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YESTERDAY'S NEWS |48
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Siloë L. Ludsen
Too long, too late, who was I to make you wait?
Avant de commencer, nous aimerions vous poser quelques questions sur votre personnage, afin d'en savoir davantage sur les motivations qui l'animent.
L'INTERROGATOIRE
Il y a deux sujets qui me passionnent plus que tout, dans la vie : la musique, et le cinéma. Alors j'hésiterais sans doute entre les deux, avant de me diriger tout particulièrement vers le cinéma. Étrange, lorsque l'on sait que c'est de l'autre dont j'ai fait mon métier. Mais j'ai toujours aimé regardé des films, les récents comme les anciens, de genres divers et variés comme on peut à peine l'imaginer ... Quant à la musique, je me suis spécifiée dans un domaine en particulier - le chant - et être capable de jouer de tous les instruments, par exemple, ne m'intéresserait pas. En revanche, je serais plus que ravie de savoir tout sur tout en ce qui concerne les films, la création de ceux-ci, leurs débuts, leur évolution jusqu'à aujourd'hui. Je suis déjà limite incollable en ce qui concerne certains acteurs et leur parcours, ainsi qu'au niveau des réalisateurs - j'ai mes fétiches -. Mais il y a encore tant de choses que j'ignore et, sans doute, à propos desquelles je ne pourrai jamais tout savoir ... Après tout, c'est un domaine très vaste et varié et le temps manque parfois afin de compléter mes connaissances dans ce milieu là.
Compte tenu du métier que j'ai choisi et que j'exerce aujourd'hui, bien sûr que je me sens à l'aise quand les regards sont posés sur moi. Et heureusement, d'ailleurs. J'ai eu du mal au début, évidemment, quand il a fallu que je monte sur scène pour la toute première fois par exemple. Mais j'ai plus ou moins toujours eu cette facilité à m'exprimer en public sans rougir et sans avoir les jambes tremblantes. L'entraînement fait que, maintenant, c'est presque devenu une formalité. Il y a toujours une certaine forme de stress avant mais ma préparation fait que je sais canaliser tout cela pour en faire une force. Le fait que je vienne d'un milieu aisé aide sans doute un peu - voire beaucoup -. Quant à mes rêves les plus fous, c'est sans étonner qui que ce soit que je vais dire que j'aimerais être une chanteuse mondialement connue. Mais c'est compliqué de percer dans le métier et je le sais, alors je tâche d'y aller pas à pas, prudemment. Sans me presser et sans chercher à mettre la charrue avant les bœufs. Mais je n'abandonnerais jamais ce projet, et je bosse même tout particulièrement là-dessus, au risque d'en oublier tout le reste.
Pour moi, c'est simple, à l'heure actuelle la recette du bonheur se résume à ma carrière. Et oui, beaucoup de personnes disent de moi que je suis une carriériste qui ne pense qu'à sa gueule - et peut-être qu'ils n'ont pas tout à fait tort - mais il faut comprendre que c'est un rêve de gamine que je suis en train de réaliser. Un rêve qui ne date pas d'hier, et qui ne trouvera son aboutissement que lorsque je serai totalement dedans. Je commence déjà à l'être et c'est un grand accomplissement en soit pour commencer. Mais cela ne s'arrête pas là. Et non, je ne rêve pas de la grande maison avec les enfants, les petits enfants et un mari attentionné. Tout cela, ce n'est pas pour moi. Du moins, c'est ce que je me dis depuis des années. Mais je n'ai jamais été le genre de gamine à rêver de son prince charmant, d'ailleurs je ne lisais jamais de contes et ne connais que très peu les films Disney. Que voulez-vous, déjà toute petite, je regardais des films indépendants on ne peut plus sérieux et que ma nounou de l'époque m'expliquait sans atténuer les détails et les plus importantes subtilités. J'ai grandit là-dedans, forcément je ne suis pas tout à fait ... Comme les autres.
Et bien, comme je l'ai déjà dit, j'ai des ambitions très sérieuses que je traîne derrière moi depuis des années et des années. Des ambitions qui n'ont que très peu changé au fil de mes différents accomplissements et de tout ce que j'ai fait. Fut un temps où je voulais aussi devenir actrice mais je suis parvenue à me focaliser sur un seul de mes rêves. Et, qui sait, peut-être qu'un jour le premier, en passe de se réaliser, permettra à l'autre de faire son apparition et de devenir réalité. Mais pour l'instant, je me focalise sur ma carrière de chanteuse et cela me va très bien. Quand j'écris, quand je chante, je suis dans ma bulle et c'est tout ce dont j'ai toujours eu besoin. C'est en tout cas ce que je me dis, peut-être un peu pour me rassurer, peut-être un peu pour ne pas regarder en arrière et regretter certaines choses que j'ai pu faire. Quoi qu'il en soit, je suis très fière d'en être déjà arrivée là où j'en suis aujourd'hui et je n'en changerais pour rien au monde. Et ma plus grande réussite, à ce jour, va sans doute en direction du moment où je suis parvenue à intégrer ce groupe, qui était déjà constitué mais qui venait de perdre sa chanteuse principale. Mon arrivée y a changé pas mal de choses, et je suis contente d'avoir réussi à donner mes idées pour modeler un peu la façon dont cela se passait, et ce qui s'y faisait.
L'une des choses les plus importantes à mes yeux, c'est la liberté de chacun. Je trouve que, dans notre société, cela manque un peu. Et de manière plus générale, c'est un principe souvent bafoué dans le monde entier. Je trouve qu'il serait important de bosser là-dessus et de s'assurer une bonne fois pour toutes que chacun puisse vivre sa vie comme il l'entend. Evidemment, ce n'est pas aussi simple que cela et bon nombre d'autres points entrent en ligne de compte. C'est une discussion sujette à débat, mais je suis prête à argumenter et à mettre les points sur les I à ce propos dès que nécessaire. Chacun devrait pouvoir s'exprimer librement ... Si tant est que cela n'empiète pas sur la liberté des autres. Et cela fait aussi partie de l'aspect primordial de tout cela : il n'est pas possible d'avoir une liberté indéfinie et illimitée. Elle doit l'être, limitée, d'une certaine façon contrôlée. Sinon, ce serait l'anarchie et ce n'est pas non plus ce que j'envisage. Pour défendre ma propre liberté en particulier, je serais prête à beaucoup de choses. Peut-être pas non plus au pire mais vous avez compris le principe.
Qui n'a jamais rien fait d'illégal ? C'est quelque chose que l'on teste tous, à mes yeux. Au moins une fois dans sa vie, et à de moindres degrés parfois évidemment. Pour ma part, c'est à mon arrivée à Los Angeles que j'ai commencé à ... Goûter, à ce genre de chose. J'ai commencé par la weed et les joints - rien de trop grave à mes yeux, donc -. Et puis il y a aussi eu quelques dérapages, des soirées trop arrosées où il était aussi de "coutume" de prendre un rail de coke ou deux, de tester l'héroïne. C'est surtout vers la cocaïne que je me suis tournée et si c'est relativement rare, il m'arrive d'en prendre. Mais je privilégie les joints, étant persuadée du fait que ce n'est rien de très "grave". Et puis, j'ai pas mal testé mes limites et celles des autres, au cours de mes années adolescentes. Je volais des petites choses dans les magasins pour l'adrénaline, j'étais une ado comme beaucoup d'autres. Rien d'extraordinaire. Et si je n'ai jamais franchi la ligne rouge qui ferait que je ne contrôlerais plus rien, je ne sais pas ce qu'il adviendra dans les mois à venir. Après tout, j'ai déjà pu me rendre compte d'à quel point Los Angeles est la ville de tous les possibles ... Et pas toujours pour le mieux.
Je pense que je n'y changerai pas grand chose. Et même si c'était le cas, fataliste - ou réaliste, cela dépend du point de vue - comme je le suis, je resterais persuadée que cela ne servirait à rien. Après tout, l'être humain est imparfait, voire même sujet aux dérives. Alors, très vite, d'une façon ou d'une autre, le monde redeviendrait exactement comme il l'était à la base : pourri, jusqu'à la moelle. Je n'ai pas trop de foi en tout cela, que voulez-vous. Et pas non plus en autrui. J'ai surtout beaucoup de mépris pour les personnes qui se contentent de leur petite vie tranquille. Pour moi, chacun devrait avoir de sérieux objectifs et s'atteler à les réaliser tout au long de sa vie. Mais, pour autant, je ne suis pas hautaine et dédaigneuse vis-à-vis de cela, du moins, moins qu'avant, quand j'étais encore auprès de mes parents. On me dit souvent froide et trop franche, alors que je m'autorise juste à dire les choses que je pense ... En veillant toujours à ne pas franchir la limite. Alors je changerais cela avant toute chose : permettre à chacun de donner son avis sur tous les sujets. Dans les limites du raisonnable bien sûr.
La chose la plus importante en ce qui concerne ma vie et que je n'ai pas pu évoquer jusque-là est en rapport avec ma famille. Mes parents, mes oncles, mes tantes, mes cousins, ... Les amis de ce que j'appelle mon "ancienne vie", aussi. J'ai tiré un trait sur chacune de ces personnes lorsque j'ai décidé d'emménager à Los Angeles, pour faire carrière. Je n'avais que dix-huit ans, et cela a bien sûr été très mal vécu. Mais je me suis tenue à ma promesse et, jusqu'à aujourd'hui, je ne suis jamais retournée en arrière pour les retrouver. Il y a eu quelques coups de fil pour donner des nouvelles, pour rassurer quant à ce que je faisais, où je vivais, - en particulier auprès de ma mère - ... Mais les contacts ne sont pas chaleureux, ne l'ont de toute façon jamais été. Je ne pouvais pas rester avec des personnes qui me tiraient vers le bas, qui m'empêchaient de réaliser mes rêves et de vivre ma vie telle que je l'entendais. Même si cela signifiait abandonner l'idée d'un héritage à venir, abandonner les repas de famille et la possibilité de faire demi-tour en cours de route.
DERRIÈRE L'ÉCRAN
Karma : [ ] It's all my fault [X] I'm a mother fucker. Prénom/pseudo : Emilie/Schizophrenic. Âge : Toujours 22 ans for now. Anniversaire : 21/07 toujours. Localisation : France/Rhône-Alpes. Présence : 4/7. Personnage ... [X] inventé [ ] pré-lien. J'ai connu le forum : sur bazzart grâce à ma sœur, l'autre fifolle. Et je le trouve : PARFAIT. Ma plus grande peur : j'avais déjà dû dire les araignées la dernière fois ... Alors ce coup-ci, disons ... Non je n'ai pas d'idées. Les araignées ça restera. Un dernier mot ? FILOU.
IMAGES Avatars par Morphine
- InvitéInvité
FAITS DIVERS
Too long, too late, who was I to make you wait?
When she was just a girl ...
Souvent, on disait (dit) à Siloë que sa vie était simple, plutôt positive et qu'elle n'avait pas réellement de quoi se plaindre. Et c'est vrai, dans le fond. Jamais elle n'avait manqué de quoi que ce soit sur le plan matériel. Elle vivait dans une grande maison, allait à l'école tous les jours et avait droit à 30 minutes de visionnage de télévision le soir, en rentrant chez elle. Elle était toujours à la pointe de la mode, toujours parée à participer à toutes les sorties extrascolaires organisées par l'école. Ses résultats étaient dans la moyenne, pas excellents, mais pas non plus médiocres - loin de là -. En somme, elle avait tout ... Si ce n'est une famille soudée. Ses parents formaient un couple atypique et pourtant, en même temps, adulé. Lui était un grand entrepreneur très réputé, et elle une mannequin de dix ans sa cadette. Ils s'étaient rencontrés tardivement, mais avaient très vite accueilli au sein de leur petite famille Siloë. Elle n'était pas désirée, était arrivée complètement par hasard. Mais ils se seraient mal imaginés la faire adopter, ou même avorter avant cela, si bien qu'ils décidèrent de la garder ... Sans pour autant accepter l'idée qu'elle allait leur demander beaucoup de sacrifices et d'attention. La première année, sa mère resta à ses côtés, mais dès qu'elle fut à peine plus grande, elle décida qu'il était temps pour elle de s'afficher de nouveau aux bras de son mari. Et leurs voyages recommencèrent ... Sans Siloë, qui restait derrière, gardée par diverses nounous. Heureusement, elle tomba toujours plutôt bien. Les premières s'enchaînèrent parce qu'elles étaient étudiantes et ne pouvaient donc pas renouveler leur contrat chaque année. Mais à un moment, arriva celle qui devint comme une seconde mère - voire une mère tout court - pour elle : Kacey. Elle resta très longtemps à ses côtés. A peu près de ses cinq à ses quatorze ans. Une relation profonde se noua entre elles et elles partagèrent beaucoup, beaucoup de choses. Mais à l'aube de ses quatorze ans, ses parents renvoyèrent la nounou, décrétant que Siloë était assez grande pour se garder seule, lorsqu'ils s'absentaient - et autant dire que cela arrivait souvent -. Les premiers temps furent compliqués pour la jeune femme, qui tenta de leur en faire voir de toutes les couleurs mais comme ils n'étaient pas très présents, c'était compliqué d'y parvenir. Et au bout de quelques mois, elle baissa les bras. Il ne serait plus possible pour elle de leur faire payer. Mais c'est à cette période-là qu'elle tomba pour de bon dans la musique, elle qui en écoutait déjà beaucoup. Arriva un moment où elle écrivit des dizaines et des dizaines de chansons, et apprit à composer par elle-même. Avec l'argent de poche que ses parents lui fournissaient - hormis ce qu'elle mettait de côté -, elle parvint à prendre quelques cours pour l'aider à progresser sur certains points. Et, à dix-huit ans, elle décida de s'envoler de ses propres ailes. Ses parents étaient bien sûr totalement contre ce choix de carrière et ils tentèrent de la persuader de poursuivre des études plus "dans ses cordes". Ils la voyaient bien - son père, surtout - médecin, avocate, ... N'importe quoi qui demande qu'elle entre à l'université, ils avaient déjà de grands plans pour elle. Pas qu'elle devienne ce que son père appelait une "vulgaire chanteuse de cabaret". Déterminée, Siloë décida de s'en aller malgré tout. Récupéra l'argent de poche qu'elle gardait depuis quelques temps, et partit dès sa majorité atteinte. Il était temps pour elle de se faire un nom loin, très loin de ses parents.
... She expected the world.
A dix-huit ans, Siloë quitta donc son domicile familial un jour où ses parents s'étaient absentés. Elle ne laissa derrière elle qu'une lettre expliquant pour la énième fois son choix. Pas une seule fois, elle ne regarda en arrière. Pas à un seul instant, elle ne regretta sa décision. Ce fut pourtant compliqué au départ. Il lui fallut déménager, trouver un endroit où dormir pendant quelques temps ... Ses pas la menèrent assez vite et de manière très naturelle jusqu'à Los Angeles. Jusque-là, elle avait toujours vécu à San Francisco, n'ayant eu que quelques occasions pour aller à Philadelphie, New-York ou encore Sacramento où vivaient certains membres de sa famille. Mais c'était la première fois qu'elle mettait les pieds à Los Angeles, et elle ne regretta pas le moins du monde sa décision. Elle n'eut d'autres choix que de commencer par des petits jobs "minables", qu'elle n'appréciait absolument pas. Mais ce fut une chance pour elle. Quelques semaines après son installation à Los Angeles, elle commença un travail de serveuse dans un bar du centre-ville. Et c'est là qu'elle fit la rencontre de ceux qui venaient se produire une fois par semaine sur la scène. Elle osa assez rapidement les aborder après leur concert, et apprit qu'un des membres de leur groupe ne tarderait pas à les quitter, du fait de sa grossesse et de son envie de se poser avec celui qui deviendrait bientôt son mari. Au culot, Siloë se proposa pour la remplacer. Elle dû leur faire une démonstration puis faire ses preuves lorsqu'ils l'acceptèrent à leurs côtés. Mais ce n'était pas un problème pour elle. Elle était sûre d'elle, elle se sentait capable d'y aller et de parvenir à ses fins ... Et elle y arriva : en un rien de temps, elle parvint à se faire sa place à leurs côtés. Et ils acceptèrent même de chanter certaines des chansons qu'elle avait composées. Une aubaine pour elle : elles eurent du succès auprès du public. Forte de cette ébauche de succès, Siloë laissa tomber son boulot de serveuse, et décida plutôt de se produire avec eux sur diverses scènes de bar, et compagnie. Ce n'était pas un gros revenu, mais elle parvint assez vite à les convaincre de ne plus se contenter que de ces petites scènes, de tenter plus. Et, aussi, elle réussit à les faire se produire plus souvent. Au départ, c'était un ou deux concerts hebdomadaires, pas plus. Mais ils apprirent à en faire au moins cinq, du mardi au samedi. Et, ainsi, ils commencèrent à se faire une petite notoriété. Mais aujourd'hui, leur avancée semble au point mort et Siloë ne sait pas si elle va réellement avoir la patience de rester avec eux ... Alors qu'elle a toujours aspiré à plus. A beaucoup plus.
IMAGES Avatars par Schizophrenic
- InvitéInvité
Rebienvenue
C'est toi qui est parfaite Je veux dire ... EMMA + #teambuveursdelait ...
Il me tarde de découvrir ce personnage
C'est toi qui est parfaite Je veux dire ... EMMA + #teambuveursdelait ...
Il me tarde de découvrir ce personnage
- InvitéInvité
C'est énorme. Une belle bouille, un jolie nom, une chanteuse ... :)
Bienvenue sur le forum !
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- Lysander E. FosterI'm a Mother Fucker
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Dollars : 2388
Messages : 109
Date d'inscription : 10/03/2018
Avatar : Aaron Taylor-Johnson
Crédits : nine + tumblr
Autres comptes : Clarence M. Burns
Âge du personnage : 28 ans
Nationalité(s) : Anglaise
Signe astrologique : Gémeaux
Mon personnage, en 5 mots : Miroir, Fatalité, Exubérance, Fragilité,
Quartier de résidence : Westside
Carrière, métier ou job : Il est avant tout auteur, compositeur et interprète depuis des années. Après s'être fait connaître par le biais de son groupe On the Edge, il chante désormais en solo. Il a également monté T△LENT, son propre label de musique, pour produire d'autre talents.
Études (passées ou en cours) : Il est diplômé en musique, mais également en marketing, depuis trois années maintenant.
Orientation sexuelle : Indécis
Rebienvenue parmi nous. Avec une chanteuse, il faudra absolument qu'on se trouve quelque chose.
J'ai hâte de lire cette fichette.
J'ai hâte de lire cette fichette.
- InvitéInvité
re-bienvenue tête de lardon fumé
- InvitéInvité
Rebienvenue, bon courage pour ta fiche
- InvitéInvité
reeeebienvenue. t'as toujours d'aussi bon goût.
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