YESTERDAY'S NEWS |48
- Aeddan BarclayI'm a Mother Fucker
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Date d'inscription : 23/04/2018
Avatar : Ben Barnes
Crédits : Moses. (avatar) crack in time (sign)
Autres comptes : Celeste & Freya
Âge du personnage : 39 ans
Nationalité(s) : Américain
Signe astrologique : Bélier
Mon personnage, en 5 mots : Cabaret, art, trafic, machiavélique, violent
Quartier de résidence : Northeast
Carrière, métier ou job : Propriétaire du cabaret le Luxure
Études (passées ou en cours) : Etudes de commerce
Orientation sexuelle : Hétérosexuel(le)
Situation sentimentale : Célibataire (par choix)
&
Aeddan
Le cœur au bord des lèvres
Besoin de rentrer chez toi, d’essuyer toutes ces traces de combat. Une transaction qui ne s’est pas déroulée comme prévue et te voilà avec la lèvre un peu gonflée, un peu ensanglantée et cette joue trop rouge, trop bleutée. Qu’est ce que tu vas bien pouvoir balancer à ta nièce quand elle va te voir dans cet état ? Qu’un gars a voulu s’en prendre à une de des danseuses ? Par sûr qu’elle accepte cette version des faits… Mais c’est la meilleure que tu as trouvé. T’as demandé à un de tes gars de te déposer à deux rues de chez toi, le temps que tu te remettes de tes émotions mais que tu trouves de quoi te soigner un peu avant de franchir la porte d’entrée. Tu avances dans la rue, sentant le regard des passants. Eh ouais, on m’a cassé la gueule que tu as envie de leur balancer. Tu n’aimes pas attirer les regards encore moins être pris pour une bête de foire. Alors tu leur lances des regards noirs pour les calmer, pour les remettre à leur place et tenter d’en imposer. Tu n’étais pas en tord dans ton trafic, tu lui faisais même un bon prix et pourtant l’enfoiré, qui s’en est pris à toi, a cru que ton tableau était un faux. Et pour avoir mal pensé, le pauvre gars a fini dans un pire état que toi. Alors oui, tu t’es fait défoncer mais tu as quand même gagné.
Une pharmacie est en approche, tu hésites à y entrer. Connaissant les gens qui y bossent, ils vont surement te questionner sur ce qui t’es arrivé et tu n’as clairement pas envie de parler. Tu soupires et te décides tout de même à rentrer pour prendre de quoi te soigner. A la tête des pharmaciennes, tu te dis que tu dois sacrément faire peur et que ta tronche doit être en mauvais état. Tu leur lances un petit sourire pour tenter de les rassurer puis tu te demandes de quoi désinfecter. Ne pas répondre aux questions ou seulement de façon évasive te permet d’être tranquille rapidement. La demoiselle qui te sert n’ose même pas tenter une dernière question, elle te donne juste le prix. Tu paies, remercies et sors aussi vite que tu y es rentré. Première épreuve passée mais qu’en sera-t-il de la seconde : soit les retrouvailles avec ta nièce ? Tu n’en sais rien et tu ne préfères même pas y penser.
Tu reprends le chemin du retour quand une silhouette familière apparait devant toi. Joli visage de poupée que tu pourrais reconnaitre entre milles. Sourire sincère qui s’affiche et tu t’approches de cette délicate jeune femme, oubliant complètement ton visage en sang.
Une pharmacie est en approche, tu hésites à y entrer. Connaissant les gens qui y bossent, ils vont surement te questionner sur ce qui t’es arrivé et tu n’as clairement pas envie de parler. Tu soupires et te décides tout de même à rentrer pour prendre de quoi te soigner. A la tête des pharmaciennes, tu te dis que tu dois sacrément faire peur et que ta tronche doit être en mauvais état. Tu leur lances un petit sourire pour tenter de les rassurer puis tu te demandes de quoi désinfecter. Ne pas répondre aux questions ou seulement de façon évasive te permet d’être tranquille rapidement. La demoiselle qui te sert n’ose même pas tenter une dernière question, elle te donne juste le prix. Tu paies, remercies et sors aussi vite que tu y es rentré. Première épreuve passée mais qu’en sera-t-il de la seconde : soit les retrouvailles avec ta nièce ? Tu n’en sais rien et tu ne préfères même pas y penser.
Tu reprends le chemin du retour quand une silhouette familière apparait devant toi. Joli visage de poupée que tu pourrais reconnaitre entre milles. Sourire sincère qui s’affiche et tu t’approches de cette délicate jeune femme, oubliant complètement ton visage en sang.
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- Adalia Soline AlvaradoI'm a Mother Fucker
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Âge du personnage : 29 ans
Nationalité(s) : Américano-mexicaine
Mon personnage, en 5 mots : Résiliente, idéaliste, dévouée, maternelle & méfiante.
Quartier de résidence : Northeast
Carrière, métier ou job : Infirmière puéricultrice
Hobby : Esquisser quelques idées à coups de crayon sur le papier & s'investir dans la lutte contre les violences conjugales.
Orientation sexuelle : Hétérosexuel(le)
Situation sentimentale : Divorcé(e)
Love, what did you do to me?
My only hope is to let life stretch out before me
And break me on this lonely road
I'm made of many things, but I'm not what you are made of
Tu as toujours aimé ces habitudes insignifiantes qui jalonnent le quotidien. Celles que les gens finissent par détester, rendant ce dernier insupportable. Toi ça te fixe, comme un millier d'ancres minuscules. Elles vous empêchent de partir à la dérive, toi et ton potentiel de rêveuse. Toujours le nez en l'air à défaut de regarder où tu marches, ou coller trop près d'une feuille que le besoin t'as poussé à noircir.
Que tu as travailles de jour ou de nuit, tu as les mêmes rituels, à peu de chose près. Tu te réveilles toujours deux heures avant de partir travailler. Pour savourer le plaisir de prendre le temps. Goûter l'apaisement de cette encore nouvelle solitude. Et de certaines habitudes qui n'appartiennent qu'à toi. Dont l'insupportable banalité frise l'extraordinaire à tes yeux. Pourtant elles ont été dures à prendre. Tu as eu du mal à te dire que tu pouvais laisser trainer de la vaisselle sur la table de la cuisine sans rien risquer en retour. Combien de fois tu as fait demi tour pour revenir la faire, craignant de le voir surgir comme un démon jaillissant de sa boîte pour te châtier. Peu importe que tu saches cette idée irrationnelle. Tu avais besoin de temps. Tu as toujours besoin de temps. Et quand tu déambules comme ça dans la rue après le travail, c'est encore une lutte de ne pas te retourner au moindre bruit. Tu t'attends toujours à le voir surgir au milieu de ces visages dont certains sont devenus familiers.
Parmi tous ceux-là, il y en a bien un que tu ne t'attends pas à apercevoir. Une figure bien moins familière que les pensées qui l'entourent se font trop régulières à ton goût. Pour autant, ce n'est pas dans un tel état que tu t'attendais à le revoir.
« Mon dieu, mais que vous est-il arrivé ? » Tu ne sais pas ce qui te choque le plus. Son visage tuméfié, ou cette façon de sourire comme s'il n'en tenait pas compte. Comme si tout était parfaitement normal. Difficile de te décider sur ce qui te perturbe le plus. Pourtant très vite tu te reprends, et même si d'habitude ce sont des enfants que tu soignes, tes réflexes restent les mêmes.
Ta pudeur habituelle s'efface quand tes mains viennent encadrer son visage. Tu oublierais presque votre rencontre au gala. Et cette drôle de sensation que tu as ressenti quand il est venu te parler. Parce que tu n'es pas un cœur d'artichaut qui s'amourache du premier venu. Tu n'es pas du genre à fondre au moindre compliment. Ton cœur est peut-être tendre, mais il se tient en retrait. Aujourd'hui bien plus qu'avant. C'est peut-être ça qui t'a fait le plus peur, ton regard qui errait d'un visage à l'autre, pour inexorablement revenir se poser sur le sien. Tu ne te pensais pas prête, mais il semblerait qu'il y ait quelque chose chez toi qui en a décidé autrement. Une chose que tu es bien décidée à ne pas écouter. Tu n'as pas envie d'être un énième nom sur une longue liste de conquêtes. Tu n'es pas encore assez forte pour ça.
Tes doigts parcourent la pommette contusionnée à la recherche d'une quelconque fracture. Ils viennent frôler l'entaille qui n'entache pas le sourire. Tu voudrais lui conseiller de se rendre à l'hôpital, mais tu as bien remarqué le sachet estampillé du logo de la pharmacie. C'est certainement une fin de non recevoir qui t'attend si tu t'aventures sur ce chemin. Alors tu optes pour le plus long mais dont tu connais l'issue. « Il faut nettoyer cela. Laissez-moi vous aider. » Voix douce mais autoritaire. Habituée aux patients qui rechignent avant de se laisser faire. C'est que tu ne lui laisses pas vraiment le choix, à vouloir veiller à ses soins. Cependant on ne peut pas dire que vous soyez au bon endroit pour ça, au milieu de la rue. Tu n'habites pas très loin, mais tu as encore du mal à laisser rentrer les gens chez toi. Ce petit appartement, c'est un peu comme ton cœur. Chaleureux, mais il a connu des jours meilleurs. Moins les hommes s'en approchent, mieux tu te portes. Lui plus que les autres. Parce que tu as beau te répéter à chacune de ses attentions, qu'il fait preuve d'une amabilité un peu excessive, tu sais que tu t'enfonces dans le déni pour mieux te rassurer en attendant qu'il se lasse.
Pando
- Aeddan BarclayI'm a Mother Fucker
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Aeddan
Le cœur au bord des lèvres
Le rayon de soleil qui apparait, qui vient illuminer ta journée. Et toi, tu oses montrer un visage abimé. Ce n’est pas le moment de la croiser et pourtant le destin en a décidé autrement. Tu ne peux pas faire marche arrière, faire semblant de ne pas l’avoir vu, elle t’a tout aussi bien remarqué que toi. Elle va sans doute s’inquiéter en te voyant blessé, te demander ce qu’il s’est passé et malheureusement pour être, tu lui donneras pour réponse une histoire inventée. Sa voix est comme une mélodie, une musique douce que tu pourrais écouter pendant de longues nuits. Pointe d’inquiétude qui résonne et tu ne peux t’empêcher de trouver cela mignon. Quand tu craques pour une meuf, tu en deviens presque con. Tu passes ta main libre dans tes cheveux, un peu mal à l’aise sur l’instant avant de te reprendre et de répondre avec douceur. "Une mauvaise altercation… Ne vous en faites pas…" Tenter de garder le même scénario pour toutes les personnes qui te croisent ou qui sont proches de toi. Une simple erreur et tout pourrait basculer.
Elle te surprend, t’immobilise complètement : ses mains atterrissent sur ton visage, et son regard t’inspecte de tous les côtés comme si elle cherchait à connaitre la gravité de tes blessures. Plus aucun son ne sort de ta bouche, bien trop surpris par une telle réaction de sa part. Tu déglutis, tentant de garder ton calme malgré tout ce charme. Ses doigts qui frôlent tes ecchymoses… Le regard changeant légèrement comme si elle était rassurée que tu n’ais rien de cassé. Elle en a déjà trop fait et pourtant elle ose te proposer son aide. Brave petit bout de femme. Tu n’en demandes pas tant. "Vraiment Adalia… Je vais me débrouiller…" murmures-tu en espérant qu’elle va te laisser tranquille. Elle en a bien trop vu. Pour une fois, c’est toi qui cherches à la fuir. Façon pour toi de la protéger de tout cela. Mais son regard se fait insistant et tu ne peux t’empêcher de sourire à nouveau. Comment fait-elle pour marquer autant de points en si peu de temps ? Et se rend-t-elle compte de son charme certain ? Doucement ta main vient prendre la sienne pour lui faire comprendre qu’elle doit te laisser et reprendre là où elle en était.
Jusqu’à ce que te viennes une idée. Un petit jeu qui pourrait se lancer. "Ok… Je sens bien que vous allez pas me laisser partir alors j’accepte à une condition… Que vous acceptiez de boire un café ?" Tu ne perds vraiment pas le nord Barclay. La partie a commencé, c’est à elle de lancer les dés.
Elle te surprend, t’immobilise complètement : ses mains atterrissent sur ton visage, et son regard t’inspecte de tous les côtés comme si elle cherchait à connaitre la gravité de tes blessures. Plus aucun son ne sort de ta bouche, bien trop surpris par une telle réaction de sa part. Tu déglutis, tentant de garder ton calme malgré tout ce charme. Ses doigts qui frôlent tes ecchymoses… Le regard changeant légèrement comme si elle était rassurée que tu n’ais rien de cassé. Elle en a déjà trop fait et pourtant elle ose te proposer son aide. Brave petit bout de femme. Tu n’en demandes pas tant. "Vraiment Adalia… Je vais me débrouiller…" murmures-tu en espérant qu’elle va te laisser tranquille. Elle en a bien trop vu. Pour une fois, c’est toi qui cherches à la fuir. Façon pour toi de la protéger de tout cela. Mais son regard se fait insistant et tu ne peux t’empêcher de sourire à nouveau. Comment fait-elle pour marquer autant de points en si peu de temps ? Et se rend-t-elle compte de son charme certain ? Doucement ta main vient prendre la sienne pour lui faire comprendre qu’elle doit te laisser et reprendre là où elle en était.
Jusqu’à ce que te viennes une idée. Un petit jeu qui pourrait se lancer. "Ok… Je sens bien que vous allez pas me laisser partir alors j’accepte à une condition… Que vous acceptiez de boire un café ?" Tu ne perds vraiment pas le nord Barclay. La partie a commencé, c’est à elle de lancer les dés.
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- Adalia Soline AlvaradoI'm a Mother Fucker
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"Une mauvaise altercation… Ne vous en faites pas…" Mais bien sûr que si tu t'inquiètes. Parce que tu es comme ça. Peut-être un peu parce que c'est lui aussi. "Vraiment Adalia… Je vais me débrouiller…" Et ce n'est pas ces poncifs tout droit sorti d'un répertoire bien fourni de phrases aussi consternantes qu'inutiles qui va changer cela. Tu les connais trop bien, ces excuses toutes prêtes. Tu as passé des années à te montrer inventive dans ce domaine. Invoquant une quelconque courbature pour justifier d'une difficulté de mouvement. Alors qu'en fait, ta poitrine était striée de tellement d'hématomes, que tu peinais tout juste à respirer.
Tu es restée plus ou moins crédible. Tant qu'il ne s'attaquait pas à ton visage. Et tu te rappelles très bien quand il a commencé à le faire. Vers la fin. Quand tu as perdu le bébé. Comme si cette zone devenait proscrite à tout contact. Il ne marquait plus son territoire sur toi, il te punissait. Finalement, tu t'es mise à préférer qu'il te « touche » ainsi qu'intimement. Ton corps n'y arrivait plus. Et toi, tu commençais tout juste à comprendre que cela faisait longtemps que la peur avait remplacé le désir dans ton consentement. D'amour, il n'en était même plus question. Pourtant tu as continué à lui trouver des excuses. Peut-être plus pour les autres que pour toi. T'avais pas envie repenser à tous tes mensonges. T'avais pas envie de penser à ta honte. A ta faiblesse. Alors non, tu n'es pas prête à accepter sa réponse. Parce que tu es bien placée pour savoir tout ce qui peut se cacher derrière quelques ecchymoses. Tu ne sais que trop bien que parfois, le pire est ce qui ne se voit pas.
Tu t'égares Adalia. Tu t'égares et lui renchérit. Sa main se referme sur la tienne quand celle-ci se met à trembler légèrement. Tu te sens bête, et faillible. Avec cette faiblesse qui te colle à la chair comme une peau de chagrin qui ne se décide pas à rapetisser jusqu'à disparaître. Mais il t'offre une porte de sortie Aeddan. Sans le savoir, il t'aide, alors que les rôles étaient inversés quelques instants plus tôt. Son contact te ramène tout droit dans l'instant présent. Tu en oublierais presque qu'il te perturbe tout autant. Comme si son geste laissait entendre autre chose que les mots qu'il a murmuré.
"Ok…" Le vent tourne en ta faveur. "Je sens bien que vous allez pas me laisser partir alors j’accepte à une condition… Que vous acceptiez de boire un café ?" Jusqu'à ce que tu réalises que c'est l'homme qui te fait face qui le souffle.
Sa gêne passagère quand tu l'examinais a bien vite disparu. Tu pourrais presque lire de la malice dans son sourire. L'homme d'affaires refait surface, prêt à ne pas laisser passer une occasion. Une occasion de quoi... ça tu préfères ne pas y penser et plonger dans le grand bain du déni. Sans pour autant être naïve.
Tu redresses le menton, reculant légèrement et affichant une assurance qui n'est pas totalement présente. ça n'a peut-être l'air de rien, pour lui. Mais pour toi, accepter de boire un café, c'est tout un monde. Accepter de le faire rentrer chez toi, même pour le soigner, c'est une marque de confiance dont il n'aura pas conscience. Une réelle prise de risque pour toi. Surtout quand ce que tu éprouves en pensant à lui, en sa présence, n'est peut-être pas le meilleur des conseillers. Jusqu'ici, on ne peut pas dire que tu puisses te fier à ton jugement en matière d'hommes.
Ta main glisse hors de la sienne.
Il veut peut-être jouer, mais tu n'es pas prête à étaler ton piètre jeu si vite. Pas quand ta fierté reprend sa place dans tes veines.
« Je vous soigne chez moi, et je vous offre un café après. » Tu tentes d'afficher un air convaincant, plutôt surprise et fière de toi, que tu ne sois pas en train de bafouiller ces mots. « C'est ma dernière offre. »
Pando
- Aeddan BarclayI'm a Mother Fucker
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Aeddan
Le cœur au bord des lèvres
Elle ne te croit pas ou fait semblant de te croire. C’est ce que tu peux lire dans son regard. Mais ne cherche pas non plus à savoir plus, et ça te rassure un peu. Tu ne souhaites pas la mêler à tes histoires, elle est trop douce, trop fragile pour cela. A côté d’elle, tu as beau être bien sapé, ton caractère, ta façon de faire t’empêche de la laisser te soigner. T’es le gars violent, dangereux. T’es le mafieux qu’il ne faut pas approché, qu’il faut laisser passer. Sauf que la demoiselle en a décidé autrement, elle aimerait te soigner. Tu grognes légèrement, ne voulant pas l’embêter avec ça alors que ses doigts touchent ta peau abimée. C’est que tu tomberais dans son piège, cher Aeddan, totalement en train de craquer, ce qui t’empêche réellement de refuser. Elle est là à te regarder avec ses grands yeux clairs, te faisant comprendre qu’elle s’inquiète vraiment pour ton cas et ça t’énerve. Impossible de résister cette douceur. Elle n’a pas besoin de souffler de mots pour te faire accepter.
Cependant, tu restes Aeddan et il faut toujours que tu trouves une opportunité, un truc qui pourrait elle aussi la faire craquer. Mais est-ce qu’elle tombera dans ton petit jeu ? Est-ce qu’elle se laissera tenter par un café en ta compagnie ? Tu n’en sais rien. Alors tu lui sors le grand jeu, offrant un de ces petits sourires en coin qui pourraient en faire tomber plus d’une et lui proposant un café. Partant sur tes acquis, tu penses directement qu’elle acceptera, qu’elle se fera même une joie de dire oui. Mais si tu savais, Barclay, si tu savais.
Elle relève la tête, te regardant une nouvelle fois dans les yeux et c’est la surprise. Le choc même. Changement de situation qui te bouleverse. D’habitude, c’est toi qui offre le café, pas la demoiselle. Tu fronces les sourcils, montrant ton léger mécontentement mais si au fond de toi, tu aimes bien ce petit caractère. Tu passes ta main dans tes cheveux. C’est que tu serais déstabilisé par sa proposition, Barclay ? Apparemment. Et en plus de cela, tu vas te retrouver chez elle. Nan parce que vous pourriez très bien faire ça ici, assis sur un banc. Sur l’instant, tu ne sais absolument pas quoi répondre, galérant à retrouver ton côté sûr de toi. Il te faut quelques secondes pour réaliser qu’elle ne changera pas d’avis même si tu tentes le tout pour le tout. "Je ne peux absolument pas vous offrir le café ?" lui lances-tu quand même, au cas où. Mais elle ne se pliera point. Tu lèves les yeux au ciel quand Adalia finit par te faire comprendre que tu dois accepter si tu veux passer un peu de temps avec elle. "Ok, ok… Je vous suis. Mais j’ai pas dit mon dernier mot !" La prochaine fois, ce n’est pas un café qu’elle aura mais un repas.
Cependant, tu restes Aeddan et il faut toujours que tu trouves une opportunité, un truc qui pourrait elle aussi la faire craquer. Mais est-ce qu’elle tombera dans ton petit jeu ? Est-ce qu’elle se laissera tenter par un café en ta compagnie ? Tu n’en sais rien. Alors tu lui sors le grand jeu, offrant un de ces petits sourires en coin qui pourraient en faire tomber plus d’une et lui proposant un café. Partant sur tes acquis, tu penses directement qu’elle acceptera, qu’elle se fera même une joie de dire oui. Mais si tu savais, Barclay, si tu savais.
Elle relève la tête, te regardant une nouvelle fois dans les yeux et c’est la surprise. Le choc même. Changement de situation qui te bouleverse. D’habitude, c’est toi qui offre le café, pas la demoiselle. Tu fronces les sourcils, montrant ton léger mécontentement mais si au fond de toi, tu aimes bien ce petit caractère. Tu passes ta main dans tes cheveux. C’est que tu serais déstabilisé par sa proposition, Barclay ? Apparemment. Et en plus de cela, tu vas te retrouver chez elle. Nan parce que vous pourriez très bien faire ça ici, assis sur un banc. Sur l’instant, tu ne sais absolument pas quoi répondre, galérant à retrouver ton côté sûr de toi. Il te faut quelques secondes pour réaliser qu’elle ne changera pas d’avis même si tu tentes le tout pour le tout. "Je ne peux absolument pas vous offrir le café ?" lui lances-tu quand même, au cas où. Mais elle ne se pliera point. Tu lèves les yeux au ciel quand Adalia finit par te faire comprendre que tu dois accepter si tu veux passer un peu de temps avec elle. "Ok, ok… Je vous suis. Mais j’ai pas dit mon dernier mot !" La prochaine fois, ce n’est pas un café qu’elle aura mais un repas.
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Plus tard, tu réaliseras que tu es un peu la reine des gourdasses en matière de négociation. Parce que pour faire un résumé, tu viens d'inviter chez toi un homme qui ne te laisse pas insensible depuis que tu l'as rencontré et, tu supputes que c'est aussi le cas de son côté à la vue des fleurs qui arrivent au siège de l'association par paquet de douze mille, même si tu t'efforces de penser le contraire. Puis là, tu le croises de manière totalement inopinée. Et tu le vois bien que cet homme il n'a pas envie de s'attarder. Qu'il a juste envie de rentrer chez lui se soigner et se reposer après s'être fait passer à tabac. Ce qui est parfaitement normal en soit.
En gros, il veut garder les distances que tu as toi-même tenté d'imposer. Sauf que tu te tiens droite dans tes bonnes intentions de Mère Teresa ascendant Saint Bernard, et tu lui proposes - non, tu exiges - de le soigner. Parce que tu es comme ça. Que tu veux faire pour lui ce que d'autres ont fait pour toi.
Au final, tu vas te retrouver à faire ça chez toi, et pour faire une pierre deux coups, lui offrir ce café qu'il a réclamé en rétribution. Bien joué Ada. Nan, vraiment, bien joué. Ramener dans ton appartement un homme qui enchaine les unes de magazines à sensations, et toujours avec une jeune femme différente. Non que tu aies ce genre de lecture. C'est simplement que tu les as toutes entendues murmurer ce soir-là. Toutes ces femmes qui tentaient d'attirer son attention. Oui, bon. Toi aussi tu espérais le faire. Sauf que tu n'as rien fait pour à part rougir comme une collégienne et paniquer intérieurement quand il s'est mis à te fixer.
Ouais, c'était pas si résumé que ça en fait.
Mais là n'est pas la question.
Pour le moment, le constat, c'est que tu lui tiens tête. Tu n'as pas cédé face au grognement et à la mine patibulaire, quand il n'y a pas si longtemps un comportement similaire t'aurais terrorisé. Mieux encore, tu as résisté à ce petit sourire de toute évidence charmeur. Tu n'en es pas non plus à dire que cela t'a laissé insensible. Tu espères même avoir su conserver un visage impassible. Tu as peut-être été longtemps fleur bleue - peut-être même que tu l'es encore un peu - mais ce que tu as vécu te pousse à te protéger de ces hommes à femmes. Et à te protéger de toi-même aussi, tant que tu ne seras pas assez forte et sûre des choix que tu fais quant aux personnes que tu laisses rentrer dans ta vie.
Pour faire un vrai résumé - cette fois - là tout de suite, tu es plutôt fière de toi.
"Je ne peux absolument pas vous offrir le café ?" Du coup, tu ne prends même plus la peine de lui répondre, te contentant de soutenir son regard, à l'affût d'une autre tentative de fuite.
"Ok, ok… Je vous suis. Mais j’ai pas dit mon dernier mot !"
« Nous verrons cela. » C'est que la réplique pourrait presque paraître effrontée, tant elle est déterminée. Sans attendre une autre réplique, tu pivotes dans un mouvement gracieux. Tu espères juste que cela a dissimulé assez vite ton petit sourire victorieux. « J'espère que cela ne vous ennuie pas de vous y rendre à pied. Je n'habite pas loin. Enfin, j'aime marcher. Mais je n'ai pas une grande notion des distances. » A dire vrai, il vous faut bien une bonne dizaine de minutes pour arriver en bas du petit immeuble où tu habites. La rue n'y est pas passante, aussi le quartier est calme. Ce n'est pas le plus important à vrai dire. Ce qui l'est, c'est que c'est le premier bien qui t'appartient vraiment. A toi seule. Tu as pu l'acheter à crédit grâce à l'argent de la revente de la maison. Tu ne voulais plus rien qui ne te rattache à lui. Tes souvenirs et tes cicatrices suffisent. « Je m'excuse par avance, il y a encore quelques cartons qui trainent. »
Pando
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MAMIE NOUS FAIT UNE SYNCOPE
Elle ne dort pas, madame Whiteman. Elle ne dort plus beaucoup depuis des années et depuis que son mari est décédé, c'est encore pire. Elle se couche tard, se réveille tôt, un vrai cauchemar pour ses vieux os. Alors vous pensez bien que dès qu'il y a un peu d'agitation dans l'immeuble, elle en profite! S'il y a bien une chose que la nature n'a pas su détériorer chez elle, contre toutes attentes, c'est son audition. Quelques pas dans le couloir, une clé qui tourne dans une serrure, une porte qui se ferme. Sa voisine, Adalia, est rentrée. Ni une, un deux, la petite mémé se saisi de sa canne pour marcher et abandonne son chat. Bien calé dans dans son bras libre, un crumble, encore un peu chaud, fait après le dîner parce que l'ennui la guettait et que la télévision ne proposait rien d'intéressant. Face à la porte de la voisine, elle cognait quelques coups de canne pour qu'on lui ouvre. Quand ce fut chose faite, elle en oubliait son crumble. Choquée par le visage d'Aeddan, la petite dame s'évanouit et le plat de verre s'éclate sur le sol. Qu'allez-vous faire?
disclaimer - Comme vous pouvez le constater, le Karma a décidé de toquer à la porte de votre sujet. Si c'est le cas, c'est parce que vous faites partie du groupe "i'm a mother fucker" autrement dit ceux qui ont accepté son intervention. Si jamais le sujet n'est pas approprié pour une telle intervention (sujet trop important pour le personnage pour être perturbé par le Karma ou autre) n'hésitez surtout pas à le faire savoir à un administrateur en lui envoyant un petit mp. Vous annulerons cette intervention. Bon jeu à vous.
CONTENU COCAINE pour "It's All My Fault"
- Aeddan BarclayI'm a Mother Fucker
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Date d'inscription : 23/04/2018
Avatar : Ben Barnes
Crédits : Moses. (avatar) crack in time (sign)
Autres comptes : Celeste & Freya
Âge du personnage : 39 ans
Nationalité(s) : Américain
Signe astrologique : Bélier
Mon personnage, en 5 mots : Cabaret, art, trafic, machiavélique, violent
Quartier de résidence : Northeast
Carrière, métier ou job : Propriétaire du cabaret le Luxure
Études (passées ou en cours) : Etudes de commerce
Orientation sexuelle : Hétérosexuel(le)
Situation sentimentale : Célibataire (par choix)
&
Aeddan
Le cœur au bord des lèvres
Te laisser ? Elle n’accepte pas. Pourtant, tu arriveras très bien à te soigner tout seul et tu fais tout pour lui faire savoir. Mais elle ne veut pas. Elle ne devrait pas faire une chose pareille, pas pour un mec comme toi qui ne la mérite pas. Tu aimerais la faire fuir, lui dire de disparaitre mais il y a ce petit quelque chose qui t’en empêche. Cette légère attirance qui te donne envie de la connaitre.
Elle semble sûre d’elle malgré les mots que tu as prononcés. Elle se laisse aller dans l’espèce de jeu que tu as instauré et ça te plait. Mais tu as aussi cette impression qu’elle ne se laissera pas faire, qu’elle va te faire ramer avant d’accepter ne serait-ce qu’un resto. Et cela t’attire davantage alors que tu ne devrais même pas penser à une soirée future avec la jeune femme. Sourire au coin des lèvres, tu ne cherches même pas à répliquer, sachant que tu auras bien d’autres moments pour lui proposer de venir manger avec toi. Tu te concentres donc sur la suite, sur les mots qu’elle murmure. D’un coup, tu comprends qu’elle va te laisser entrer chez elle, toi le méchant loup tu vas entrer dans la bergerie. Que demander de plus ? "Au contraire… J’aime bien marché aussi… Puis je vais pas rechigner pour quelques mètres alors que j’impose chez vous… " Faire celui qui semble gêné par sa proposition, celui qui aurait préféré faire ça dehors plutôt que chez elle. Alors que dans le fond, c’est tout le contraire. Tu es bien heureux de découvrir où elle vit, d’en savoir un peu plus sur elle. Tu te laisses donc embarquer dans cette courte balade pour arriver jusqu’à un petit immeuble plutôt moderne, dans une rue plutôt tranquille. Tu te sens rassuré à l’idée de savoir qu’elle ne vit pas dans un quartier malfamé. En général le nord de la ville est réputé pour être tranquille. Tu suis la jolie Mexicaine te guider à l’intérieur pour te faire découvrir son appartement. Petit mais cosy, cocooning. Logement totalement à son image. "Je présume que vous venez d’emménager alors ? Le quartier vous plait ?"
Toutefois le karma en décide autrement et on vous coupe dans votre discussion cordiale. Tu soupires un peu quand on frappe à la porte. Peut-être qu’elle attendait quelqu’un et tu as déjoué ses plans. La porte qui s’ouvre et une petite vieille apparait devant vous. Enfin pour peu de temps puisqu’elle s’écroule sur le sol, faisant tomber son gâteau par la même occasion. "Bordel ! Qu’est ce qu’il lui arrive ?" Tu regardes Adalia, elle saura quoi faire, elle qui est bien plus forte que toi pour sauver des vies. "Elle respire ?" que tu demandes aussitôt. Ni une, ni deux, tu viens soulever la vieille pour l’installer sur l’un des fauteuils du salon. Et une fois mise dans le fauteuil, tu lui jettes un regard noir. Tu lui en veux. La pauvre grand-mère, elle qui voulait bien faire.
Elle semble sûre d’elle malgré les mots que tu as prononcés. Elle se laisse aller dans l’espèce de jeu que tu as instauré et ça te plait. Mais tu as aussi cette impression qu’elle ne se laissera pas faire, qu’elle va te faire ramer avant d’accepter ne serait-ce qu’un resto. Et cela t’attire davantage alors que tu ne devrais même pas penser à une soirée future avec la jeune femme. Sourire au coin des lèvres, tu ne cherches même pas à répliquer, sachant que tu auras bien d’autres moments pour lui proposer de venir manger avec toi. Tu te concentres donc sur la suite, sur les mots qu’elle murmure. D’un coup, tu comprends qu’elle va te laisser entrer chez elle, toi le méchant loup tu vas entrer dans la bergerie. Que demander de plus ? "Au contraire… J’aime bien marché aussi… Puis je vais pas rechigner pour quelques mètres alors que j’impose chez vous… " Faire celui qui semble gêné par sa proposition, celui qui aurait préféré faire ça dehors plutôt que chez elle. Alors que dans le fond, c’est tout le contraire. Tu es bien heureux de découvrir où elle vit, d’en savoir un peu plus sur elle. Tu te laisses donc embarquer dans cette courte balade pour arriver jusqu’à un petit immeuble plutôt moderne, dans une rue plutôt tranquille. Tu te sens rassuré à l’idée de savoir qu’elle ne vit pas dans un quartier malfamé. En général le nord de la ville est réputé pour être tranquille. Tu suis la jolie Mexicaine te guider à l’intérieur pour te faire découvrir son appartement. Petit mais cosy, cocooning. Logement totalement à son image. "Je présume que vous venez d’emménager alors ? Le quartier vous plait ?"
Toutefois le karma en décide autrement et on vous coupe dans votre discussion cordiale. Tu soupires un peu quand on frappe à la porte. Peut-être qu’elle attendait quelqu’un et tu as déjoué ses plans. La porte qui s’ouvre et une petite vieille apparait devant vous. Enfin pour peu de temps puisqu’elle s’écroule sur le sol, faisant tomber son gâteau par la même occasion. "Bordel ! Qu’est ce qu’il lui arrive ?" Tu regardes Adalia, elle saura quoi faire, elle qui est bien plus forte que toi pour sauver des vies. "Elle respire ?" que tu demandes aussitôt. Ni une, ni deux, tu viens soulever la vieille pour l’installer sur l’un des fauteuils du salon. Et une fois mise dans le fauteuil, tu lui jettes un regard noir. Tu lui en veux. La pauvre grand-mère, elle qui voulait bien faire.
CODAGE PAR AMIANTE AVATAR PAR lux aeterna
- LOLA C. SANDSTROM¶ Ce qui ne peut danser au bord des lèvres, s'en va hurler au fond de l'âme.
- LOLA C. SANDSTROM¶ Ce qui ne peut danser au bord des lèvres, s'en va hurler au fond de l'âme.
- William • « La ligne de partage entre le bien et le mal traverse le cœur de chaque homme. »
- Adalia Alvarado ¶ (213)-906-0638
- LYS FOSTER ¶ Pétale aux lèvres, épine au doigt
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