YESTERDAY'S NEWS |48
- Kai NortonReserve Unit
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Âge du personnage : 27 (08.01)
Nationalité(s) : Américain
Signe astrologique : Capricorne
Mon personnage, en 5 mots : Farceur - Sportif - Romantique - Attachant - Bagarreur
Quartier de résidence : Westside
Carrière, métier ou job : Assistant management general manager Lakers
Études (passées ou en cours) : Diplômé Management + Sport Basket
Hobby : Sportif - Son fils - Ses amis - Sa vodka
Orientation sexuelle : Hétérosexuel(le)
Situation sentimentale : C'est ... compliqué
Avec : une pianiste
« Merci » A l’adresse de la serveuse qui lui tend un gobelet au contenu liquide bouillant, son sourire de dragueur délivre un instant de glamour et ses yeux détaillent avec avidité le charme de la jeune femme. On pourrait lui faire un reproche, comme quoi il est marié, qu’il n’a plus à faire ça, que maintenant qu’il est engagé cette façon de faire, de draguer ouvertement, de jouer de son physique n’est plus approprié, mais … Oui il y a un mais, un grand mais ! Ce mariage, ce n’est pas le genre de truc avec de l’amour, de la fidélité ou toute autre connerie du genre, trop peu pour lui. Tout n’avait était que folie, amusement et grosse connerie. Que ce soit Kai, ou Alice, l’heureuse élue, ils avaient étaient tous deux d’accord sur un point, cela ne changerait rien ! A leurs habitudes, à leurs façons de vivre et sûrement pas à leur quotidien de drague et de sexe … Ah ben oui, il ne faut pas l’oublier. Okay, on a une bague, on est engagés, mais franchement, on est pas ensemble … Voilà. Tout était dit. La seule chose qui avait réellement changé, c’était la présence de la Collins … Euh Norton, dans la villa. Et son invasion de fringues en tout genre. Pourquoi avait-il accepté une telle chose d’ailleurs ? Il ne sait même plus s’il avait acquiescé la requête, mais il n’allait pas s’en plaindre. Cette villa était bien trop grande pour lui seul.
Le regard sur un postérieur féminin fort bien formé, il ne le vit pas. Lui. Le trouble-fête. Qu’il percuta de plein fouet en renversant la totalité de son café chaud sur l’individu. « Putain. » Crache-t-il doucement. Voulant s’excuser, son visage fit face enfin à un brun qu’il reconnut immédiatement. Son sang se glaçant. Il perdit instantanément toute envie de se comporter d’une manière cordiale et sa voix trouva un ton agressif en une seconde. « Tu peux pas faire attention putain de merde ! » Il crache son venin, gratuitement. « Eastwood, toujours là quand il faut. » Un regard noir, il posa ses prunelles sombres sur l’espagnol.
@Ezekiel Eastwood
Le regard sur un postérieur féminin fort bien formé, il ne le vit pas. Lui. Le trouble-fête. Qu’il percuta de plein fouet en renversant la totalité de son café chaud sur l’individu. « Putain. » Crache-t-il doucement. Voulant s’excuser, son visage fit face enfin à un brun qu’il reconnut immédiatement. Son sang se glaçant. Il perdit instantanément toute envie de se comporter d’une manière cordiale et sa voix trouva un ton agressif en une seconde. « Tu peux pas faire attention putain de merde ! » Il crache son venin, gratuitement. « Eastwood, toujours là quand il faut. » Un regard noir, il posa ses prunelles sombres sur l’espagnol.
@Ezekiel Eastwood
- Ezekiel EastwoodI'm a Mother Fucker
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Âge du personnage : vingt sept ans
Nationalité(s) : espagnole & américaine
Signe astrologique : Taureau
Mon personnage, en 5 mots : why are you holding back ?
Quartier de résidence : Eastside
Carrière, métier ou job : photographe de presse pour le L.A. Times.
Études (passées ou en cours) : deux ans de philo, puis école d'art, spécialisation photo.
Hobby : basket, photo, son chat, lire, prendre un café, explorer la ville.
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journée douce. climat agréable. il avait décidé de bosser dehors. parcourir la ville pour trouver Le bon endroit pour prendre des clichés. flânant, sur un de ses chemins, il avait tapé le pied dans un porte feuille. 2000 dollars en liquide, avec le contact du propriétaire. la tentation n'avait jamais été aussi grande. la rue était vide. il avait longuement hésiter, prendre le liquide, jeter le porte feuille. mais il avait toujours été trop honnête. et si un jour la même chose lui arrivait. il préférait largement qu'on lui rende. il regarda un instant le ciel, se sentant observé. il attrapa la carte de visite et passa un appel. à quelques rues de là où il se trouvait à peine, il trouva le propriétaire, lui rendit le porte feuille. jamais il n'eut pensé voir un visage aussi soulagé de sa vie. il eut le droit à une dizaine de minutes de remercie, entre les grands sourires, les remerciement à dieu et d'autres. bonheur communicatif, il n'avait rien demandé en retour, mais l'homme insista pour lui laisser 500 dollars. deux refus avant que zeke finisse par comprendre qu'il avait pas vraiment le choix.
le soleil, la fatigue, la gueule de bois qu'il avait l'impression de transporter en permanence. comme son petit nuage noir personnel. au moins il avait pu oublier pendant une demi-journée le putain de mariage d'alice. le café semblait être son meilleur ami en ce moment. les yeux qui se posent sur la carte du starbucks. on passe dix minutes à regarder la carte avant de se décider à prendre la même chose que d'habitude. l'espagnol ne manquait pas à la règle. il ne vit pas la collision arriver. encore moins le liquide chaud s'étaler sur sa chemise, le brûlant légèrement au passage. « bordel de ... » premier réflexe : vouloir s'excuser. deuxième réflexe : relever les yeux vers l’agresseur. troisième réflexe : ravaler sa salive pour éviter de la cracher au visage de norton en le reconnaissant. le poing serré, avec l'envie profonde de laisser son poing se perdre sur son visage. « pardon ? c'est toi qui a renversé ton café sur moi. » n'importe qui. n'importe qui il se serait excuser. n'importe qui il aurait passer l'éponge. il a fallu que ce n'importe qui soit norton. un rire jaune s'échappa de ses lèvres. « ta gueule de con aussi, pourtant je m'arrête pas dessus. » il aurait du partir, aller à l'intérieur, prendre son café et s'éloigner dans le sens opposer même si cela lui faisait faire un détour de dix kilomètres. et pourtant, il restait planté devant lui. à se demander qui frappera en premier. parce qu'il prenait conscience que ça ne pouvait finir seulement comme ça.
@kai norton
le soleil, la fatigue, la gueule de bois qu'il avait l'impression de transporter en permanence. comme son petit nuage noir personnel. au moins il avait pu oublier pendant une demi-journée le putain de mariage d'alice. le café semblait être son meilleur ami en ce moment. les yeux qui se posent sur la carte du starbucks. on passe dix minutes à regarder la carte avant de se décider à prendre la même chose que d'habitude. l'espagnol ne manquait pas à la règle. il ne vit pas la collision arriver. encore moins le liquide chaud s'étaler sur sa chemise, le brûlant légèrement au passage. « bordel de ... » premier réflexe : vouloir s'excuser. deuxième réflexe : relever les yeux vers l’agresseur. troisième réflexe : ravaler sa salive pour éviter de la cracher au visage de norton en le reconnaissant. le poing serré, avec l'envie profonde de laisser son poing se perdre sur son visage. « pardon ? c'est toi qui a renversé ton café sur moi. » n'importe qui. n'importe qui il se serait excuser. n'importe qui il aurait passer l'éponge. il a fallu que ce n'importe qui soit norton. un rire jaune s'échappa de ses lèvres. « ta gueule de con aussi, pourtant je m'arrête pas dessus. » il aurait du partir, aller à l'intérieur, prendre son café et s'éloigner dans le sens opposer même si cela lui faisait faire un détour de dix kilomètres. et pourtant, il restait planté devant lui. à se demander qui frappera en premier. parce qu'il prenait conscience que ça ne pouvait finir seulement comme ça.
@kai norton
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Une fraction de seconde suffit pour contrebalancer toute émotion un minimum sympathique naissant dans l’esprit de Kai. Une fraction de seconde durant laquelle le visage de l’espagnol apparu. Faisant disparaitre par la même occasion toute envie de s’excuser. L’ambiance venait d’être chamboulée. La belle journée qui avait commencée s’écroula immédiatement. Les mots qui atteignent les oreilles de Kai sonnent comme un sifflement lointain. Le simple mot « con » suffirent. « Okay Eastwood, on va jouer à un jeu. » Qu’il tente de dire d’un ton calme et posé. Mais le résultat est tout autre, illustrant à merveille la pression installée. « Tu fermes ta gueule, tu repars d’où tu viens en allant t’acheter une chemise et tout le monde est content, okay ? » Sans scrupules. Un regard noir. Il ne souhaite pas négocier, ni faire la discussion. Ils n’ont rien à se dire de toute façon et encore moins avec les événements récents. Cette histoire de mariage rendait la relation des deux hommes encore plus tendue qu’elle ne l’était à l’origine. Une animosité qui tournait relativement à la haine. La finalité ne semblait n’avoir qu’une seule issue. Un échange de poings. Il fallait que cela arrive, tôt ou tard, pour mettre des mots, un point, à ce désastre qu’ils avaient créé. Allons bon, vous y croyez-vous à la réconciliation ? Impossible. Aucun des deux hommes ne bougent. Un échange de regard qui en dit long. « Allez dégage connard » Qu’il lâche tout en se dirigeant vers la sortie. Il n’avait que faire d’un minable dans son genre. Il n’avait que faire de l’air blafard qui peignait sur le visage du photographe.
@Ezekiel Eastwood
@Ezekiel Eastwood
- Ezekiel EastwoodI'm a Mother Fucker
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il aurait du lire l'horoscope du jour. peut-être que l'espagnol n'aurait pas mis un pied dehors. ce n'était pas ses plans sur la comète. ce n'était pas ce qu'il avait prévu pour sa journée. laisser ses problèmes à la porte, et ne pas les croiser en se baladant sur le goudron. mais le karma avait la vie dure. et semblait balançait de gauche à droite, de haut en bas. lui laissant trouver deux milles dollars, puis posant sur sa route, le seul visage de cette ville qu'il n'avait pas envie de voir. celui qui avait passer la bague au doigt d'alice. et le pire c'est qu'ezekiel ne savait pas contre qui la rancœur basculait le plus. kai. ou alice. lui pour avoir décidé de l'épouser ou elle pour avoir accepté. le café imprègne le tissu, les regards s'affrontent sans laisser s'échapper l'autre.
jouer à un jeu ? le début d'un message du tueur au puzzle. saw dans la bouche d'un connard. personne ne fait attention à la tornade qui se fait prépare. aux nuages noirs qui s'amoncellent au dessus d'eux. il aurait pu les dissiper, en le laissant passer. en faisant demi-tour, passant la porte, et en disparaissant entre deux corps. mais le néon d'une couleur psychédélique de l'enseigne à côté, lui tapait la rétine. rouge, violet, bleu. il ne voyait plus le crépuscule à venir. le poing serré, il vit norton se retourner et desserra la mâchoire pour lui cracher le venin au visage. « tout le monde sauf moi. » sa main attrapa son épaule dans un réflexe inattendu. poing fermé. ses phalanges vinrent jouer au tetris le long de sa joue. le faire disparaître dans un trou de ver ça aurait été plus simple que d'éclater le poing sur sa mâchoire. mais rien ne détendait plus que de laisser ses muscles exercer leur boulot.
@kai norton
jouer à un jeu ? le début d'un message du tueur au puzzle. saw dans la bouche d'un connard. personne ne fait attention à la tornade qui se fait prépare. aux nuages noirs qui s'amoncellent au dessus d'eux. il aurait pu les dissiper, en le laissant passer. en faisant demi-tour, passant la porte, et en disparaissant entre deux corps. mais le néon d'une couleur psychédélique de l'enseigne à côté, lui tapait la rétine. rouge, violet, bleu. il ne voyait plus le crépuscule à venir. le poing serré, il vit norton se retourner et desserra la mâchoire pour lui cracher le venin au visage. « tout le monde sauf moi. » sa main attrapa son épaule dans un réflexe inattendu. poing fermé. ses phalanges vinrent jouer au tetris le long de sa joue. le faire disparaître dans un trou de ver ça aurait été plus simple que d'éclater le poing sur sa mâchoire. mais rien ne détendait plus que de laisser ses muscles exercer leur boulot.
@kai norton
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Kai attend un instant, avant de tourner le dos au visage pâle de l'espagnol . Il réfléchit, à tout ce qu'Ezekiel vient de subir ces derniers temps, sans vouloir lui offrir d'attention particulière. L'envie de le remettre à sa place le prend soudainement, puis retombe, comme un éclair de génie ou une soudaine pitié. Quelques millièmes de secondes passent, le temps lui semble interminable, tandis qu'il reste les deux pieds ancrés au sol et que son visage est bousculé par un poing venu de nulle part. Après réflexion il sait enfin que le brun n'a pas envie de partir sans rien dire. Inspirant profondément, il tente de rester calme quelques secondes avant de comprendre que cela ne servira à rien avec le spécimen qu'il a croisé aujourd'hui.
- " T'es vraiment trop con " répond t-il en se massant la joue en espérant retirer la douleur qui émerge des parcelles de peau de son visage.
Kai regarde les phalanges d'Ezekiel. Kai se remémore les innombrables fois qu'il a ressenti cette envie de lui foutre un poing dans sa tronche sans jamais le faire. Il se souvient de la fois où il avait fait tombé l'appareil photo de l'espagnol et que la discussion avait viré à la prise de tête. Ce n'était pas beau à voir. Perdu dans ses pensées il ne remarque pas que les passants les observent. Ezekiel doit sans doute se demander pourquoi l'Hawaïen ne riposte pas du tac au tac, sans attendre, mais il prend le temps de réfléchir, pour une fois. Kai reprend finalement ses esprits et soupire bruyamment. Il a l'impression que cette entrevue n'est pas le fruit du hasard, c'est assez étrange et décousu de sens. Alors, décidé à apaiser la tension, Kai reprend la parole.
- " Tu pourrais arrêter de jouer au con s'teu plaît ? ça te changera ... " demande t-il en se tenant toujours la joue.
@Ezekiel Eastwood
- " T'es vraiment trop con " répond t-il en se massant la joue en espérant retirer la douleur qui émerge des parcelles de peau de son visage.
Kai regarde les phalanges d'Ezekiel. Kai se remémore les innombrables fois qu'il a ressenti cette envie de lui foutre un poing dans sa tronche sans jamais le faire. Il se souvient de la fois où il avait fait tombé l'appareil photo de l'espagnol et que la discussion avait viré à la prise de tête. Ce n'était pas beau à voir. Perdu dans ses pensées il ne remarque pas que les passants les observent. Ezekiel doit sans doute se demander pourquoi l'Hawaïen ne riposte pas du tac au tac, sans attendre, mais il prend le temps de réfléchir, pour une fois. Kai reprend finalement ses esprits et soupire bruyamment. Il a l'impression que cette entrevue n'est pas le fruit du hasard, c'est assez étrange et décousu de sens. Alors, décidé à apaiser la tension, Kai reprend la parole.
- " Tu pourrais arrêter de jouer au con s'teu plaît ? ça te changera ... " demande t-il en se tenant toujours la joue.
@Ezekiel Eastwood
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Avec : alice
on pense toujours que seul celui qui reçoit le coup finit par avoir mal. et puis, il y a la douleur qui irradie des articulations des phalanges, lorsqu'on a pas pris le temps de bien finir le mouvement. et l'espagnol avait pas vraiment pris le temps de s’entraîner. ça a jamais été le bagarreur, au lycée ou à la fac. plutôt le médiateur. mais tout le monde finit par découvrir tous les côtés de la barrière. et c'est toujours dans les pires moments qu'on découvre les pires facettes de notre âme.
la surprise doit se lire sur son visage. de ne se prendre que des insultes dans la face et aucun poing. il pensait que norton avait plus de répondant que seulement son venin. les mains finissent dans ses poches, quand il sent deux pièces se heurter entre le tissu. il lui vient l'idée la plus débile de toute l'histoire de la jalousie. « t'sais quoi, on va la jouer à pile ou face. pile, t'en prends une autre. face, je te laisse tranquille pour le reste de ta vie. » autant s'en remettre au hasard, l'espagnol n'avait plus rien à perdre. la pièce tourne entre ses doigts. avant de la faire voltiger en l'air d'un geste du pouce. les secondes les plus longues de toute sa vie. et pendant c'est quelques secondes, il sait que c'est la bonne solution. laisser le destin décider. le reflet de la lumière sur la pièce passe dans vos yeux un instant. avant qu'elle retombe dans sa paume. pile. « apparemment le hasard n'est pas d'accord. » le sourire mesquin d'un gosse dans les mauvais jours s'abat sur son visage alors que son poing vole de nouveau.
@kai norton
la surprise doit se lire sur son visage. de ne se prendre que des insultes dans la face et aucun poing. il pensait que norton avait plus de répondant que seulement son venin. les mains finissent dans ses poches, quand il sent deux pièces se heurter entre le tissu. il lui vient l'idée la plus débile de toute l'histoire de la jalousie. « t'sais quoi, on va la jouer à pile ou face. pile, t'en prends une autre. face, je te laisse tranquille pour le reste de ta vie. » autant s'en remettre au hasard, l'espagnol n'avait plus rien à perdre. la pièce tourne entre ses doigts. avant de la faire voltiger en l'air d'un geste du pouce. les secondes les plus longues de toute sa vie. et pendant c'est quelques secondes, il sait que c'est la bonne solution. laisser le destin décider. le reflet de la lumière sur la pièce passe dans vos yeux un instant. avant qu'elle retombe dans sa paume. pile. « apparemment le hasard n'est pas d'accord. » le sourire mesquin d'un gosse dans les mauvais jours s'abat sur son visage alors que son poing vole de nouveau.
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L’étonnement se lit sur le visage de Kai. Jouer la discorde sur une pièce, une simple pièce. L’idée ne lui plait guère mais Norton n’a pas le temps de refuser la proposition que le métal arrondi se met déjà à tourner sur lui-même dans les airs pour laisser le destin se jouer. Il est mitigé. Espère-t-il que la pièce tombe sur face ? Qu’il soit tranquille pour le reste de sa vie, le voulait-il réellement ? Il ne peut pas l’affirmer. L’idée de remettre Eastwood à sa place le titillait et lui plaisait aussi énormément. Alors qu’il doute lui-même de ses envies, la pièce arrête de tourniller pour laisser le verdict tomber. Pile. Les yeux de Kai restent fixés sur cette vision, alors qu’ils remontent petit à petit pour voir le visage d’Ezekiel une demi-seconde avant que le poing vienne le heurter de plein fouet à nouveau. Tel une banqueroute lors d’une partie de Monopoly, le moral de Kai dégringole alors que son visage est détourné par l’impact et la violence du coup. Un « putain » s’échappe des lèvres du basketteur et sa fierté masculine est touchée. Il n’en faut pas plus pour que Kai se ressaisisse pour jeter à son tour son poing dans les airs. Complètement désorienté, il ne heurte rien. Pas un bout de peau. Pas une parcelle de visage. Le vide. Ce n’est pas un jeu d’échecs entre eux, aucune stratégie n’est menée, le but est simple, faire mal, faire payer. L’action ressemble davantage à une bataille par jeu de cartes. Abattre ses cartes une à une et observer le résultat. Les yeux écarquillés, ébahis, il réalise qu’il vient de rater son coup. Un réflexe sportif, un appui au sol et il se retourne pour jeter un autre coup. Comme un coup de poker, un regard en coin lui permet d’aviser son coup alors que sa garde de défense est baissée. Il sent cette fois son poing heurter la mâchoire de son adversaire. Ennemi. L’homme miroir, qui lui ressemble tellement qu’il est impossible pour lui de l’apprécier. Pas besoin d’être un détective privé digne d’une partie de Cluedo pour deviner qu’ils ne se portent pas dans le cœur. « Espère de connard, tu crois que je vais rester là sans rien faire ? » Les deux mains en avant, un geste de puissance et il pousse Ezekiel violemment dans le café. Sans se préoccuper de la présence des clients. « C’est quoi ton problème Eastwood ? Pourquoi tu viens me chercher la merde ? » Pour un café, il en doutait. Une excuse, rien de plus. Ou alors, il était vraiment atteint beaucoup plus que ce qu’il pensait.
@Ezekiel Eastwood
@Ezekiel Eastwood
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il n'était absolument pas fier de son pile ou face. mais parfois il faut savoir forcer le destin. un poing qui part d'un côté, atteint sa cible. norton divague, loupe le premier. mais surement pas le deuxième. phalanges qui atteignent ezekiel en pleine mâchoire. la douleur irradie au point d'impact. mais au lieu de le calmer. de les calmer. cette douleur ne semble faire que raviver les deux hommes. un sourire ou un regard malsain ne sont que bonne guerre. un mouvement brutal le pousse en arrière. le faisant maladroitement entrer dans le café. « nan, ça serait trop facile. » la foule se resserre. on pouvait apercevoir des regards ébahis, pétrifiés, ou même joueurs, si on prenait le temps de regarder la salle. deux ou trois téléphones étaient de sortis. histoire de filmer, faire vibrer les réseaux sociaux avec un coup de buzz. et pas besoin de se concerter pour savoir qu'une vidéo du genre ne ferait un bon coup de pub, ni pour eastwood, ni pour norton. mais trop occupé à récupérer son équilibre, et essuyer le sang de sa lèvre, l'espagnol ne se concentre sur rien d'autre que son adversaire. quelques éclaboussures de sang, presque invisibles parsèment le sol et leur chemise. mais tous le monde s'en fiche. sauf les agents d'entretien du café tout à l'heure probablement. pour l'instant, l'heure est à la rage, la surprise, l'excitation. « tu la mérites pas. » aucun prénom, mais l'espagnol ne pourrait pas être plus clair. des mots qui résonnent dans sa tête depuis qu'il a appris par un malheureux post instagram la nouvelle.
on pouvait entendre le silence. jusqu'à ce qu'une voix s'élève, la voix d'un homme. serveur, gérant ou client. peu importe, personne n'y prêtait attention. ezekiel ne cherche même pas à reprendre son souffle. inutilité, il n'en avait pas fini. ni l'un ni l'autre. toute cette rancune accumulée devait bien se libérer un jour. et la goutte de café venait de fissurer le barrage. « quoi ça te suffisait pas de jouer avec, fallait que tu l'emmènes vegas ? t'es qu'un con mal finit. »
@kai norton
on pouvait entendre le silence. jusqu'à ce qu'une voix s'élève, la voix d'un homme. serveur, gérant ou client. peu importe, personne n'y prêtait attention. ezekiel ne cherche même pas à reprendre son souffle. inutilité, il n'en avait pas fini. ni l'un ni l'autre. toute cette rancune accumulée devait bien se libérer un jour. et la goutte de café venait de fissurer le barrage. « quoi ça te suffisait pas de jouer avec, fallait que tu l'emmènes vegas ? t'es qu'un con mal finit. »
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Ne pas la mériter … Aucun besoin de préciser de quoi les deux hommes sont en train de parler, ni de qui. Ni même encore si on peut décrire cette entracte comme une discussion. A coup de violence, leurs échanges étaient imprégnés d’une haine profonde. Un sourire narquois naquit sur les lèvres de Norton. « Alors c’est pour ça. » Qu’il commence doucement. Heureux de voir les dégâts causés par une telle nouvelle. La jalousie sembla habiter le regard de l’espagnol alors que Kai se mit à jubiler en pensant qu’il avait un effet, non, un pouvoir sur l’état émotionnel du brun. Et la suite arriva, offrant au basketteur toute la contenance nécessaire pour apprécier les dégâts d’une bague. Une simple bague au doigt d’une amie … Devenue sa femme l’instant de quelques jours. Une blague, une bague, un mélange de tout et de rien qui semblait faire jazzer la terre entière. Son attachement et l’amitié portée pour Alice faisait ressentir une sorte de culpabilité à Kai, mais rien d’assez puissant pour retirer la satisfaction naissante en apercevant cet état de panique dans le fond de l’œil de l’espagnol. Mais qu’en avait-il à foutre lui ? Elle est grande, elle fait ce qu’elle veut. Alors il décide d’en jouer, sur jouer même. Cela faisait bien longtemps qu’il n’avait pas cassé la gueule à un mâle, c’était le moment rêvé pour s’y remettre. « Qui te dis que je joue avec elle ? » Première question. Affrontement de regards. Kai ne lâche pas. Plongeant ses yeux dans ceux de son adversaire. « Elle n’a jamais dit non, elle ne s’est jamais plains, le con mal fini est marié avec ta chère Alice. » Il se rapproche d’un pas menaçant en rajoutant. « Que tu le veuilles ou non. » Avant de s’emparer d’un gobelet chaud trainant sur une des tables et le jetant au visage d’Ezekiel. Admirant le spectacle et jouissant d’une satisfaction démesurée.
@Ezekiel Eastwood
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Âge du personnage : vingt sept ans
Nationalité(s) : espagnole & américaine
Signe astrologique : Taureau
Mon personnage, en 5 mots : why are you holding back ?
Quartier de résidence : Eastside
Carrière, métier ou job : photographe de presse pour le L.A. Times.
Études (passées ou en cours) : deux ans de philo, puis école d'art, spécialisation photo.
Hobby : basket, photo, son chat, lire, prendre un café, explorer la ville.
Orientation sexuelle : Bisexuel(le)
Situation sentimentale : C'est ... compliqué
Avec : alice
c'est cette joie qui luit dans ses yeux, que zeke exècre le plus. ce foutage de gueule dans les règles de l'art que lui impose norton. comme si les photos et son sourire ne suffisait pas. il fallait qu'il ouvre sa grande gueule. insupportable. pas un traitre mot qu'il ne sortit ne sentait pas le mensonge à des kilomètres. ou tout simplement qu'il ne voulait pas y croire. « en tout cas, elle, elle joue avec toi. » une certitude qui traversa ses lèvres.
mais l'espagnol eu à peine le temps de fermer les yeux dans un mouvement de recule. le liquide brûlant lui atterrit un plein visage. inondant sa peau d'une douleur vive mais brève. ezekiel avait commencé, mais il aurait du se défendre. potentiellement faire pleuvoir les coups comme il le pouvait. mais le dégoût s'empare de lui. et la seule chose qu'il arrive à faire c'est de lui cracher aux pieds. « tu sais quoi ? va te faire foutre norton. » la paume de sa main pousse violemment la porte du café. il fuit la scène de crime sans vrai dignité, juste une montée d'adrénaline. il s’essuie le visage comme il peut pour dégager le reste de café. prenant le chemin de la maison, la première chose à laquelle il pense, c'est de s'allumer une clope. il en tire une du paquet pour la coincer entre ses lèvres. ezekiel est passé en mode automate, connaissant le chemin du retour par cœur, il se laissait guider par ses jambes. occupé à allumer sa cigarette avec un briquet dysfonctionnel, il traversa la route sans regarder. ezekiel ne vit pas la voiture arrivé, son cerveau ne réalisa que trop tard le klaxon à son attention. malgré le freinage d'urgence du conducteur, le pare-choc faucha l'espagnol, l'envoyant sur le pare-brise avant de le rendre au bitume.
@kai norton
mais l'espagnol eu à peine le temps de fermer les yeux dans un mouvement de recule. le liquide brûlant lui atterrit un plein visage. inondant sa peau d'une douleur vive mais brève. ezekiel avait commencé, mais il aurait du se défendre. potentiellement faire pleuvoir les coups comme il le pouvait. mais le dégoût s'empare de lui. et la seule chose qu'il arrive à faire c'est de lui cracher aux pieds. « tu sais quoi ? va te faire foutre norton. » la paume de sa main pousse violemment la porte du café. il fuit la scène de crime sans vrai dignité, juste une montée d'adrénaline. il s’essuie le visage comme il peut pour dégager le reste de café. prenant le chemin de la maison, la première chose à laquelle il pense, c'est de s'allumer une clope. il en tire une du paquet pour la coincer entre ses lèvres. ezekiel est passé en mode automate, connaissant le chemin du retour par cœur, il se laissait guider par ses jambes. occupé à allumer sa cigarette avec un briquet dysfonctionnel, il traversa la route sans regarder. ezekiel ne vit pas la voiture arrivé, son cerveau ne réalisa que trop tard le klaxon à son attention. malgré le freinage d'urgence du conducteur, le pare-choc faucha l'espagnol, l'envoyant sur le pare-brise avant de le rendre au bitume.
@kai norton
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