit en la surplombant de sa carrure. Leurs lèvres reprennent le bal débuté plus tôt alors que leurs corps se mettent à suivre le tempo. Offrant un orchestre de va et vient et d’une danse sensuelle assumée avec passion. Il ne faudra que quelques minutes d’intenses mouvements et d’une profonde envie pour que l’homme se retrouve en caleçon, embrassant avec volupté la poitrine de sa maîtresse. Elle gémit d’envie. Il continue d’embrasser un sein, puis l’autre.
Il ferme la porte derrière lui. L’appartement semble calme. Personne ne l’accueille. Il soupire. Pose ses clés à l’entrée et cherche sa femme du regard dans la pièce principale. Pas un signe d’elle. Une main passe sur son visage fatigué. Il a finit plus tôt aujourd’hui et il n’a qu’une envie. Retrouver les bras de sa femme. Le bruit d’un vêtement qui tombe sur le parquet l’alerte de la présence de celle qu’il cherche dans la chambre. Il tente. Une première fois. « Megan ? » Pas de réponse. Cela ne peut être qu’elle, personne d’autre ne vit ici. Alors il traverse l’appartement, doucement, pour pousser la porte et la retrouver. Soudain. Son sang se glace. Ses pensées s’arrêtent.
Le baiser s’arrête. Instantanément. Un élan de panique se lit sur les visages. Le brun se lève du lit d’un seul bond. Complètement à poil. Ne prenant pas la peine de se rhabiller, ou même de cacher ses parties intimes. « Ce n’est pas … » Il n’arrive pas à finir sa phrase. Un regard de détresse vers sa maîtresse qui reste muette et qui fixe son mari du regard. Bien sûr qu’il s’agit de ce qu’il pense, mais comment faire maintenant pour se sortir d’un tel pétrin ? Le brun déglutit. On aperçoit une ride qui gonfle sur son front. Elle ressort rarement. Dans une situation complexe qui le pousse à réfléchir. Aucun mot n’est dicté. Simplement un geste qui l’indique de sortir. Il se baisse pour attraper un vêtement, un raclement de gorge l’en dissuade. Alors il inspire et sort. Laissant derrière lui un homme cocu, une femme non rassasiée d’une envie de sexe et une rancœur profonde.
Je ne suis pas le meilleur ami parfait. Au contraire. Voyez par vous-même. J’ai été l’amant de la femme de mon meilleur ami, mon frère, pendant des mois. J’ai eu du scrupule, des envies d’arrêter car je savais que cela n’avait aucune logique. Je savais que cela été mal. Mais Megan avait ce don pour me faire oublier un fantôme qui me hante encore aujourd’hui. Une autre femme. Que je n’ai jamais oublié. Depuis ce jour, je n’ai jamais revu Ethan. Je n’ai pas eu non plus de nouvelles. J’ai pourtant tenté de le contacter à maintes reprises, mais il a coupé les ponts. Megan non plus n’a pas de nouvelles. Nous avons recouché une fois ensemble depuis et cela n’est plus pareil. Nous tentons de prendre une distance. Sans le vouloir. Comme si nos cerveaux se punissaient eux même de cet acte, de cette découverte.
Fin 2016. New York.
Il l’embrasse. Farouchement. Passionnément. Joue doucement avec sa lèvre inférieure. Il l’embrasse encore une fois et elle apprécie cela. A en redemander. Les mains de la femme s’aventurent sous le t-shirt du brun, tâtant son torse en retirant le bout de tissu progressivement et stoppant le baiser échangé quelques secondes pour jeter le vêtement en coton au sol. Ce n’est pas la première fois qu’ils se voient. Cela fait des mois que cette relation dure. Des années qu’ils se connaissent. Mais ils n’en parlent jamais, comme un sujet tabou. Leurs lèvres se joignent de nouveau. Leurs corps se rapprochent et leur température augmente en conséquence. La femme se détache pour une nouvelle inspiration, pour soupirer un instant. « La chambre. » Aucune formule de politesse. Aucune demande. Aucun ordre non plus. Cela suffit pourtant au brun pour porter son amie jusqu’à la chambre et de la jeter sur le lit. Sans ménagements. Ils ont du temps à disposition, même si le chronomètre tourne. Le mari peut débarquer rapidement. Mais aucuns des deux trentenaires ne pensent à ce détail, aucun ne pense à cet homme cocu. L’homme brun, debout face au lit, regarde la femme se tordre d’impatience sur les draps, retirant son string, doucement, le regard plein de désir posé sur son amant. « Tu te fais attendre » Car il aime la regarder. Il aime la voir le désirer, lui, et non quelqu’un d’autre. Parce que la voir ainsi devant lui, lui fait oublier la présence d’une autre femme dans ses pensées. « J’arrive » finit-il par répondre en desserrant la boucle de sa ceinture et de détacher le bouton de son jean. Comme un top départ, il la voit se pincer les lèvres et va la rejoindre sur le lit en la surplombant de sa carrure. Leurs lèvres reprennent le bal débuté plus tôt alors que leurs corps se mettent à suivre le tempo. Offrant un orchestre de va et vient et d’une danse sensuelle assumée avec passion. Il ne faudra que quelques minutes d’intenses mouvements et d’une profonde envie pour que l’homme se retrouve en caleçon, embrassant avec volupté la poitrine de sa maîtresse. Elle gémit d’envie. Il continue d’embrasser un sein, puis l’autre.
Entrée de l'appartement.
Il ferme la porte derrière lui. L’appartement semble calme. Personne ne l’accueille. Il soupire. Pose ses clés à l’entrée et cherche sa femme du regard dans la pièce principale. Pas un signe d’elle. Une main passe sur son visage fatigué. Il a finit plus tôt aujourd’hui et il n’a qu’une envie. Retrouver les bras de sa femme. Le bruit d’un vêtement qui tombe sur le parquet l’alerte de la présence de celle qu’il cherche dans la chambre. Il tente. Une première fois. « Megan ? » Pas de réponse. Cela ne peut être qu’elle, personne d’autre ne vit ici. Alors il traverse l’appartement, doucement, pour pousser la porte et la retrouver. Soudain. Son sang se glace. Ses pensées s’arrêtent.
La chambre.
Le baiser s’arrête. Instantanément. Un élan de panique se lit sur les visages. Le brun se lève du lit d’un seul bond. Complètement à poil. Ne prenant pas la peine de se rhabiller, ou même de cacher ses parties intimes. « Ce n’est pas … » Il n’arrive pas à finir sa phrase. Un regard de détresse vers sa maîtresse qui reste muette et qui fixe son mari du regard. Bien sûr qu’il s’agit de ce qu’il pense, mais comment faire maintenant pour se sortir d’un tel pétrin ? Le brun déglutit. On aperçoit une ride qui gonfle sur son front. Elle ressort rarement. Dans une situation complexe qui le pousse à réfléchir. Aucun mot n’est dicté. Simplement un geste qui l’indique de sortir. Il se baisse pour attraper un vêtement, un raclement de gorge l’en dissuade. Alors il inspire et sort. Laissant derrière lui un homme cocu, une femme non rassasiée d’une envie de sexe et une rancœur profonde.
~~ ~~ ~~
Je ne suis pas le meilleur ami parfait. Au contraire. Voyez par vous-même. J’ai été l’amant de la femme de mon meilleur ami, mon frère, pendant des mois. J’ai eu du scrupule, des envies d’arrêter car je savais que cela n’avait aucune logique. Je savais que cela été mal. Mais Megan avait ce don pour me faire oublier un fantôme qui me hante encore aujourd’hui. Une autre femme. Que je n’ai jamais oublié. Depuis ce jour, je n’ai jamais revu Ethan. Je n’ai pas eu non plus de nouvelles. J’ai pourtant tenté de le contacter à maintes reprises, mais il a coupé les ponts. Megan non plus n’a pas de nouvelles. Nous avons recouché une fois ensemble depuis et cela n’est plus pareil. Nous tentons de prendre une distance. Sans le vouloir. Comme si nos cerveaux se punissaient eux même de cet acte, de cette découverte.
" TA MUTATION " - La transition
L'homme de trente-cinq ans est assis sur la chaise de bureau. Le menton appuyé sur son poing fermé. Le regard dans le vide. Il ne connait pas la raison de sa présence ici. Il ne connait pas non plus le motif de sa convocation dans le bureau de l'officier responsable du commissariat de la police de New York. Il a la désagréable raison de ne rien savoir et cela, il le vit très mal. As du contrôle. Si quelque chose lui échappe, une multitude de questions se profilent dans ses pensées, et en ce moment même, il est en train de se demander si sa carrière allait brusquement se terminer. La porte s'ouvre à la volée. De façon anodine. Il remarque que le supérieur n'est pas stressé, pas de mauvaises nouvelles donc, un bon début. Pourtant. On sent l'anxiété dans la pièce. Ce sentiment qui se profile juste avant de devoir dicter des mots essentiels mais que nous savons pertinemment le mal qu'ils pourront faire. C'est cette anxiété précise qui s'échappe dans la pièce et envahit l'esprit des deux protagonistes. Le brun sur sa chaise déglutit en observant son supérieur prendre place en face de lui. « James... » Ils avaient appris à se tutoyer avec les années de collaboration ensemble. Mais ce ton-là n'était probablement pas pour lui assigner une nouvelle enquête. Le concerné ne répond pas. Haussant simplement un sourcil en guise d'interrogation. « Tu es sur la liste des mutations » La pilule passe moins. Une arrête se coince dans sa gorge. Mais il garde de nouveau le silence. Alors c'est ainsi. Après des années de loyaux services. Des années d'impitoyables affaires résolues. C'est ainsi que la police de New York venait à le remercier. Devant le manque de réponse de l'inspecteur, le responsable continue de parler. « Tu auras l'occasion d'évoluer là-bas, tu stagnes ici et de nombreuses affaires ont besoin de ton œil expert. Tu seras d'une grande aide pour leur police. Ta mutation est déjà en cours, on te laisse un mois pour faire la transition. » Le brun secoue la tête de haut en bas en guise d'acquiescement, mais au fond de lui, il n'a aucune envie de partir. Il ne connait pas le lieu de sa mutation. Pas encore. Il est à deux doigts de le demander. Mais savoir qu'il doit partir. Tout quitter. Tout laisser derrière lui. Ce n'est pas rassurant.
« Lieutenant Blackwell ! » Le brun fait pivoter son siège pour se retourner sans efforts. Mordillant le stylo qu'il tient entre ses dents. « Hum ... » Fit-il simplement sans avoir à utiliser trop de salive. « J'ai trouvé quelque chose » Le mot magique vient d'être dit. Sans perdre un instant, le lieutenant se lève et va rejoindre son collègue au bureau voisin, se penchant en avant pour garder un œil avisé sur l'écran d'ordinateur. « Montres moi » « Okay, donc on est d'accord que ton gamin a disparu en 2010, enfin, dans ces eaux-là » « Hum hum » Pas d'argumentation. Juste une confirmation par un hochement de tête. Les deux hommes discutent une bonne heure, comparant les preuves de chacun, les faits relevés par l'enquête, les coïncidences qui semblent ne pas l'être. Mais finalement. Ils n'avancent pas davantage et l'inspecteur responsable soupire un grand coup. « Ça ne mène nulle part » Son collègue acquiesce à contre cœur. « Mais où est ce foutu gamin ? » Il n'attend pas de réponse. Comme une question à lui-même qu'il partage à voix haute. Il n'en a aucune idée. Et personne d'autre ne semble en avoir une. Cela fait tant d'années. Le brun tapote alors sur l'épaule de celui qui vient de tenter de l'aider. Comme un remerciement à ses efforts. Il retourne ensuite s'asseoir à son bureau. Le regard vide. Fixé sur un écran d'ordinateur qui ne bouge pas. Les images fixes lui font penser à son avancée dans son affaire. Quasiment nulle.
Que suis-je censé faire ? J’ai accepté cette mutation. J’ai quitté New York. Et j’ai tous ces souvenirs qui reviennent en moi quand j’arpente la ville de Los Angeles. Je pense à elle. Je me fais de nouveau hanter par cette affaire. Etait-ce une bonne idée d’être venue ici ? Changer de vie, de ville, de pays, voir même de métier, peut-être que c’est cela qu’il me faut. Plutôt que de tenter de résoudre une affaire depuis longtemps abandonnée. Je ne peux pourtant pas me résigner.
Décembre 2017. New York.
L'homme de trente-cinq ans est assis sur la chaise de bureau. Le menton appuyé sur son poing fermé. Le regard dans le vide. Il ne connait pas la raison de sa présence ici. Il ne connait pas non plus le motif de sa convocation dans le bureau de l'officier responsable du commissariat de la police de New York. Il a la désagréable raison de ne rien savoir et cela, il le vit très mal. As du contrôle. Si quelque chose lui échappe, une multitude de questions se profilent dans ses pensées, et en ce moment même, il est en train de se demander si sa carrière allait brusquement se terminer. La porte s'ouvre à la volée. De façon anodine. Il remarque que le supérieur n'est pas stressé, pas de mauvaises nouvelles donc, un bon début. Pourtant. On sent l'anxiété dans la pièce. Ce sentiment qui se profile juste avant de devoir dicter des mots essentiels mais que nous savons pertinemment le mal qu'ils pourront faire. C'est cette anxiété précise qui s'échappe dans la pièce et envahit l'esprit des deux protagonistes. Le brun sur sa chaise déglutit en observant son supérieur prendre place en face de lui. « James... » Ils avaient appris à se tutoyer avec les années de collaboration ensemble. Mais ce ton-là n'était probablement pas pour lui assigner une nouvelle enquête. Le concerné ne répond pas. Haussant simplement un sourcil en guise d'interrogation. « Tu es sur la liste des mutations » La pilule passe moins. Une arrête se coince dans sa gorge. Mais il garde de nouveau le silence. Alors c'est ainsi. Après des années de loyaux services. Des années d'impitoyables affaires résolues. C'est ainsi que la police de New York venait à le remercier. Devant le manque de réponse de l'inspecteur, le responsable continue de parler. « Tu auras l'occasion d'évoluer là-bas, tu stagnes ici et de nombreuses affaires ont besoin de ton œil expert. Tu seras d'une grande aide pour leur police. Ta mutation est déjà en cours, on te laisse un mois pour faire la transition. » Le brun secoue la tête de haut en bas en guise d'acquiescement, mais au fond de lui, il n'a aucune envie de partir. Il ne connait pas le lieu de sa mutation. Pas encore. Il est à deux doigts de le demander. Mais savoir qu'il doit partir. Tout quitter. Tout laisser derrière lui. Ce n'est pas rassurant.
Janvier 2018. Los Angeles.
« Lieutenant Blackwell ! » Le brun fait pivoter son siège pour se retourner sans efforts. Mordillant le stylo qu'il tient entre ses dents. « Hum ... » Fit-il simplement sans avoir à utiliser trop de salive. « J'ai trouvé quelque chose » Le mot magique vient d'être dit. Sans perdre un instant, le lieutenant se lève et va rejoindre son collègue au bureau voisin, se penchant en avant pour garder un œil avisé sur l'écran d'ordinateur. « Montres moi » « Okay, donc on est d'accord que ton gamin a disparu en 2010, enfin, dans ces eaux-là » « Hum hum » Pas d'argumentation. Juste une confirmation par un hochement de tête. Les deux hommes discutent une bonne heure, comparant les preuves de chacun, les faits relevés par l'enquête, les coïncidences qui semblent ne pas l'être. Mais finalement. Ils n'avancent pas davantage et l'inspecteur responsable soupire un grand coup. « Ça ne mène nulle part » Son collègue acquiesce à contre cœur. « Mais où est ce foutu gamin ? » Il n'attend pas de réponse. Comme une question à lui-même qu'il partage à voix haute. Il n'en a aucune idée. Et personne d'autre ne semble en avoir une. Cela fait tant d'années. Le brun tapote alors sur l'épaule de celui qui vient de tenter de l'aider. Comme un remerciement à ses efforts. Il retourne ensuite s'asseoir à son bureau. Le regard vide. Fixé sur un écran d'ordinateur qui ne bouge pas. Les images fixes lui font penser à son avancée dans son affaire. Quasiment nulle.
~~ ~~ ~~
Que suis-je censé faire ? J’ai accepté cette mutation. J’ai quitté New York. Et j’ai tous ces souvenirs qui reviennent en moi quand j’arpente la ville de Los Angeles. Je pense à elle. Je me fais de nouveau hanter par cette affaire. Etait-ce une bonne idée d’être venue ici ? Changer de vie, de ville, de pays, voir même de métier, peut-être que c’est cela qu’il me faut. Plutôt que de tenter de résoudre une affaire depuis longtemps abandonnée. Je ne peux pourtant pas me résigner.
- InvitéInvité
Le meilleur est de retour
Tellement heureuse de te revoir sous James
Rebienvenue chez toi poulette
- Adélaïde SullivanKingdom Come
-
Dollars : 3582
Messages : 497
Date d'inscription : 12/03/2018
Avatar : Nina Agdal
Crédits : malbe (ava) • anesidora (code sign)
Autres comptes : Leaven S. Campbell & Gwyneth Barclay.
Âge du personnage : trente-deux ans (21/03/1990)
Nationalité(s) : Américo-Argentine
Signe astrologique : Bélier
Mon personnage, en 5 mots : Honnête • Charismatique • Passionnée • Joueuse • Séductrice
Quartier de résidence : Westside
Carrière, métier ou job : directrice générale du Ritz-Carlton de Los Angeles. (papa propriétaire de Marriott International)
Études (passées ou en cours) : Communication Marketing
Hobby : La danse. Le dessin.
Orientation sexuelle : Bisexuel(le)
Situation sentimentale : En couple
Avec : Aaron Campbell, de nouveau, après une séparation d'un an.
Rebienvenue chez toi ma biche, bon courage pour la suite de ta fiche.
- InvitéInvité
T'es moche.
Re-Bienvenue :3
Re-Bienvenue :3
- James L. BlackwellReserve Unit
-
Dollars : 2182
Messages : 67
Date d'inscription : 10/08/2018
Avatar : Milo Ventimiglia
Autres comptes : Kai Norton & Eden H. Snow
Âge du personnage : 35 ans
Nationalité(s) : Américain
Mon personnage, en 5 mots : Meurtri - Sombre - Fumeur - Bourreau de travail
Quartier de résidence : Dans la banlieue de Los Angeles
Carrière, métier ou job : Lieutenant LAPD
Études (passées ou en cours) : Droit
Hobby : Travail
Orientation sexuelle : Hétérosexuel(le)
Situation sentimentale : C'est ... compliqué
@Sacha Lewis Il est là. Tu es là. Maintenant on fait des bébés
@Adélaïde Sullivan Merci, c'est fini
@Karen Prescott T'es pas belle non plus. Merci :)
@Adélaïde Sullivan Merci, c'est fini
@Karen Prescott T'es pas belle non plus. Merci :)
- InvitéInvité
Bienvenue chez les mofos,
James Blackwell !
James Blackwell !
Nous avons l'honneur de t'accueillir parmi nous, et te souhaitons un séjour agréable au sein de notre communauté.
Ta fiche est nulle mais j'ai pitié donc j'te valide
Non en vrai, je crois que j'ai eu un petit crush pour ton crevard qui en fait, l'est pas tant que ça Et cette fiche Bref, j'te fais pas un dessin, tu connais la maison
La validation de ta fiche marque officiellement ton entrée dans la grande famille qu'est I.A.M.F. Toutes nos félicitations ! Nous sommes certains que tu passeras un excellent séjour parmi nous et que tu trouveras rapidement ta place au sein de notre communauté. Pour t'aider, voici une petite liste de liens utiles qui devrait t'aider à te lancer avec nous dans ta nouvelle aventure.
Pfiou, validation terminée, ton aventure sur IAMF peut enfin débuter ! Pour commencer tu peux vérifier que ton avatar a bien été recensé. C'est fait ? Parfait. Il est temps d'aller créer ta fiche de liens et d'aller stalker celle des autres ! Si tu veux te sentir un peu plus connecté n'hésites pas à aller créer ton téléphone ou même ton propre compte instagram ! Et si tu n'as toujours pas trouvé ton bonheur, ou que tu en veux encore plus, tu peux toujours aller faire un tour du côté des recherches ! En bonus tu as la possibilité de garder une trace de ton passage sur IAMF en créant ton carnet de bord. Et surtout n'oublie pas de remplir ton profil !
Pas facile de se repérer au début par vrai ? Ne t'en fais pas, on a tout prévu ! Rends toi sur le sujet premiers pas sur le forum pour avoir accès à tous les liens utiles ! Si tu n'as pas trop le sens de l'orientation voici une carte de Los Angeles pour éviter de trop t'égarer. Tu peux également faire un tour dans les annexes si tu veux en apprendre un peu plus sur le monde d'IAMF. Et si tu ne t'en sors vraiment pas, aucune inquiétude ! Dans ce sujet nous serons tous ravis de répondre aux questions de nos membres !
Marre du train-train quotidien de rpgiste ? Envie d'une expérience rpgique hors du commun ? N'hésite pas à demander une intervention du Karma qui se fera un plaisir de créer quelques turbulences dans la vie de ton personnage ! Sur IAMF nous vous encourageons également à vous surpasser et nous vous récompensons pour cela ! Prêt à atteindre des objectifs - fous - ? Alors commence ta collection de badges ! Et si ce n'est toujours pas suffisant et que tu as envie d'un peu plus de challenge, viens jeter un coup d'oeil à nos défis d'écriture !
Maintenant que tu as toutes les clés en main pour vivre une aventure incroyable sur IAMF, tu n'as plus qu'à prendre ton envol ! N'hésite surtout pas à aller faire faire un tour au casino pour te détendre un peu, dans ton flood pour soutenir ton équipe et sur les topsites pour soutenir la communauté IAMF !
Enfin, dernière petite chose, n'oublie surtout pas de t'amuser !
~ Le staff
Non en vrai, je crois que j'ai eu un petit crush pour ton crevard qui en fait, l'est pas tant que ça Et cette fiche Bref, j'te fais pas un dessin, tu connais la maison
AVANT-PROPOS
La validation de ta fiche marque officiellement ton entrée dans la grande famille qu'est I.A.M.F. Toutes nos félicitations ! Nous sommes certains que tu passeras un excellent séjour parmi nous et que tu trouveras rapidement ta place au sein de notre communauté. Pour t'aider, voici une petite liste de liens utiles qui devrait t'aider à te lancer avec nous dans ta nouvelle aventure.
Poser ses valises
Pfiou, validation terminée, ton aventure sur IAMF peut enfin débuter ! Pour commencer tu peux vérifier que ton avatar a bien été recensé. C'est fait ? Parfait. Il est temps d'aller créer ta fiche de liens et d'aller stalker celle des autres ! Si tu veux te sentir un peu plus connecté n'hésites pas à aller créer ton téléphone ou même ton propre compte instagram ! Et si tu n'as toujours pas trouvé ton bonheur, ou que tu en veux encore plus, tu peux toujours aller faire un tour du côté des recherches ! En bonus tu as la possibilité de garder une trace de ton passage sur IAMF en créant ton carnet de bord. Et surtout n'oublie pas de remplir ton profil !
Partir à l'aventure
Pas facile de se repérer au début par vrai ? Ne t'en fais pas, on a tout prévu ! Rends toi sur le sujet premiers pas sur le forum pour avoir accès à tous les liens utiles ! Si tu n'as pas trop le sens de l'orientation voici une carte de Los Angeles pour éviter de trop t'égarer. Tu peux également faire un tour dans les annexes si tu veux en apprendre un peu plus sur le monde d'IAMF. Et si tu ne t'en sors vraiment pas, aucune inquiétude ! Dans ce sujet nous serons tous ravis de répondre aux questions de nos membres !
Pimenter son expérience sur IAMF
Marre du train-train quotidien de rpgiste ? Envie d'une expérience rpgique hors du commun ? N'hésite pas à demander une intervention du Karma qui se fera un plaisir de créer quelques turbulences dans la vie de ton personnage ! Sur IAMF nous vous encourageons également à vous surpasser et nous vous récompensons pour cela ! Prêt à atteindre des objectifs - fous - ? Alors commence ta collection de badges ! Et si ce n'est toujours pas suffisant et que tu as envie d'un peu plus de challenge, viens jeter un coup d'oeil à nos défis d'écriture !
En avant pour l'aventure !
Maintenant que tu as toutes les clés en main pour vivre une aventure incroyable sur IAMF, tu n'as plus qu'à prendre ton envol ! N'hésite surtout pas à aller faire faire un tour au casino pour te détendre un peu, dans ton flood pour soutenir ton équipe et sur les topsites pour soutenir la communauté IAMF !
Enfin, dernière petite chose, n'oublie surtout pas de t'amuser !
~ Le staff
Rédigé le 11/08 par
CONTENU LADY FURIOSA pour "It's All My Fault"
- Alice CollinsMEMBER OF THE MONTH
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Dollars : 2575
Messages : 552
Date d'inscription : 10/03/2018
Avatar : Emily Didonato.
Crédits : lilousilver.
Autres comptes : Aaron Campbell (ft. Henry Cavill) & Andreas Klein (ft. Marcus Hedbrandh).
Âge du personnage : 30 ans (12/08/1991).
Nationalité(s) : Américaine.
Signe astrologique : Lion
Mon personnage, en 5 mots : Passionnée. Extravertie. Franche. Joueuse. Manipulatrice.
Quartier de résidence : Westside
Carrière, métier ou job : Chorégraphe en danse contemporaine au Millenium Dance Complex.
Études (passées ou en cours) : Diplômée en danse à l'UCLA.
Hobby : Faire des folies.
Orientation sexuelle : Bisexuel(le)
Situation sentimentale : C'est ... compliqué
Avec : Ezekiel.
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Allez, bienvenue quand même (oh mon dieu la fiche de 3km de long)
Allez, bienvenue quand même (oh mon dieu la fiche de 3km de long)
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